Comment ma femme m’a cocufié la première fois. (suite)
Par
AJAX
le 26 décembre 2015
4
Dans
Fantasmes candaulistes
Mais là, j’ai mal à la cheville et j’espère que ce bellâtre de kiné va faire des miracles.
- " Entrez ! Je vous prie. C’est votre cheville ? Retirez vos bottines et allongez-vous sur la table d’osculation ".
- " Docteur, merci de me recevoir si rapidement. Quand je vous ai téléphoné tout à l’heure je n’imaginais pas que vous puissiez m’accueillir ce matin ".
- " Je suppose que vous auriez choisi une toilette mois sexy et s’eut été bien regrettable. Grâce à vous, cette journée commence superbement ".
Le coquin, c’est vrai que si j’avais pu prévoir, je n’aurais pas choisi cette robe portefeuille assez courte néanmoins sage, quand les pans ne s’ouvrent pas inopinément comme c’est le cas maintenant.
- " Restez allongée et laisser cette robe ! Vous savez des culottes, j’en vois tous les jours. Ceci-étant, j’avoue que votre string en dentelle et tulle est très attirant ".
- " Concentrez-vous sur ma jambe, Monsieur le Don Juan bourreau ! "
- " Vous avez raison. Retirez vos bas ! Je vais masser vos chevilles avec un onguent réparateur ".
Bien obligé de m’exécuter sous ses yeux et son sourire enjôleur. Je pense à mon chéri qui, s’il était ici, me dirait de prendre parti de la situation, agir, prendre l’ascendant sur le galant voyeur. Alors sans le quitter des yeux, je m’applique à faire rouler, un à un, la guipure de mes bas lentement, crânement.
Mon voisin accuse le coup, s’assoit sur le haut tabouret au bout de la table et s’applique à m’enduire la jambe de son huile chauffante tout en matant mes jambes. Je m’amuse à imaginer mon chéri qui me dirait de remonter le zip de ma robe jusqu’à l’ouvrir entière, pour donner à contempler non seulement mon string mais aussi mon ventre et ma poitrine généreuse sertie dans ce bustier pigeonnant. Pendant que ma main joue avec la commande du zip, celles de mon masseur s’appliquent haut sur mes jambes et m’irradient.
- " Vous devez ressentir une chaleur dans vos membres inférieurs et je vais vous manipuler pour détendre vos muscles. Repliez une jambe et faite attention à ne pas tacher votre robe ! "
- " Vous ne me donnez pas d’autre choix que de l’ôter ".
J’éprouvais un plaisir secret à me dévêtir devant cet homme. Il m’avait offert un prétexte pour m’exhiber. De nouveau debout pour retirer ma robe, je l’observe, je m’affiche devant lui toujours assis. Je tourne sur moi même pour me montrer sous tous les angles, il m’encourage silencieux. Je m’approche très près de lui en lui tournant le dos. Je sens ses mains qui m’effleurent qui s’emploient à détacher les agrafes de mon corset. La dentelle s’échappe de mes seins. Celle sur mes hanches est contrainte à glisser au sol.
Je suis nue, enfin. Libérée des carcans, en pleine lumière, impudique, incorrecte, prétentieuse. Il s’est relevé, il me fait face, tout près. Je pense à mon mari serait-il admiratif ou méprisant car c’est sa prérogative d’ordinaire de décider.
Mais il n’est pas là et c’est moi qui accepte le contact des lèvres de cet homme sur ma bouche. Sa langue qui fouille la mienne. Ses mains douces qui se posent sur mes bras, les caressent, se posent sur mon ventre, évoluent, se faufilent, s’infiltrent, s’engagent et se dissimulent dans mon sexe offert. Il sait les endroits érogènes.
- " Allongez-vous là, belle dame. Je vais vous donner ce que vous êtes venu chercher ".
Je ferme les yeux et m’abandonne à ce profiteur que je tolère. J’ai d’abord la sensation qu’il persiste dans sa pratique de technicien thérapeute, tant ces gestes sont brefs et rigoureux. Ses doigts en moi, me touchent avec une précision, une régularité, une pression continue et qui pourrait manquer de douceur. Mais rapidement je suis prise de convulsions, des spasmes me contractent me tendent, mes membres sont secoués, je réalise que je couine comme une chatte en chaleur pendant que je suis traversé par un orgasme d’une amplitude que je n’ai jamais éprouvé.
- " Vous libérez une quantité de cyprine impressionnante ma chère. Cette faculté doit vous encourager dans vos rapports sexuels. Elle est le témoin de votre aptitude à jouir et à faire jouir votre partenaire ".
- " Vous voulez dire, "mes partenaires" ? "
Aussitôt dit, aussitôt regretté.
- " Ne rougissez pas ! J’ai rencontré peu de femme comme vous qui assument leur féminité avec autant d’éclat. Vous êtes fascinante, j’ai très envie de vous. Vous me subjuguez ".
- " Taisez-vous beau parleur et baissez votre jean que je vois vos attributs ".
Aussitôt dit, aussitôt fait.
Je suis toujours allongé et l’homme qui ne porte plus que sa blouse blanche, m’impose de placer mes pieds très écartés, sur les appuis métalliques prévus à cet effet. Je me complais dans cette position parfaitement obscène, je suis prête à le recevoir.
- " J’ai aussi très envie de vous et je vois, à la taille de votre membre, que je ne vous suis pas indifférente ".
- " Je m’interdis d’ordinaire de forniquer avec mes patientes, mais pour vous je suis prêt à parjurer le serment d’Hippocrate ".
- " Venez mon ami ! Venez me sauter, me saillir ! De grâce, taisez-vous et baisez-moi ! "
L’homme me couvre de son corps fin sur cette couche étroite et me pénètre rapidement, je sens sa verge coulisser parfaitement dans de longs mouvements lents depuis les plis de mes grandes lèvres pour s’engouffrer profondément dans mon vagin, conduisant mon plaisir croissant.
Je suis surprise de le voir se détacher de moi et me conduire vers son bureau. D’un geste ample du coude il dégage les dossiers devants moi et me contraint à me plier en deux pour lui offrir une vue détaillée de mon séant.
Je jubile encore à l’idée du spectacle de la vraie dévergondée que j’incarne. Les deux mains appliquées sur mes fesses, je les écarte pour que mon amant distingue mieux encore mon intimité. Ses doigts enduits de lubrifiants, il s’insinue dans mon cul et le force à se détendre par des mouvements circulaires.
- " Prends-moi à la hussarde ! Saute la putain que je peux être ! "
- " Je vais te casser le cul ma jolie catin ".
- " Ouiiiii défonce-moi, défouraille, sodomise-moi, joli cœur ! "
- " Ma belle enculée, tu vas prendre. Je vais te profaner, te souiller si c’est ton souhait ".
- " Ouiiii, j’aime me soumettre je suis une dépravée qui se découvre, donne-moi ta semence, décharge ton foutre au fond de moi. Ahhhhh ! C’est chaud, comme c’est bon ! "
Après avoir repris nos esprits et nous être réajustés, je me suis éclipsée non sans qu’il m’ait fait promettre de nous revoir rapidement.
Je suis impatiente de raconter tout cela à mon amoureux. Quel sera sa réaction ? Méprisant. Admiratif. Qui sait ?
Lettre à mon chéri,
Je ne trouverai pas le courage d’aborder ce sujet de vive voix, je pourrai mieux te dire les choses couché sur le papier.
Voila, je t’aime pourtant j’ai un amant. Tu n’imagines pas combien c’est difficile de t’avouer ce fait. Je sais que tu m’aimes aussi et notre vie sexuelle non conventionnelle me permet d’espérer que tu seras indulgent. Tu favorises toujours mon épanouissement dans les équipées érotiques que tu échafaudes. Nous vivons à chaque fois des aventures grisantes et j’en fais ici l’éloge.
Alors je me suis demandé pourquoi, bien que comblée physiquement, j’ai succombé aux avances de Yann, mon kinésithérapeute. Il y a sans doute plusieurs raisons que je vais essayer de te préciser.
Je crois que pour une fois j’ai voulu prendre l’initiative, ou tout du moins, laisser le cours des choses décider de cette passade. Faire en sorte que tu ne sois pas l’instigateur, le manipulateur. En un mot, exercer mon droit à l’autodétermination.
Tu me répètes souvent qu’il faut lâcher prise, tendre vers une attitude Carpe diem, "Cueille le jour présent sans te soucier du lendemain". J’ai fais mienne cette maxime et je ne doute pas que tu m’approuves dans cette démarche.
L’anticonformisme, l’illégitime que tu me donnes à vivre dans nos frasques volages, je l’ai ressenti dans l’approche sensuelle de mon amant. La transgression, franchir l’interdit a aussi été un moteur puissant de mon comportement.
Enfin j’ai la conviction que tu ne me reprocheras pas ma conduite puisque dans toutes nos expériences canailles, tu as joui de me voir partagée, offerte à un ou plusieurs partenaires. Tu as pris du plaisir en me poussant dans les bras d’autres hommes, en me voyant pliée, prise sous les assauts énergiques de mâles en rut.
Je veux dire aussi que j’abonde dans ton inclination au Candaulisme. Je ne doute pas que tu espères que je te rende compte de tous les détails de mon aventure que je désire aussi partager avec toi. Mon amour pour toi est intact, il est même renforcé dès lors que je réponds à tes attentes libertines avec une pleine liberté d’action.
Sache que j’ai eu avec lui plusieurs orgasmes avec ses mains expertes dans mon sexe ou quand il m’a rudoyé alors que j’étais vautrée sur son bureau. Il m’a sodomisé et j’ai beaucoup joui à ce moment là. Je te relaterai de vive voix tous les instants délicieux que mon adorateur m’a accordés. Je crois qu’il est un peu amoureux de moi et insiste pour que nous nous revoyions régulièrement.
Si tu le veux aussi, je souhaite répondre favorablement à sa requête, j’ai très envie de lui, de sa rudesse, de son odeur, de sa langue dans ma bouche ou entourant le gland de mon clitoris.
Je suis sûre que porté par notre complicité, tu partageras mon extase autant que si tu étais à mon côté. Quand il me baise, je pense à toi car c’est toi mon amour et mon maître. Bientôt je lui proposerai de venir me faire l’amour à la maison avec toi. J’ai très envie de me soumettre à vos caresses, à vos étreintes conjuguées. J’espère ton acceptation et je promet de ne pas te décevoir.
Ton élève appliquée,
Sabine.
4 commentaires
Comment ma femme m’a cocufié la première fois. (suite)
Par 976swing le 7 décembre 2016
J’approuve Gothalonia
Ensuite il s’agit d’une histoire pas de realite car son temoignage de candaulisme date reel date du 7 decembre 2016
On alors il y a faille temporelle
Comment ma femme m’a cocufié la première fois. (suite)
Par GothaLonia le 28 décembre 2015
à AJAX
Je sais tout ce que vous dites, mais je persiste dans ma sévérité.
N’étant pas un curé moi-même et ne m’étant dans ma vie refusé aucun plaisir sans risque, je dis bien aucun, je pense qu’il faut avoir des interdits inviolables sans quoi les retombées négatives ont de mauvaises conséquences qui dépassent de loin nos petites personnes. Ces interdits, ils ne peuvent fonctionner 100 % que si on les accepte une fois pour toutes et, par suite, qu’on les observe par principe sans discutailler ni ergoter.
Voici ces principes :
1) Quand on est en charge d’étudiants que les familles nous confient, on n’y touche jamais, sous aucun prétexte, point barre. Ils n’ont pas de sexe et puis c’est tout. Les passagers d’un avion veulent que le pilote les conduise à bon port, pas qu’il batifole avec les hôtesses (rappelez-vous ce jumbo jet au-dessus de Paris qui s’était écrasé, faisant près de 400 morts, il a été prouvé que les pilotes, en attente d’autorisation d’atterrir, avaient passé le pilotage automatique pour tourner en rond en attendant de pouvoir atterrir, et qu’ils utilisaient ce temps libéré pour s’amuser avec une hôtesse.
Dans ma vie il m’est arrivé deux ou trois fois d’être secrètement amoureux d’une étudiante, jamais elle ne l’a su et jamais elle ne le saura. J’ai fait en sorte que jamais elle ne s’en doute, et je m’en félicite encore aujourd’hui, le respect humain c’est aussi d’être capable de ce sacrifice-là.
2) Je m’interdis de seulement regarder l’épouse d’un ami qui a confiance en moi. La plupart des gens ne sont ni candaulistes ni échangistes, c’est ainsi. Il faut savoir se tenir pour ne rien gâcher car l’amitié vraie est un trésor qui ne souffre pas d’ombre au tableau..
3) Quand on est médecin, les patients c’est comme quand on a des responsabilités envers des étudiants qui nous font confiance. Le médecin jure le serments d’Hippocrate, qui est une grande chose, qui a traversé au moins trente siècles de civilisation. On doit pouvoir se confier TOTALEMENT à son médecin de famille comme à son notaire ou à son comptable (et comme à son directeur de confiance ou son confesseur pour ceux qui sont croyants).
4) On ne doit jamais violer, que ce soit peu ou prou. Forcer avec de l’alcool et/ou des drogues est un viol, Polansky qu’il le veuille ou non avait violé cette gamine de treize ans puisqu’il l’avait droguée. je me souviens très bien du moment des faits, bien longtemps avant le battage qui en a été fait il y a qq années. J’avais été épouvanté de cette sale méthode. Qua la gamine ait été dévergondée n’est ni étonnant (c’est banal à cet âge pour une fille de se donner de l’assurance en provoquant des adultes) ni une raison pour y avoir cédé.
Donc le principe est très clair : là où il n’y a pas consentement éclairé d’adultes
responsables et capables, il ne saurait y avoir de plaisir sain ni partagé.
C’est notamment à cause de ce principe qu’il faut s’interdire à soi-même, une fois pour toutes, tout acte et même toute pensée pédophile, car le consentements ’un mineur même dessalé, ne sera jamais véritablement éclairé.
5) Enfin dernier des interdits qui ne souffrent pas de discussion : s’interdire une fois pour toutes tout ce qui peut dégrader la dignité de la personne humaine. Dieu merci je ’n’ai aucune pulsion de ce genre mais quand je vois qu’il existe des zoophiles, des coprophiles, des gens qui on besoin de sang pour jouir et autres saloperies, ça me répugne, ça me révolte et je condamne avec la dernière sévérité.
En corollaire de ce principe, on ne doit jamais courir ni faire courir de risque à qui que ce soit, ce qui implique de bien vérifier que tout le monde est en bonne santé (du pt de vue des MST) avant de s’autoriser quoi que ce soit. C’est une évidence qui ne souffre même pas la discussion. On est des êtres humains conscients et responsables, que diable !
Bon à part ces principes non négociables, que la fête sexuelle, s’il y a lieu, commence ! je n’y participerai pas le dernier !
Comment ma femme m’a cocufié la première fois. (suite)
Par AJAX le 28 décembre 2015
S’il vous plaît, ne maudissez pas tant ce pauvre praticien. Assurément, il est critiquable, mais c’est un homme, comme les autres, avec ses faiblesses comme chacun de nous. N’est-ce pas ?
Je ne sais pas quel homme normalement constitué, même dans l’exercice de ses fonctions pourrait résister au charme, à l’attirance, à ce pouvoir de séduction que peut émettre mon épouse.
De-plus sans cette aventure, il n’y aurait pas eu d’histoire à raconter.
Enfin je sais que sous êtres capable de réviser votre jugement un peu sévère. Vous l’avez déjà fait.
Comment ma femme m’a cocufié la première fois. (suite)
Par GothaLonia le 27 décembre 2015
Ce Kiné fait du tort à sa profession. La médecine et la paramédecine libérale finiront par en crever, et nous nous retrouverons comme les anglais et les suédois.
En Angleterre, la barre est à 65 ans : au-dessus, on vous applique uniquement des soins palliatifs mais on ne vous soigne plus les maladies à traitement lourd.
Résultat : chaque WE, le tourisme médical pour se faire soigner en France peut se vérifier à Calais, Dieppe et autres ports sur la Manche et la Mer du Nord, qui sont envahis d’anglais non soignés chez eux.
En Suède c’est différent : tout le monde a les mêmes droits sans discrimination mais bonjour les files d’attente ! pour le cancer, la moyenne du délai est trois ans, autant dire qu’il a le temps de prospérer, le cancer !
Je ne comprendrai jamais ce qu’il peut y avoir d’érotique à faire ça durant des visites médicales ; le serment d’Hippocrate est une garantie insurpassable pour les patients, le violer est criminel et tue la médecine libérale.
Pour ne pas passer pour un grincheux pisse-froid, je termine sur un sourire en proposant à tout le monde la contrepèterie suivante :
’’ En examinant le cas de sa patiente, le médecin buvait silencieusement’’
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