L’an dernier, mon épouse s’est accordé trois semaines de repos bien mérité au mois de juillet, en Guadeloupe. Elle n’est pas partie seule. Sa meilleure copine l’accompagnait lors de ce long trajet pour lequel elles comptaient bien en profiter. Elle avait pris soin de réserver leur chambre d’hôtel grand luxe pour un farniente de rêve débarrassé de tous les tracas du quotidien.

Petite brune aux cheveux longs de type méditerranéen, Sylvie n’est jamais passée inaperçue lors des nombreuses soirées en boîte, à la plage ou assise à la terrasse des cafés. Elle a été beaucoup abordée et a connu du monde.

Beaucoup de Blacks, là-bas, sont d’incorrigibles dragueurs qui ne pensent qu’à se taper des blanches. La cerise sur le gâteau étant de les savoir mariées. Ma femme ne cache jamais son alliance et, une fois deux gorgée de rhum arrangé avalées, la voilà qui ne refuse plus rien à ses partenaires d’un jour ou plus.

Je recevais régulièrement des photos numériques et des appels le soir, en rentrant du boulot. C’était toujours très explicite. Je la voyais rouler des pelles, téter des queues énormes et se faire prendre comme la dernière des salopes.

C’était très stimulant. J’adorais me branler en écoutant ses bruyants ébats, son portable connecté posé sur sa table de chevet. Cette bonne cochonne disait n’avoir jamais autant et intensément joui. Ces orgasmes inouïs la faisant souvent presque perdre connaissance, tant c’était violent et magique à la fois.

Cette fois-ci, elle repart à Pointe-à-Pître dès septembre, mais c’est pour des raisons professionnelles. Je ne la reverrai qu’à Noël. D’ici là, je compte bien qu’elle soit, une fois encore à la hauteur de sa réputation.

Il n’y a rien de plus excitant pour moi que de savoir que je suis marié à une chaudasse qui adore la bite !