Il y a quelques années, ma femme a commencé par prendre un amant, je l’avais encouragée à sauter le pas. Je n’ai pas eu à insister beaucoup, elle a adoré le rejoindre une ou deux après midi par semaine. Nous sommes restés proches et nous avons, pendant cette période, magnifiquement baisé.

Très naturellement, l’idée de faire ça à trois nous est apparu comme une évidence. Lorsque cela s’est terminé avec le premier, elle a émis le désir - après quelques mois- d’en prendre un autre. Nous sommes convenus qu’elle demanderait s’il veut bien que j’assiste ou que je participe à leurs ébats.

Certains ont accepté, d’autres pas. Mais si elle aime que je la regarde se faire prendre, s’abandonner sous mon regard, se mettre pattes ou engloutir un sexe, elle aime aussi rejoindre un homme, seule. Elle me l’a avoué, ma présence n’est pas toujours souhaitée.

Certes, j’ai pris acte. Depuis, notre arrangement est simple : elle fait ce qu’elle veut, quand elle veut avec qui elle veut, mais elle est tenue de m’envoyer une photo. N’importe laquelle, une chaussure, un bas sur le sol, une culotte, une photo d’elle dans la salle de bain, le lit, ce qu’elle veut.

La seule obligation est que ça doit être une photo volée, faite et envoyée à l’insu de l’amant. L’objet de notre complicité, il peut la baiser autant qu’il veut, le cocu, d’une certaine manière, c’est lui.

Je vous raconte ça parce que samedi, j’ai reçu une photo d’elle en reflet dans un miroir. On voit ses jambes magnifiques, réhaussées d’escarpins pointus, elle a encore sa culotte, on ne voit que ses jambes et cette photo m’a excitée comme un dingue ! Je suppose que c’était avant de faire l’amour, il a dû être émerveillé, je l’ai envié, mais celui qui a vraiment de la chance, c’est moi…