TEXTE 7

Par jolie-belle le 14 octobre 2013 2
Dans Fantasmes candaulistes

Nous sommes ce samedi dans un hôtel de Sophia-Antipolis.Ce matin, après quelques longueurs de piscine rafraîchissantes, je remonte dans la chambre, bien décidé à réveiller mon épouse.
Mon sexe se durcit en la voyant dormir nue, alanguie.les cheveux courant sur ses fines épaules. Je le plonge donc directement dans son vagin encore dilaté et mouillé par son utilisation intensive de la veille. Elle murmure tout d’abord sa désapprobation, puis mon prénom qu’elle mélange ensuite avec celui de son amant, dans le demi- sommeil extatique dont je profite de manière éhonté. Je la secoue de plus en plus, la soulève même pour exhiber son cul au dessus des draps.
Les deux demis globes parfaits claquent sous mon ventre. J’ai l’impression de baiser une poupée gonflable tant elle reste passive, à moitié cachée par les draps.
Ma bite grossit et des gémissements plus clairs se font entendre...
Ils m’encouragent et J’accélère le mouvement pensant aux bons moments de notre soirée d’hier.
Pour la stimuler, j’imagine à voix haute ce qu’on va lui faire subir aujourd’hui... Ma femme ne modifie en rien ses réactions...au contraire elle semble râler mollement .N’en ayant cure, j’éjacule égoïstement au fond d’elle, sans l’attendre, sans lui demander le moindre avis .
- "Hummm,ça fait du bien,ce petit viol du matin !"
- "Espèce d’éjaculateur précoce ! me lancent les draps ."
- "Ah non Là ,objection ! je suis le "réveil ". Il est 10 heures mon amour et je te rappelle que nous devons aller à Nice... "
- " C’est à coté, laisse moi dormir ".
- " Les boutiques seront fermées..."
Là, je marque un point ; elle me pousse pour s’engouffrer dans la douche.
En finissant la bouteille de champagne restée au frais, je la regarde se préparer : Pantalons en Jeans, baskets, tee- shirt ample ...
On dirait une ado. La journée ne sera pas franchement érotique...et ce brutal changement de style vestimentaire me déçoit.
- " Bon l’alcolo,tu viens boire un café ? "
- " Ok.Dis au fait ,es-tu vraiment obligée de t’affubler de la sorte ?ça manque de charme et ça fait pas trop week -end chic ...
- " Oh, Jean Luc !,on va pas baiser 24 h sur 24 ! si je m’habille "sexy", tu vas passer ton temps à me tripoter...Il y a d’autres choses à faire ...Attends donc ce soir ..avec ton nouvel ami ".
- " Ton nouvel amant ! "
- " Aussi ."
A Nice nous trouvons rapidement son appart ; bien placé,au milieu des rues piétonnes, à deux pas de la mer, 70 m², double expo, grand salon, meublé simplement mais bien équipé ...Sans jouer davantage à l’agence immobilière on s’installe. Le frigo est plein de bonnes choses ; champagnes, rosé, bières ...
J’opte néanmoins pour un sage Orangina en me vautrant face à l’énorme télévision. Mon épouse m’éjecte immédiatement du sofa pour sortir en ville ;
- " hé ,bouge toi, c’est les soldes ! "
Dans la rue, j’envoie un texto de remerciement à Georges qui me répond être notre obligé, heureux que son pied-à-terre niçois nous plaise. Il envoie aussi un sms à Nadia sur un mode nettement plus chaud ; porte-t- elle une culotte ? pense-t- elle à lui en mouillant ...
Cette coquine ment et l’excite en inventant une tenue complètement improbable, elle lui décrit des états où elle n’est pas ... Pas encore.
Un peu plus tard, il rappelle pour lui proposer une sortie "exhib" en boutique "spécialisée" dès que possible, car il veut l’admirer dans des cabines d’essayages .... Il l’invite aussi dans son prochain voyage à Dubai (la capitale du shopping ! )...
Bien sur, elle sera sans son mari et devra faire l’escort- girl... Non ; plutôt l’épouse soumise et voilée ...Bref, le smartphone ne s’arrête plus.
- " Décidément ,ça le travaille tout ça ! " me chuchote Nadia ,il est aussi pervers que toi !

J’accepte le compliment tandis qu’elle lui donne un horaire pour nous retrouver chez lui.

Nous rentrons à l’appartement vers 19 heures, et je remarque mieux le hall d’entrée très "arts déco" aux grands miroirs incrustés dans des moulures végétales, c’est désuet mais très chic. L’ascenseur est en panne. Zut .

Chargés de paquets,nous grimpons donc les deux étages tant bien que mal. Devant mon nez, les jolies fesses moulées dans du jean’s me provoquent, j’y plaque mes paumes pour les pousser. Ma femme me réprimande aussitôt sur mes idées scabreuses ;
- " Même les pantalons ne te refroidissent plus ! "
En haut, Georges est déjà là et il nous ouvre la porte avec un large sourire, il embrasse mon épouse sur les joues d’abord puis, dès que je le double, il lui envahit entièrement la bouche de sa langue !
- " J’ai très envie de toi ,tu est magnifique ,j’aime ton odeur ...etc ".
Il m’ignore royalement et mon épouse, en face de moi, tente de le calmer un peu en me souriant ...
- " Doucement Georges ! Mon mari nous regarde !
Les paquets déposés ,il nous propose d’organiser un petit diner, le temps d’appeler le traiteur ...Je suis partant ,car je la vois déjà nous sucer sous la table.Nadia ,absolument contre cette idée qui va précipiter les choses exige un restaurant et en plus elle a envie de danser !
- " bon les garçons ! cherchez moi un un bon "gastronomique" ...et réservez pendant que je me fais belle ".

Notre ami me dit connaitre un établissement super romantique, les pieds dans l’eau, sur une plage de Juan les Pins, il y a toujours de la musique on y danse....et c’est facile pour se garer ! ajoute-t- il (cette dernière remarque m’étonne par son incongruité).

Nadia revient relativement vite,habillée d’une robe noire dont j’adore la coupe tant elle met ses formes fines en valeurs ses talons parmi les plus hauts, dressent son cul et son rouge à lèvre brillant est un appel aux fellations. Elle tourne sur elle même et nous montre rapidement ses sous vêtements en soie et dentelle ;
- " Whaoo... "
Je laisse notre hôte lui faire des compliments en servant le champagne et je file me doucher .
- " prends ton temps ! "me lance Georges.Message reçu.
En me séchant et m’habillant, je les entends murmurer. Ce qu’ils se disent reste inaudible, mais je devine que les gestes qui ont rejoint leurs mots : Alors, j’entre soudain au Salon...
- " Ciel mon mari ! " s’écrit ma femme hilare, tirant sa robe récalcitrante.
Georges retire ses doigts du sexe où ils s’étaient égarés, replace le string dans sa ligne et s’essuie sur le canapé en me souriant benoitement ...mais je l’encourage plutôt d’un clin d’oeil.
- " Ne te gènes pas , après tout ,tu est chez toi ,non ?... " puis faussement innocent ;
" va -t- on toujours au restaurant ? "
Après un OUI très appuyé de ma femme, nous voilà vite devant la nouvelle voiture de Georges : une énorme jaguar toute neuve. Il l’a reçue dans la semaine et c’est sa première sortie . Je comprends beaucoup mieux son propos sur les places de parking ...
Installés dans une sorte de bateau en bois et cuir hight- tech,roulant à vive allure, nous goutons un confort sans reproches.
Placé juste derrière le siège de mon épouse ,je ne tarde pas à lui caresser les seins de manière presque machinale ,sortant les pointes du décolleté,tout en discutant de choses et d’autres .Agacée d’être ainsi tripotée,elle me demande de cesser !
- " Mais enfin, Jean Luc ; tu vas finir par rendre Georges super jaloux ! "
- " ho ho ,le monde à l’envers ",s’esclaffe ce dernier en lui attrapant la cuisse et l’embrassant furtivement, tandis que je ris aussi de bon cœur pour cette sortie inattendue de mon épouse.
Arrivés devant la plage, j’entre dans le restaurant en citant notre réservation...
Mon épouse s’aperçoit alors avoir oublié son sac ! Son gentleman d’amant la raccompagne vite vers le parc automobile pour la ramener ensuite par le bras visiblement satisfait de ce petit contretemps.
La serveuse les accueille et me demande si ces messieurs-dames sont bien avec moi...
- " Oui, c’est le couple que j’attendais, merci "
Décidément, les rôles s’inversent très vite : qui est le mari ? Qui est l’amant ? un drôle de jeu s’installe insidieusement ...
A table, nous rions beaucoup et buvons autant d’un excellent rosé local. Étrangement, mon épouse à l’air très très excitée durant le repas : Elle remue sur sa chaise, se mord les lèvres et ponctue ses paroles par de tous petits cris ...
L’alcool ? ambiance peut être ? ou la journée shopping, que sais je ? ...
En tout cas elle est vraiment dans une fort-belle disposition ...
Je me dis que ce diable d’homme produit chez elle un effet somme toute très positif. Bouleversant serait même plus juste. Pourtant ils ne se touchent même pas, car toutes les mains sont restées sur la table. Etonné, je lui demande la raison de ce comportement exagéré. Elle me regarde fixement mais rien ne sort de sa bouche ouverte figée en un joli sourire. Ses yeux sont mis clos et rieurs à la fois ; On dirait qu’elle va jouir !
Pour toute explication ,Georges place dans ma paume une petite télécommande noire indiquant force 8 sur 10 ...
- " ???? ...Ah ! d’accord, un sex toy à distance, pas mal...on augmente, chérie ?
- " Hummm non, s’il vous plait arrêtez ce truc, il bouge trop et j’ai peur qu’ il tombe dans le sable ".
- " Ok, je baisse ... mais je te laisse vibrer encore un peu ".
- " Non ,non , arrête Jean Luc ! ...ça suffit . Bon ,je l’enlève ...range le..tiens ! "
Et elle dépose un œuf rose sautillant dans mon tiramissu !
- " Zut,vite comment j’éteins ça ; On ...Off .ouf ça y est ! "
Je retire l’ingénieux jouet de mon dessert et lance un regard noir à notre ami qui a du lui glisser ce truc en allant chercher le sac tout à l’heure.
- " Tu n’aimes pas les gadgets Jean Luc ? ah ah ,tu sais, j’en ai encore toute une collection à la maison ..."
- " Co ..Comme ... ? s’inquiète ma femme "
- " Comme des godes, des vibros, des menottes, des martinets, des cravaches, des harnais, des boules de ..."
- " Ok, ok, mais préviens nous avant, que nous puissions anticiper un minimum.." dis-je stoppant son inventaire à la pervers-Prevert. Je termine mon assiette mise en désordre. Georges demande l’addition.

La musique s’élève du bar et les clients se déplacent sur la piste. Nadia essaye de suivre mais elle à trop bu et s’accroche à Georges pour ne pas tomber. Ses talons sont trop hauts pour le rythme. Prenant mon coude elle me demande si je veux bien l’aider aussi pour sortir de cette paillote cannoise. Nous l’escortons ainsi, soutenant sa démarche, tel un couple "à trois ".

Adossé à la voiture ,Georges embrasse longuement mon épouse qui sort sa langue : Elle lui lèche le menton. Il lui empoigne les fesses, les malaxe, les griffe,les tord même, en chiffonnant sa robe ...
Pendant ce temps, je caresse sa chatte épilée et super humide. Je suis accroupi derrière elle et Je fais doucement descendre son string qu’elle enjambe avec grâce.
En remontant doucement mes mains sur ses jambes nues, je vois, sous sa robe, le fessier malmené ; c’est magnifique !

Une haie de palmiers nous cache mais il y a du passage et nous ne pouvons rester ici. Je propose donc à Georges un repli stratégique. Tout à son ouvrage, il me demande de me mettre au volant ... J’hésite un peu, il insiste ;
- "T’inquiètes pas ;c’est la voiture de la société.Et tu vas voir ,c’est super facile à conduire !"
Tandis qu’ils s’effondrent sur la banquette arrière, je démarre. Il lui bouffe la chatte, elle pousse des petits cris d’abandons.
Avec un gros trac, j’essaye de rester concentré sur des instruments qui n’existent même pas sur notre monospace familial.
Engager sur l’autoroute un tel véhicule, complètement neuf, avec ma femme, complètement nue, qui subit les assauts de son amant complètement déchainé...le tout avec un taux d’alcoolémie à réjouir toute une compagnie de gendarmerie ...Je suis en sueur. Petit à petit, je maitrise pourtant la situation et gère même un début d’érection.
Eprouvant au début, ça devient assez excitant, car je peux suivre leurs ébats en regardant furtivement dans le rétroviseur intérieur.
Les cris de mon épouse accompagnent la sono jazzy, Il l’a prend maintenant en levrette ...
J’aperçois nettement ses cuisses nues trembler sous les chocs répétés du ventre puissant de son partenaire ...
Mais,la hauteur de toit gène Georges qui se rassoit donc, la retourne et se fait tranquillement sucer. Le silence est revenu dans l’habitacle et j’engage la conversation avec lui ...On aime bien Stan Getz qui passe à la radio,entre autres.
Tout en flattant le fessier de Nadia qui s’étouffe sur sa bite ,Georges me donne des indications sur les options intéressantes de sa jaguar ou me conseille sur le freinage,l’accélération ,la vitesse et surtout sur les directions à ne pas rater dans Nice...C’est un très bon vendeur et j’ai l’impression d’ échanger ma femme contre une voiture... D’ailleurs,elle me confirmera par la suite s’être sentie dans ces moments là ,devenir comme une "option"de la limousine anglaise.
Nous traversons le centre ville, mes passagers dans une activité improbable pour les passants incapables de voir les fesses qui dansent sous leurs yeux:Vitrage surteinté oblige.

Finalement, je gare ce paquebot à proximité de "notre " appartement. Sur la banquette, Georges "finit" ma femme en missionnaire et je me penche pour lui tordre les tétons. Elle gémit longuement durant les secousses ultimes, jouissant dans la moiteur ambiante du cuir beige. Notre ami se relève se réajuste, sort et nous attendons en silence,respirant l’air frais de la nuit .Nadia recouvre peu à peu ses esprits.

Elle remet juste ses chaussures et sa veste ..On la lui retire d’ailleurs dès le hall de l’immeuble pour l’admirer,marcher à poil ,son image sexy multipliée dans les miroirs .
- " Houla ...mais je vais prendre froid, moi ! "
- " Ne t’inquiète pas on va vite te réchauffer,la haut ! "
Nous l’enlaçons, l’embrassons ...puis, Georges la pousse par les fesses, je la dirige par les seins pour une ascension érotique de deux étages. Devant la porte de l’appart,nos sexes sortent de leurs cachettes : Le mien gonfle dans la main de Nadia, l’autre s’est remis en positon et attend de replonger encore. Je sors mes clés et ouvre pendant que les deux autres s’enlacent dans un énorme patin. Je les tire vers le seuil, car malgré l’heure, un voisin peut nous surprendre.

A l’intérieur Georges enlace ma femme et pousse sa tête vers son sexe qu’elle gobe sans coup férir.Sous la pression de sa main ,elle s’agenouille entre nous. Je présente ma bite à son coté pour qu’elle passe de l’une à l’autre ...
Elle semble apprécier les deux verges ; nous bandons comme deux ânes.
Deux ânes qu’elle abandonne vite pour se précipiter dans les toilettes et nous avons l’air soudain vraiment idiots !
- " Doucement les garçons ; je ne suis pas une machine ! attendez moi dans le salon ".
Georges m’y sert un excellent whisky. Affalés sur le sofa, on prépare l’arrivée de ma femme, heureux de la savoir si "hot"
Avec son air mi-fébrile mi-vicieux et complètement hilare, mon hôte sort des objets plus loufoques les uns des autres d’un grand sac de sport ;
- " Ma parole, tu as dévalisé un sex shop ! "
Je le décourage un peu sur les plus excentriques, mais un masque en cuir une laisse avec son collier doré et un joli gode rouge bien réaliste atterrissent bientôt sur la table basse ...
Impatient, il décide d’aller voir ce qu’elle fait. Un silence de 10 mn s’en suit et me permet de déguster mon 20 ans d’âge, seul, la bite au repos.
Me parviennent alors de drôles de bruits ...ils s’approchent. Du couloir, surgit mon épouse tenue en laisse par son amant, elle est nue excepté son porte jarretelle .Se déplaçant à quatre pattes ses bas crissent sur le sol...Sa vision est occultée par un masque en cuir à fermeture éclair. Tordant son cou, elle le suce en aveugle tout en se déplaçant comme une petite chienne docile. Il s’amuse à reculer sa bite... elle la cherche avec sa bouche grande ouverte, tirant la langue et bavant beaucoup..
Il la replonge et ainsi de suite... Elle est malmenée comme ça quelques minutes, faisant le tour de la pièce, devant mes yeux écarquillés. Puis, son "maître " la dirige par des gestes appuyés et des paroles précises, pour l’escalade de la table basse. Il la positionne entre nos verres, le cul haut dressé et la tête au niveau de mes couilles. Ainsi admirablement cambrée, elle me les lèche, guidée par le collier qui lui dicte où poser sa bouche.Georges l’encourage par une fessée bruyante et par des ordres "choisis" :
Bien faire jouir son mari, aller plus vite, écarter sa bouche, tout boire, etc... Elle répond par des gémissement englués et s’applique dans son travail. Les surnoms évocateurs ; putain, salope ,chiennasse ,suceuse ...j’en passe et des meilleurs, qu’on lui trouve nous aident à parfaire l’ambiance .Pour finir le tableau,Il la décale un peu sur le coté et lui enfile son sexe super- tendu.
- " outch,tient ,prend ça ...." commencent aussitôt de forts vas et viens.
Il me demande bientôt si il peut changer un peu d’orifice.J’aimerais beaucoup lui dire oui...Mais c’est non ! .Une sodomie n’est ,hélas, pas envisageable pour mon épouse . Elle s’y refuse catégoriquement,même pour moi ...Surtout pour moi ! (...la douleur et tout ça,pffff .Une pratique impensable ! )
Déçu par ma réponse,notre ami se transforme aussitôt en hargne pure et il chevauche Nadia comme un damné ! Elle à enlevé son masque,lâché mon sexe en gardant la bouche ouverte ! Elle essaye de garder l’équilibre sous les assauts qu’elle encaisse.Sa chevelure danse dans mes yeux, mais j’entrevois le visage grimaçant de l’homme ,ou plutôt de la bête qui crie derrière elle .Il jouit sur son dos, la souille de sperme et s’écroule sur un fauteuil .Ma femme m’ a repris en bouche et sa fellation devient brulante .J’envoie une grosse dose de liquide au fond de sa gorge en la maintenant par les joues.Elle avale mon sperme sans sourciller et je devine même un petit sourire de satisfaction .
Nadia rapte mon whisky et s’allonge sur le canapé.Georges est partis se doucher et je range les objets éparpillés...
Je prends l’énorme gode en caoutchouc pour le fixer avec sa ventouse sur la vitre ,au centre de la table d’apéro .Mon idée ne se veut pas uniquement décorative et j’invite gentiment mon épouse à s’empaler sur l’objet .Elle n’en a aucune envie et ,non, le spectacle d’une pénétration sous verre ne se fera pas ...malgré mes supplications appuyées de caresses.
- " Arrête t’es vraiment con ,j’en peux plus là ! ça fait deux heures que je suce des queues et vous m’avez niqué comme des fous ; ça suffit, laissez moi un peu tranquille."
Je m’approche et place ma bite mole et humide dans sa bouche pour faire taire ces grossièretés .
- " mmmff idiot ! arrête mmf mmferde ... c’est nul ! tu bandes même pas " elle recrache mon sexe
- " ressers moi un verre plutôt ; il est délicieux d’ailleurs son whisky. c’est quoi ? "
Je me résous donc à stopper mes attouchements en boudant ,mais c’est vrai qu’on a bien baisé et sans doute cela suffit -il pour ce soir. Elle a raison .Préparons donc deux petits whisky ...
- " glace ou sans glace ? "
- " sans ! "
Depuis la cuisine ,je vois revenir George avec un peignoir qui se dirige tout droit vers mon épouse ... qui s’arrête en admiration devant ce corps nu et lascivement étendu.Les compliments fusent ,les remerciements aussi ,pour cette soirée "inoubliable !" avec la plus belle femme de Nice etc....Elle lui sourit et envoie machinalement la main sous le vêtement en éponge dont le bord couvre maintenant ses cheveux...Machinalement encore,elle se met à téter le sexe qui pendouille ...Elle écarte alors ses cuisses et se caresse lentement ,sa main recouverte bientôt par celle de notre ami.Je suis abasourdis de la voir ressusciter si vite ! La salope.
Je m’assois donc sur le sofa,aux pieds de Nadia, ne sachant pas trop quoi faire de mes deux verres d’alcool .
- " Bonne idée ! " me sourit Georges qui m’en pique un ...
- " Hé t’as vu, elle est insatiable cette petite ! regarde comme elle en veut encore ! quelle suceuse ta femme. Apres tout ce que je lui ai mis. A la tienne Jean Luc ! Vas y ma belle je sens que je bande ! Tu est super ma chérie, continue !...oui, là. C’est bon ; lèche bien sous mes grosses couilles, cooomme ça. humm. Tu est une extraterrestre toi, C’est incroyable ".
Incroyable ? miraculeux plutôt,car si je ne la voit pas officier j’entend clairement des sucions et lechouilles super enthousiastes. Alors que cinq minutes avant, il n’y avait plus personne... La jalousie que je ressens soudain part heureusement bien vite avec une grosse gorgé de whisky et je décide plutôt de me concentrer sur le spectacle offert, qui est un des plus joliment pornographiques.

Tandis que George baise littéralement la bouche de mon épouse, une chatte dégoulinante, largement ouverte en gros plan devant mes yeux, me tente. J’y glisse deux doigts, repoussés aussitôt par ceux de mon ami...Il n’y a visiblement pas de place pour tout le monde (et j’avoue de bonne grâce qu’il y met plus de force ! ) .Il me regarde ,un peu désolé pour moi .Je le rassure par un pouce levé.

- " c’est ok,vas y fais la jouir !"
S’enhardissant ,il relève la tête de sa partenaire et lui roule une longue pelle magistrale et gluante ,lui caressant tendrement le menton ....Soudain retirant sa bouche ,il attrape la langue qui tourne dans le vide . Nadia,bloquée par la surprise, bouge doucement, suivant le mouvement imposé par ce pouce et cet index autoritaires.La voila debout ,maintenue de cette façon étrange par un tourmenteur qui l’oblige aussi à tenir sa bite .
- " Branle moi ,salope !."
Il a changé de ton, et elle obéit, complètement soumise faisant de son mieux pour remuer ses mains sur la verge qui frotte son ventre .
- " Tu vas me suivre comme ça petite putain ,d’accord ? j’ai envie de te prendre bien profond et tu là tu vas crier, hein, tu veux ? dis moi que tu veux, ma chérie ."
Sa tête remue, affirmative ... Mais ils sont déjà dans le couloir ; elle, titubant sur ses talons d’une façon ridicule et sexy à la fois, et lui qui marche fièrement en tenant sa captive par la langue !
Intéressé par la tournure des événements,je me lève aussi pour les suivre ,mais la silhouette de ma femme ,à contre jour de la chambre me fait repartir d’un signe de la main ...
Merde alors c’est bien la première fois que je me retrouve hors jeu ! et au meilleur moment en plus !
Je me rassois, penaud en face du gode écarlate, ventousé sur la table qui semble narguer mon sexe ramolli. Solitude .
Ils rient, chahutent et font toutes sortes de bruits qui résonnent ...ne tenant plus, à pas de loup, longeant le mur, je parviens à glisser ma tête dans la chambre. Les belles fesses blanches de Nadia tranche la pénombre, elle est de dos, à quatre patte sur le lit ,toute concentrée à sucer l’homme qui embrasse soigneusement chatte et anus .Il la travaille aussi avec ses doigts inquisiteurs que je sais habiles .Concentrés dans leur 69 endiablé ,ils ne peuvent me voir .Je m’accroupis donc au pied du lit ; la scène qui se joue est juste au niveau de mon nez ...C’est d’ailleurs une forte odeur de sexe qui m’impressionna en premier .Enfin ,mes yeux s’habituent et déchiffrent même la phrase notée au rouge à lèvre sur les fesses : " CUL POUR GEORGES ".
De fait,le majeur et l’index du sus-nommé tournoient déjà dans l’anus de la belle sans y rencontrer la moindre résistance.
- " Dis moi que tu veux que je t’encule ...Hein dis le allez, dis le, DIS LE ! "
- " Je ...mmf ..que ...tu m’encule. Mmff "
- " Dis le plus fort ma belle ".
- " JE VEUX QUE ...MMMF ...TU M ’ENCULE ...Mmffff "
Je n’en crois pas mes oreilles ; incroyable.
Georges se relève ,glisse sous ma femme restée en levrette et l’enjambe, il me voit alors à ses pieds.
- " ??? "
- " chut !..." je mets un doigt sur ma bouche
Il me fait un clin d’œil souriant . Il se place au dessus d’elle...
De sa main gauche, il pousse légèrement le dos de Nadia qui se cambre et de l’autre il lisse son sexe avec du lubrifiant, pour le diriger lentement vers sa cible. Tous ses doigts aident le gland qui s’insère millimètre par millimètre. Le plus gros est passé...
Elle retient instinctivement la poussé, les deux bras en arrière, son visage écrasé sur les couvertures recouvert de ses cheveux. Je ne la vois pas mais je devine sa grimace, bizarrement cette idée me déclenche une belle érection.
- " MMMaiiie ...doooucement ...doouce..ment ...Ouille.
- " Laisse toi faire je suis entièrement entré en toi maintenant, bouge tranquillement autour de ma bite, chérie, allez je t’attends c’est toi qui décide quand tu veux me faire plaisir... Oui, là, bouge ton cul..."
Petit à petit le jolie petit fessier se met en branle et son amant en accompagne les mouvements qui sont de plus en plus rapides.
Les bras sous son ventre ,ma femme tâte son clitoris et les couilles de son amant. Décidément, cette sodomie semble vraiment lui plaire, car elle s’y empale de manière passionnée. Elle a relevé la tête et je peux distinguer sa bouche grande ouverte appelant de l’air sur la surface du lit.
- " Là ,tu vois c’est facile ma chérie !"encourage son enculeur.
- " Ouiii, c’est bon .Hummmm... hom, homm ...continue mon amour.
- " Oui c’est bon, ma chérie, mais vas moins vite, tu pourrais avoir mal "...
Elle continue pourtant et s’emballe en criant de plus en plus fort.
- " Bon Jean Luc, fais la taire : mets ta bite dans la bouche de cette salope ! "
Sans me faire prier, je me dirige vers le visage de ma Nadia complètement en transe et y glisse mon érection devenue presque douloureuse. Elle m’accueille d’une langue déchainée ! Humm.
Georges tout à sa besogne,commentent techniquement son "oeuvre " C’est surréaliste ; Il me donne un cours de travaux pratiques au chapitre sodomie ;
- " Tu vois ,mon ami ...Il faut certaines conditions pour réussir une belle enculade.Tout d’abord ta femme doit avoir bien jouit avant, puis tu alterne la douceur et l’autorité, caresses et rudesses ...Han ! ...Là ,elle se sentira entre de bonnes mains et sera en disposition optimale ...Han !... tu t’aide de tes doigts pour introduire le gland... HHH ...et ça passe tout seul ! Le top ? c’est quand elle vient gentiment vers ton sexe .....HHHH.... Bientôt ,cette femelle demandera souvent d’être enculée ,tu verras .
- " Hein ma chérie ? ça te plait bien par ce petit trou, non ? "
Mon épouse acquiesce par des grognements animaux .
Sans trop m ’occuper de ses états d’âme,spectateur et acteur, j’éjacule une nouvelle fois dans sa bouche. Incapable de me retenir davantage.
Cela ne la déconcentre pas ; les vas et viens s’enchainent comme une mécanique huilée .Je m’assois à ses cotés,repus ,écoutant le docte discours d’un Georges qui prends bientôt son pied...Il finit par déculer en claquant une fesse avec force .
- " Humm,un régal ce cul ! "
Il s’enferme dans la salle de bain en sifflant , Nadia est étendue sur les draps inanimée et je sors me servir un grand verre ...d’eau fraiche.
- " Alors tu vois ,c’est pas compliqué ".
Insiste mon hôte venu se rhabiller dans la cuisine .

...
- " Si tu veux, la prochaine fois on lui fera un sandwich ...au beurre ! ".
Je reste septique sur son humour ,car jaloux de la satisfaction qu’il affiche ,mais je suis bien obligé de reconnaître l’efficacité qu’il déploie dans toutes pratiques sexuelles...
- " En tout cas merci les amis ! Avec ta femme, c’est toujours merveilleux " continue-t’il,
- " Quand elle se réveillera, embrasse la pour moi ... je l’aime beaucoup tu sais ...elle se donne vraiment à fond ...Tu devrais me la confier plus souvent ! "
- "..."
- " ...Bon .Il est tard ,il faut que je file ... On s’appelle demain, ok ? ...etc."
Il me serre la main chaleureusement.
Après ces rapides salamalecs,un peu décalés par rapport à l’ambiance précédente, Il disparaît dans la nuit ...
Il est deux heures du matin. Mes émotions ne sont pas toutes digérées mais je vais me coucher plutôt satisfait de cette drôle d’aventure ...

2 commentaires

TEXTE 7

Par Anne Claire le 7 mars 2015

roooohhhhhh quel traitement pour cette tendre épouse Nadia .... hummmmm

Le samedi .

Par jacherino le 14 octobre 2013

ha, ça c’est du cul ! du vrai, du dur, du qui du bien par où ça passe !