Toute première fois

Par Pascal Funk le 4 septembre 2015 5
Dans Fantasmes candaulistes

En 2013 (avant les deux autres histoires)

Je rentre chez moi aprés le travail,et découvre un mot de Lina :

"Prends une douche et habille-toi, nous sortons ce soir"

C’est assez rare je suis surpris qu’elle prenne cette intiative en plus.

Vers 20 heures, fin prêt je me demande quelle surprise m’attend lorsque le téléphone sonne. Lina m’annonce qu’elle vient me chercher en voiture dans 5 minutes. Le temps de fermer la maison et voici la voiture devant le portail. Mon amour est au volant, maquillée, un long manteau ne dévoile que ses jambes gainées de nylon. Elle est splendide. Elle m’embrasse tendrement et me souffle à l’oreille :
Bon anniversaire mon amour, cette nuit est ta nuit... ( je pensais qu’elle avait oublié )

Je frémis.

- " Où allons nous ? "
- " Nous allons dîner dans un endroit que tu ne connais pas ! "

Nous arrivons devant un restaurant assez sélect, je la regarde de plus en plus étonné. Nous rentrons, un serveur nous accueille et prend aussitôt nos manteaux : et là j’ai le premier choc de la soirée.

Mon épouse, mère de nos trois grands enfants, si discrète, si prude d’habitude a l’extérieur, porte un tailleur avec une minijupe. Visiblement la chemise portée à même la peau est plus déboutonnée qu’il ne conviendrait, offrant à tous un décolleté étourdissant qui s’allonge presque jusqu’au milieu de ses seins.

Je reste sans voix. J’entends Lina qui prend les choses en mains et se dirige vers notre table. Je la suis dans un état second, mais tout à fait conscient de l’effet produit sur le serveur et les autres convives attablés.

Tout en dégustant notre repas,Lina m’explique sa petite mise en scène : régulièrement je la sermonne sur ses tenues trop classiques, pas assez sexy, qui ne mettent pas en valeur son corps qu’elle a gardé, malgré trois grossesses, très beau (en tout cas à mon goût !). Alors ce soir elle a voulu me faire plaisir et s’est donc acheté ce tailleur, des bas et un string, même si je ne suis pas fan.

Je n‘en reviens pas ! Et je dois dire que pendant qu’elle m’explique tout cela, je ne peux détacher mon regard de ses seins qui se balancent librement sous sa veste.Et oui,elle ne porte aucun soutien gorge...Et vu qu’elle est excitée de se montrer,ses tétons pointent furieusement !

Je ne suis d’ailleurs pas le seul qu’elle envoûte. Le serveur ne se gêne pas pour la regarder avec insistance et plus particulièrement son décolleté. Une pointe de jalousie monte en moi lorsque Nathalie me dit :

- " Il ne faut pas, après tout, n’es-tu pas fier d’avoir une femme qui attire les regards ? Laisse-moi faire et profite du spectacle ".

Sans me permettre d’esquisser la moindre parole, elle se lève et se dirige vers les toilettes. La plupart des hommes présents, moi compris, la suive du regard. Au bout de quelques minutes elle revient, rayonnante, les yeux brillants d’excitation ; elle a quelque chose de différent. C’est seulement lorsqu’elle s’assoit que je m’aperçois que son décolleté bâille franchement : elle a déboutonné encore plus sa chemise et devient ainsi très provocante.

Franchement, elle m’épate et m’excite à la fois. L’excitation remplace petit à petit la jalousie. Genre j’ai une bombe qui est a moi pas a vous, bande de voyeurs libidineux.
Elle me chuchote alors :
- " Ce que tu ne sais pas, pas plus que les autres, c’est que je n’ai plus de string… "

Mon érection grandit encore au point de me faire mal dans mon pantalon. Le serveur vient alors et nous demande ce que nous voulons tout en louchant dans le décolleté de Lina. Elle fait mine de réfléchir tout en jouant avec le tissu de sa veste, dévoilant discrètement un de ses beaux seins au regard avide du serveur.
Une fois seules elle me demande :
- " Tu as aimé ? "
- " Oui, mon amour "
- " Moi aussi cela m’excite ".

C’est dans une tension incroyable que nous terminons le dîner. Il est encore tôt pour rentrer et Lina me propose de sortir danser un peu pour entretenir cette tension qui nous excite tant.nous fréquentions tous les week-end les discothèque de Funk entre 1980 et 1986.

Donc bien sûr, j’accepte et lui laisse le choix de la suite de la soirée. Nous partons pour une sorte de piano bar dont nous avions entendu parlé. Pas trouvé autre chose dans les environs.

Dans la voiture, je caresse doucement ses cuisses et, remontant doucement, je m’aperçois qu’effectivement elle ne porte rien sous sa jupe et que son sexe est complètement inondé. Ma femme ne s’épile pas entièrement. Un sexe de gamine m’excite moins qu’une belle foufoune légérement poilue.

Nous arrivons rapidement à destination et découvrons l’endroit qu’un de nos amis nous avait chaudement recommandé. Lumière tamisée, ambiance feutrée, quelques couples dansent au son d’un piano qui joue une douce mélodie. Nous nous installons un peu en retrait et commandons deux cocktails. Les sens de plus en plus échauffés par l’excitation et l’alcool, Lina me propose de danser. Doucement nous évoluons ainsi un long moment au milieu des autres danseurs. Je lui propose un autre cocktail et la laisse près de notre table. Lorsque je reviens, un homme d’une cinquantaine d’années l’invite à danser ; un bref regard dans ma direction pour juste un clin d’oeil et elle se dirige vers la piste au bras de son cavalier. J’ai cette rare mais intense vibration de l’homme trompé mais aussi celle de celui qui possède un trésor et qui veut le montrer aux autres,jubiler de posséder une chose qu’ils n’ont pas...ou du moins pas une salope de ce niveau. C’est jouissif pour le cortex.

De ma place je peux les voir tourner doucement au rythme de la musique. Petit à petit je vois les mains de l’homme qui commence à caresser le dos de ma femme. La jalousie et l’excitation me reprennent. J’ai la gorge séche.

Un moment je capte le regard interrogateur de lina. Du style : je suis un peu dépasser par les événements, que fais je ?

Mes yeux brillants, mon sourire discret sont autant de réponses affirmatives à sa question muette : bien sûr si tu le veux, laisse le continuer, il n’y a pas de mal à se laisser un peu caresser le dos. Je continue donc à observer ce couple, composé de ma femme, l’amour de ma vie, et de cet inconnu dont les mains se font plus insistantes, plus pressantes. Ils se rapprochent lentement de notre table, j’aperçois alors leurs corps serrés l’un contre l’autre dansant doucement. Ils ne sont plus qu’à deux ou trois mètres lorsque l’homme, face à moi, regarde dans ma direction.Il sait donc que c’est ma femme.

Lentement sans lâcher une seule seconde mes yeux, il se penche et embrasse délicatement ma femme sur l’épaule et remonte lentement vers le cou, puis sur sa joue, s’arrêtant juste à la commissure de ses lèvres. C’est à ce moment précis que la musique cesse. Je vois alors Lina remercier cet homme et venir me rejoindre.

- " Tu es en colère ? " Me demande-t-elle inquiète.
- " Non pourquoi le serais-je ? "
- " Tu l’as vu me draguer et cela ne te fais rien ? "
- " Si, je dois dire que j’ai aimé te voir danser avec lui,je dois t’avouer que j’ai malgré tout aimé le voir te caresser, t’embrasser. Et toi ? "
- " C’était très agréable et tellement nouveau après plus de 20 ans ensemble ! "

C’est à ce moment là, qu’intérieurement, je me suis posé la question à savoir si cela me plairait qu’elle fasse l’amour avec un autre que moi. Prenant mon courage à deux mains, je lui demande alors si elle aimerait danser à nouveau avec lui. Elle me regarde, interrogative mais ne répond pas. Quelques longues secondes s’égrènent, puis elle me dit :

- " Cette nuit est ta nuit. Je t’aime. Je ferai ce qu’il te plaira. "

Nous sommes restés de longues minutes à nous regarder, à nous embrasser. Enfin je lui dis :

- " Écoute mon amour, je sais que tu adores danser et je ne voudrais pas te priver. Vas-y si tu en as vraiment envie ".

Elle me sourit, m’embrasse, puis se lève lentement et se dirige vers la piste de danse. Au bout de quelques minutes l’homme,évidement, revient et se met à danser devant elle.

Petit à petit ils s’écartent du centre de la piste pour se retrouver dans un coin assez sombre qui est proche de notre table. Le style de ma femme jusque là assez sage dévie lentement vers une danse de plus en plus sensuelle voire lascive. Je regarde fasciné mon épouse adorée, la mère de mes enfants, exécuter une espèce de parade amoureuse qui n’a pour but que d’exciter le mâle qui se trouve devant elle.

L’homme se rapproche d’elle, lui chuchote quelque chose à l’oreille.Lina le regarde et lui sourit. Ils se remettent alors à danser l’un contre l’autre, bougeant au rythme de la musique, rapprochant toujours un peu plus leurs corps jusqu’à se coller. Mon excitation grandit encore bien que mes sentiments soient plus axés sur la jalousie et la colère. Voir ma femme aussi calme, aussi décontractée dans les bras de cet homme me fait mal.
Je la vois alors me regarder et articuler distinctement :
- " je t’aime ! "

oui ok mais elle aurait du moins boire,elle est dans un état quasi second et ne se rends plus vraiment compte de moi et du foutoir dans ma téte.
Je lui souris quand méme. Elle regarde alors son cavalier deux secondes dans les yeux et l’embrasse sur la bouche.

Pas un baiser du bout des lèvres, mais un baiser profond, sensuel.un mélange fougueux de langues. Les mains de son cavalier descendent doucement sur les fesses de Lina pour l’obliger à se plaquer encore davantage à lui. Ils dansent ainsi quelques minutes, se rendant caresses et baisers.En plus elle a les bras autour du cou de cet inconnu et exerce une pression pour que leurs bouches soient soudées.

À la fin de la série, l’homme me jette un regard de triomphateur,la prend par la main et l’attire vers sa table où ils retrouvent un autre couple.

Je les observe, toujours plus excité, elle rit, boit encore un peu, rit encore, elle est belle, désirable... Même après vingts ans de mariage je l’aime toujours autant.
Son cavalier pose sa main sur sa cuisse et commence à la caresser. Elle me regarde interrogative. Je lui fais à nouveau un grand sourire qui a pour effet de la détendre complètement.
Elle s’appuie sur le dossier de la banquette et se laisse aller pour mieux apprécier,la téte en arriére.
Lentement la main remonte vers le haut de sa cuisse dévoilant mon épouse toujours un peu plus. L’autre couple décide alors d’aller danser. Sans doute se sentent-ils de trop.
L’homme est en train d’embrasser Nathalie lorsque sa main effleure sa toison brune. Il marque un temps d’arrêt, puis reprend son exploration. Même s’ils sont un peu abrités par la semi obscurité et par la situation géographique de la table qui est assez éloignée de la piste de danse, le spectacle de mon épouse, la jupe complètement remontée, ne peut pas échapper à toute l’assistance.
Je regarde rapidement autour de moi, un peu affolé. Je ne repère personne d’autre que le couple de tout à l’heure semblant s’en être aperçu. L’homme continue de caresser Lina tendrement. Puis lui chuchote quelque chose et se dirige vers la sortie.Elle vient me rejoindre, les yeux brillants.

- " Je t’aime " me dit-elle
- " Moi aussi. Mais pourquoi est-il parti ? "
- " Il m’attend dehors, seule... "
- " Que comptes-tu faire ? " demande-je, inquiet.

À ce moment, mes sentiments sont tellement confus que je ne sais même pas quelle réponse je souhaite entendre. Elle me regarde dans les yeux et me répète pour la troisième fois de la soirée :

- Cette nuit est ta nuit. Je t’aime. Je ferai ce qu’il te plaira.

Le problème c’est que je ne sais plus ce que je veux ! Je reste un long moment sans rien dire, juste lui caressant les cheveux. Enfin je romps le silence :

- " Où t’a-t-il proposé ? "
- " Je lui ai dit chez nous.y a pas les enfants pour une fois ".
- " Vas-y mon amour si tu le désires ".
- " Rejoins-moi à 4 heures du matin.Je serai alors toute à toi mon amour.Fais moi confiance ".

Elle m’embrasse tendrement, se redresse devant moi,reboutonne totalement sa veste de tailleur, prend son sac, traverse toute la salle et sort sans un regard pour moi. Un détail anodun mais qui fait mal et peur.

Je reste seul, rempli de sentiments contradictoires, il est à peine minuit. Les quatre heures suivantes se traînent lamentablement. Je danse un peu, discute beaucoup avec le barman. Je suis dans un état d’excitation incroyable.Jamais connu ça.Je fume clope sur clope.

Il est quatre heures pile lorsque je rentre chez moi. J’ai croisé une voiture à moins de deux cents mètres de ma porte d’entrée. À cette heure, il y a fort à parier... Je monte directement dans notre chambre.Lina est là, étendue sur le lit conjugal. Je la regarde, elle est encore plus belle. Je m’approche et l’embrasse tendrement sur le front. Son odeur est brouillée par celle d’une eau de toilette pour homme. Je descends mes lèvres vers les siennes. Une autre odeur dont je devine l’origine, le sperme de son amant, chatouille mes narines.

- " Mon amour, je t’aime ".
- " Moi aussi, je t’en supplie crois-moi ! "

Je lui souris. Je continue de descendre lentement vers ses seins tout en déposant de petits baisers.

- " S’il-te-plait, laisse-moi me laver ".
- " Non ! Je veux te regarder ainsi ".

Je descends jusque vers son sexe et là, je vois sa vulve luisante de sperme. Mon épouse sanglote, laissant échapper à chaque sanglot un petit filet de sperme. Je suis fasciné par ce spectacle, par l’odeur de sexe qui imprègne la pièce, par la dépravation de mon épouse qui s’est donnée sans retenue à un inconnu. Je me déshabille rapidement et vient me blottir contre elle. Je la calme par des mots tendres et beaucoup de douceur. Enfin elle commence son récit...

Il lui avait demandé de venir le rejoindre seule, mais que si elle le faisait, elle devait aussi lui montrer qu’elle irait jusqu’au bout. C’est pourquoi elle a traversé toute la salle rapidement. Une fois sortie, elle a rejoint l’homme qui l’attendait près de sa grosse voiture. Puis rapidement elle est montée et a indiqué le chemin jusqu’à notre maison. Le trajet s’est déroulé dans une tension extrême. Une fois arrivé à destination l’homme a dit doucement :

- " Tu es prête ? "
- " Oui allons-y ! "

Ils sont montés directement dans notre chambre, se sont embrassés longuement tout en se déshabillant mutuellement. Il l’a longuement embrassée, léchée avant de venir sur elle. Ils se sont regardés dans les yeux, puis tout doucement il est entré en elle. Il est resté quelques secondes sans bouger, pour qu’elle s’habitue à l’idée d’un autre sexe que le mien en elle. Puis il a commencé de lents et longs va-et-vient jusqu’à ce qu’elle mette ses jambes sur ses reins comme un signal d’acceptation.
Ils ont fait l’amour sans s’arrêter pendant presque trois heures. De son propre aveu, lina devenait plus garce à chaque minute. Elle l’a sucé longuement, s’est mise en levrette, lui a demandé d’être plus violent, de lui tirer les cheveux...

Pendant son récit, je me met sur elle afin de la pénétrer à mon tour. La pensée qu’un autre l’avait fait juste avant moi a décuplé mon ardeur, je la baise comme un fou pendant qu’elle me raconte sa nuit d’amour. L’excitation est tellement grande que je ne peux me retenir longtemps de jouir en elle, mon sperme rejoignant celui de son amant. Je la regarde alors pour lui dire combien je l’aime. Elle me répond simplement avec un grand sourire :

- " Je t’aime aussi ".
Nous nous endormons l’un contre l’autre, serrés.

Au petit matin je découvre une nouvelle Lina,plus coquine, plus sensuelle. Seule une trace de morsure sur l’épaule, faite par son amant d’un soir, nous rappelle la folle nuit que nous venons de passer.

C’était le début de mon histoire de caudalisme.......

5 commentaires

Toute première fois

Par excandau95 le 9 novembre 2015

Bonsoir,
magnifique histoire qui fait resurgir bien des souvenirs ! merci de nous la faire partager avec autant de détails troublants !...

Toute première fois

Par piers39 le 7 septembre 2015

merci pour ce témoignage ! C’est très excitant et bien écrit !
Manu

Toute premiére fois

Par libertin7869 le 5 septembre 2015

Il faut mettre des guillemets pour les paroles pas des tirets oú des petites flèches ...

Ton histoire est tellement proche de l’un de mes fantasmes que je me suis demandé si tu étais venu la chercher dans ma tête ... Magnifique

Toute premiére fois

Par Pascal Funk le 4 septembre 2015

En 2013 (avant les deux autres histoires)

Je rentre chez moi aprés le travail,et découvre un mot de Lina :

"Prends une douche et habille-toi, nous sortons ce soir" C’est assez rare je suis surpris qu’elle prenne cette intiative en plus.

Vers 20 heures, fin prêt je me demande quelle surprise m’attend lorsque le téléphone sonne. Lina m’annonce qu’elle vient me chercher en voiture dans 5 minutes. Le temps de fermer la maison et voici la voiture devant le portail. Mon amour est au volant, maquillée, un long manteau ne dévoile que ses jambes gainées de nylon. Elle est splendide. Elle m’embrasse tendrement et me souffle à l’oreille :

- Bon anniversaire mon amour, cette nuit est ta nuit... ( je pensais qu’elle avait oublié )

Je frémis.

- Où allons nous ?
- Nous allons dîner dans un endroit que tu ne connais pas !

Nous arrivons devant un restaurant assez sélect, je la regarde de plus en plus étonné. Nous rentrons, un serveur nous accueille et prend aussitôt nos manteaux : et là j’ai le premier choc de la soirée.

Mon épouse, mère de nos trois grands enfants, si discrète, si prude d’habitude a l’extérieur, porte un tailleur avec une minijupe. Visiblement la chemise portée à même la peau est plus déboutonnée qu’il ne conviendrait, offrant à tous un décolleté étourdissant qui s’allonge presque jusqu’au milieu de ses seins.
Je reste sans voix. J’entends Lina qui prend les choses en mains et se dirige vers notre table. Je la suis dans un état second, mais tout à fait conscient de l’effet produit sur le serveur et les autres convives attablés.

Tout en dégustant notre repas,Lina m’explique sa petite mise en scène : régulièrement je la sermonne sur ses tenues trop classiques, pas assez sexy, qui ne mettent pas en valeur son corps qu’elle a gardé, malgré trois grossesses, très beau (en tout cas à mon goût !). Alors ce soir elle a voulu me faire plaisir et s’est donc acheté ce tailleur, des bas et un string.méme si je ne suis pas fan.

Je n‘en reviens pas ! Et je dois dire que pendant qu’elle m’explique tout cela, je ne peux détacher mon regard de ses seins qui se balancent librement sous sa veste.Et oui,elle ne porte aucun soutien gorge...Et vu qu’elle est excitée de se montrer,ses tétons pointent furieusement !
Je ne suis d’ailleurs pas le seul qu’elle envoûte. Le serveur ne se gêne pas pour la regarder avec insistance et plus particulièrement son décolleté. Une pointe de jalousie monte en moi lorsque Nathalie me dit :

- Il ne faut pas, après tout, n’es-tu pas fier d’avoir une femme qui attire les regards ? Laisse-moi faire et profite du spectacle.

Sans me permettre d’esquisser la moindre parole, elle se lève et se dirige vers les toilettes. La plupart des hommes présents, moi compris, la suive du regard. Au bout de quelques minutes elle revient, rayonnante, les yeux brillants d’excitation ; elle a quelque chose de différent. C’est seulement lorsqu’elle s’assoit que je m’aperçois que son décolleté bâille franchement : elle a déboutonné encore plus sa chemise et devient ainsi très provocante. Franchement, elle m’épate et m’excite à la fois. L’excitation remplace petit à petit la jalousie.Genre j’ai une bombe qui est a moi,pas a vous bande de voyeurs libidineux. Elle me chuchote alors :

- Ce que tu ne sais pas, pas plus que les autres, c’est que je n’ai plus de string…

Mon érection grandit encore au point de me faire mal dans mon pantalon. Le serveur vient alors et nous demande ce que nous voulons tout en louchant dans le décolleté deLina. Elle fait mine de réfléchir tout en jouant avec le tissu de sa veste, dévoilant discrètement un de ses beaux seins au regard avide du serveur. Une fois seuls elle me demande :

- Tu as aimé ?
- Oui, mon amour
- Moi aussi cela m’excite.

C’est dans une tension incroyable que nous terminons le dîner. Il est encore tôt pour rentrer et Lina me propose de sortir danser un peu pour entretenir cette tension qui nous excite tant.nous fréquentions tous les week end les discothéque de Funk entre 1980 et 1986.
Donc bien sûr, j’accepte et lui laisse le choix de la suite de la soirée. Nous partons pour une sorte de piano bar dont nous avions entendu parlé.Pas trouvé autre chose dans les environs.

Dans la voiture, je caresse doucement ses cuisses et, remontant doucement, je m’aperçois qu’effectivement elle ne porte rien sous sa jupe et que son sexe est complètement inondé.ma femme ne s’épile pas entiérement.Un sexe de gamine m’excite moins qu’une belle foufoune légérement poilue.

Nous arrivons rapidement à destination et découvrons l’endroit qu’un de nos amis nous avait chaudement recommandé. Lumière tamisée, ambiance feutrée, quelques couples dansent au son d’un piano qui joue une douce mélodie. Nous nous installons un peu en retrait et commandons deux cocktails. Les sens de plus en plus échauffés par l’excitation et l’alcool,Lina me propose de danser. Doucement nous évoluons ainsi un long moment au milieu des autres danseurs. Je lui propose un autre cocktail et la laisse près de notre table. Lorsque je reviens, un homme d’une cinquantaine d’années l’invite à danser ; un bref regard dans ma direction pour juste un clin d’oeil et elle se dirige vers la piste au bras de son cavalier.J’ai cette rare mais intense vibration de l’homme trompé mais aussi celle de celui qui posséde un trésor et qui veut le montrer aux autres,jubiler de posséder une chose qu’ils n’ont pas...ou du moins pas une salope de ce niveau.C’est jouissif pour le cortex.

De ma place je peux les voir tourner doucement au rythme de la musique. Petit à petit je vois les mains de l’homme qui commence à caresser le dos de ma femme. La jalousie et l’excitation me reprennent.J’ai la gorge séche.

Un moment je capte le regard interrogateur de lina.Du style : je suis un peu dépasser par les événements,que fais je ?

Mes yeux brillants, mon sourire discret sont autant de réponses affirmatives à sa question muette : bien sûr si tu le veux, laisse le continuer, il n’y a pas de mal à se laisser un peu caresser le dos. Je continue donc à observer ce couple, composé de ma femme, l’amour de ma vie, et de cet inconnu dont les mains se font plus insistantes, plus pressantes. Ils se rapprochent lentement de notre table, j’aperçois alors leurs corps serrés l’un contre l’autre dansant doucement. Ils ne sont plus qu’à deux ou trois mètres lorsque l’homme, face à moi, regarde dans ma direction.Il sait donc que c’est ma femme.
Lentement sans lâcher une seule seconde mes yeux, il se penche et embrasse délicatement ma femme sur l’épaule et remonte lentement vers le cou, puis sur sa joue, s’arrêtant juste à la commissure de ses lèvres. C’est à ce moment précis que la musique cesse. Je vois alors Lina remercier cet homme et venir me rejoindre.

- Tu es en colère ? Me demande-t-elle inquiète.
- Non pourquoi le serais-je ?
- Tu l’as vu me draguer et cela ne te fais rien ?
- Si, je dois dire que j’ai aimé te voir danser avec lui,je dois t’avouer que j’ai malgré tout aimé le voir te caresser, t’embrasser. Et toi ?
- C’était très agréable et tellement nouveau aprés plus de 20 ans ensemble !

C’est à ce moment là, qu’intérieurement, je me suis posé la question à savoir si cela me plairait qu’elle fasse l’amour avec un autre que moi. Prenant mon courage à deux mains, je lui demande alors si elle aimerait danser à nouveau avec lui. Elle me regarde, interrogative mais ne répond pas. Quelques longues secondes s’égrènent, puis elle me dit :

- Cette nuit est ta nuit. Je t’aime. Je ferai ce qu’il te plaira.

Nous sommes restés de longues minutes à nous regarder, à nous embrasser. Enfin je lui dis :

- Écoute mon amour, je sais que tu adores danser et je ne voudrais pas te priver. Vas-y si tu en as vraiment envie.

Elle me sourit, m’embrasse, puis se lève lentement et se dirige vers la piste de danse. Au bout de quelques minutes l’homme,évidement,revient et se met à danser devant elle.
Petit à petit ils s’écartent du centre de la piste pour se retrouver dans un coin assez sombre qui est proche de notre table. Le style de ma femme jusque là assez sage dévie lentement vers une danse de plus en plus sensuelle voire lascive. Je regarde fasciné mon épouse adorée, la mère de mes enfants, exécuter une espèce de parade amoureuse qui n’a pour but que d’exciter le mâle qui se trouve devant elle.
L’homme se rapproche d’elle, lui chuchote quelque chose à l’oreille.Lina le regarde et lui sourit. Ils se remettent alors à danser l’un contre l’autre, bougeant au rythme de la musique, rapprochant toujours un peu plus leurs corps jusqu’à se coller. Mon excitation grandit encore bien que mes sentiments soient plus axés sur la jalousie et la colère. Voir ma femme aussi calme, aussi décontractée dans les bras de cet homme me fait mal. Je la vois alors me regarder et articuler distinctement :

- je t’aime !

oui ok mais elle aurait du moins boire,elle est dans un état quasi second et ne se rends plus vraiment compte de moi et du foutoir dans ma téte.
Je lui souris quand méme. Elle regarde alors son cavalier deux secondes dans les yeux et l’embrasse sur la bouche.
Pas un baiser du bout des lèvres, mais un baiser profond, sensuel.un mélange fougueux de langues. Les mains de son cavalier descendent doucement sur les fesses de Lina pour l’obliger à se plaquer encore davantage à lui. Ils dansent ainsi quelques minutes, se rendant caresses et baisers.En plus elle a les bras autour du cou de cet inconnu et exerce une pression pour que leurs bouches soient soudées.

À la fin de la série, l’homme me jette un regard de triomphateur,la prend par la main et l’attire vers sa table où ils retrouvent un autre couple.

Je les observe, toujours plus excité, elle rit, boit encore un peu, rit encore, elle est belle, désirable... Même après vingts ans de mariage je l’aime toujours autant.
Son cavalier pose sa main sur sa cuisse et commence à la caresser. Elle me regarde interrogative. Je lui fais à nouveau un grand sourire qui a pour effet de la détendre complètement.
Elle s’appuie sur le dossier de la banquette et se laisse aller pour mieux apprécier,la téte en arriére.
Lentement la main remonte vers le haut de sa cuisse dévoilant mon épouse toujours un peu plus. L’autre couple décide alors d’aller danser. Sans doute se sentent-ils de trop.
L’homme est en train d’embrasser Nathalie lorsque sa main effleure sa toison brune. Il marque un temps d’arrêt, puis reprend son exploration. Même s’ils sont un peu abrités par la semi obscurité et par la situation géographique de la table qui est assez éloignée de la piste de danse, le spectacle de mon épouse, la jupe complètement remontée, ne peut pas échapper à toute l’assistance.
Je regarde rapidement autour de moi, un peu affolé. Je ne repère personne d’autre que le couple de tout à l’heure semblant s’en être aperçu. L’homme continue de caresser Lina tendrement. Puis lui chuchote quelque chose et se dirige vers la sortie.Elle vient me rejoindre, les yeux brillants.

- Je t’aime, me dit-elle
- Moi aussi. Mais pourquoi est-il parti ?
- Il m’attend dehors, seule...
- Que comptes-tu faire ? demande-je, inquiet.

À ce moment, mes sentiments sont tellement confus que je ne sais même pas quelle réponse je souhaite entendre. Elle me regarde dans les yeux et me répète pour la troisième fois de la soirée :

- Cette nuit est ta nuit. Je t’aime. Je ferai ce qu’il te plaira.

Le problème c’est que je ne sais plus ce que je veux ! Je reste un long moment sans rien dire, juste lui caressant les cheveux. Enfin je romps le silence :

- Où t’a-t-il proposé ?
- Je lui ai dit chez nous.y a pas les enfants pour une fois.
- Vas-y mon amour si tu le désires.
- Rejoins-moi à 4 heures du matin.Je serai alors toute à toi mon amour.Fais moi confiance.

Elle m’embrasse tendrement, se redresse devant moi,reboutonne totalement sa veste de tailleur, prend son sac, traverse toute la salle et sort sans un regard pour moi.Un détail anodun mais qui fait mal et peur.

Je reste seul, rempli de sentiments contradictoires, il est à peine minuit. Les quatre heures suivantes se traînent lamentablement. Je danse un peu, discute beaucoup avec le barman. Je suis dans un état d’excitation incroyable.Jamais connu ça.Je fume clope sur clope.
Il est quatre heures pile lorsque je rentre chez moi. J’ai croisé une voiture à moins de deux cents mètres de ma porte d’entrée. À cette heure, il y a fort à parier... Je monte directement dans notre chambre.Lina est là, étendue sur le lit conjugal. Je la regarde, elle est encore plus belle. Je m’approche et l’embrasse tendrement sur le front. Son odeur est brouillée par celle d’une eau de toilette pour homme. Je descends mes lèvres vers les siennes. Une autre odeur dont je devine l’origine, le sperme de son amant, chatouille mes narines.

- Mon amour, je t’aime.
- Moi aussi, je t’en supplie crois-moi !

Je lui souris. Je continue de descendre lentement vers ses seins tout en déposant de petits baisers.

- S’il-te-plait, laisse-moi me laver.
- Non ! Je veux te regarder ainsi.

Je descends jusque vers son sexe et là, je vois sa vulve luisante de sperme. Mon épouse sanglote, laissant échapper à chaque sanglot un petit filet de sperme. Je suis fasciné par ce spectacle, par l’odeur de sexe qui imprègne la pièce, par la dépravation de mon épouse qui s’est donnée sans retenue à un inconnu. Je me déshabille rapidement et vient me blottir contre elle. Je la calme par des mots tendres et beaucoup de douceur. Enfin elle commence son récit...

Il lui avait demandé de venir le rejoindre seule, mais que si elle le faisait, elle devait aussi lui montrer qu’elle irait jusqu’au bout. C’est pourquoi elle a traversé toute la salle rapidement. Une fois sortie, elle a rejoint l’homme qui l’attendait près de sa grosse voiture. Puis rapidement elle est montée et a indiqué le chemin jusqu’à notre maison. Le trajet s’est déroulé dans une tension extrême. Une fois arrivé à destination l’homme a dit doucement :

- Tu es prête ?
- Oui allons-y !

Ils sont montés directement dans notre chambre, se sont embrassés longuement tout en se déshabillant mutuellement. Il l’a longuement embrassée, léchée avant de venir sur elle. Ils se sont regardés dans les yeux, puis tout doucement il est entré en elle. Il est resté quelques secondes sans bouger, pour qu’elle s’habitue à l’idée d’un autre sexe que le mien en elle. Puis il a commencé de lents et longs va-et-vient jusqu’à ce qu’elle mette ses jambes sur ses reins comme un signal d’acceptation.
Ils ont fait l’amour sans s’arrêter pendant presque trois heures. De son propre aveu,lina devenait plus garce à chaque minute. Elle l’a sucé longuement, s’est mise en levrette, lui a demandé d’être plus violent, de lui tirer les cheveux...

Pendant son récit, je me met sur elle afin de la pénétrer à mon tour. La pensée qu’un autre l’avait fait juste avant moi a décuplé mon ardeur, je la baise comme un fou pendant qu’elle me raconte sa nuit d’amour. L’excitation est tellement grande que je ne peux me retenir longtemps de jouir en elle, mon sperme rejoignant celui de son amant. Je la regarde alors pour lui dire combien je l’aime. Elle me répond simplement avec un grand sourire :

- Je t’aime aussi.
Nous nous endormons l’un contre l’autre, serrés.

Au petit matin je découvre une nouvelle Lina,plus coquine, plus sensuelle. Seule une trace de morsure sur l’épaule, faite par son amant d’un soir, nous rappelle la folle nuit que nous venons de passer.

C’était le début de mon histoire de caudalisme.......

Toute premiére fois

Par Pascal Funk le 4 septembre 2015

Bug !!

Impossible d’uploader toute l’histoire.je teste plus tard.Désolé