Mon expérience de femme de candauliste épanouie et heureuse part 9 : incroyable mais vrai, je trompe mon amant avec mon mari

Par julie_43 le 12 novembre 2013 4
Dans Expériences candaulistes

J’ai passée environ 2 heures à lire, allongée sur le lit en chien de fusil, mon amant se délectant de mes pieds, le sperme sortant lentement de mon minou fécondé à ras bord, j’étais bien, mon mari s’occupait de l’intendance, préparait un bon petit plat dans notre cuisine, pendant que sa petite femme flemmardait auprès de son amant.

En fait c’était un juste retour des choses, ce sont toujours les hommes qui mettent les pieds sous la table, qui trompent leurs femmes avec des maîtresses plus jeunes, plus performantes, plus sensuelles, hé bien là c’était le contraire, vraiment, sincèrement, c’est quelque chose que je conseille à toute les bonnes épouses, et si elles ont un mari trop c.. pour les comprendre, qu’elles en change, il y en a des millions d’autres sur cette terre.

Vers 20 H Philippe monta dans la chambre, et regarda un long moment le joli tableau de sa petite Julie se faisant sucer les orteils par un gentil jeune homme fort bien fait de sa personne. Mon mari se mit à genoux à mon niveau et me dit le regard amoureux :
- " tu sais que t’es belle toi ! et dire que je ne m’en était pas aperçu ".
Je lui fit une petite bise sur la bouche, toute tendre, du bout de lèvres .
- " merci mon chéri .... "
Puis je l’embrassais plus sensuellement, pendant que pierre continuait à déguster consciencieusement mes orteils, sans se lasser le moins du monde.
- " on va manger mes chéris ? "
Je me levais repue de tendresse et de calins, puis j’ajoutais en embrassant encore mon mari .
- " je vais me doucher, j’en ai pour un quard d’heure ....."
- " tu devrai encore garder le sperme dans ton minou, tu sais mon amour ".
- " t’inquiète mon chéri, il y en aura encore d’autres fois, des jolis petits spermatozoïdes pour faire la fête à mes ovules ".
- " oui, c’est vrai, tu as raison ! "
Pierre ajouta enthousiaste
- " je viens avec toi julie ".
- " hop, hop, hop, la prochaine fois tu viendras te doucher avec moi, ce soir il faut qu’on mange ! "

J’embrassais aussi Pierre sur la bouche, et me dirigeai vers la salle de bain, pendant que mes hommes descendaient les escaliers en discutant gaillardement entre eux. Cette maison me plaisait de plus en plus, je voulais y rester 150 ans et ne plus jamais en sortir, ou alors juste pour faire deux à trois commissions, et vite y rentrer de nouveau.

Je descendis de la salle de bain assez rapidement, ce qui pour moi était un exploit sans précédent, pour m’assoire en face de mes 2 hommes. Pierre était en peignoir de bain, et je posais trés vite un petit pied sur ses belles coucougnettes, il y a des habitudes à table qu’il ne faut pas perdre, comme dire le bénédicité, faire le signe de croix, etc....

Moi aussi j’étais en peignoir de satin trés court, les seins à l’air, histoire de faire en sorte que les regards libidineux de mes 2 mâles soit captivés par ma présence, et non pas par celle de la télévision, et ça a marché, durant tout le repas ils n’ont regardés que moi, que moi, et encore moi ! La télé aux oubliettes, tu parles si je buvais du petit lait. Je prenais des poses, je souriais, je plaisantais, 2 paires de soucoupes fixés sur mes tétines, j’étais la reine de la soirée, je pense que je leur aurais demandée la lune, ils seraient aller la chercher, mais bon vous connaissez mon bon cœur, j’ai eue pitié d’eux .....

De temps en temps mon mari disait :
- " nom de dieu, c’est pas croyable ce que t’es belle ! "
Pierre d’ajouter le regard brûlant :
- " ha oui oui, ha oui oui ! hola la oui ..... "
et je continuais ma discussion, feignant de n’avoir rien entendue.

Les femmes c’est toujours comme ça, mon bon monsieur, ça aime être la reine de la soirée. L’atmosphère de la cuisine était palpable de chez palpable, ça bandait dans tout les coins, même les petits coins, ça bandait, ça bandait, j’étais fière de ma féminité.... On me trouvait plus belle que la télévision !

Nous avons mangés de fort bon appétit, en rigolant, en nous chamaillant, deux regards attachés à mes seins globuleux, on a décidés de ne pas sortir ce samedi soir, de rester regarder miss télé en petit comité, de se faire une soirée papa, maman, et le bébé de 18 ans, mais je pense surtout que mes hommes avaient envie de me voir les fesses et les seins à l’air.
- " on va boire un verre quelques part mes chéris ? "
- " hooo, boof non, tu sais ce soir on est fatigués, on sortira une autre fois ".
Après avoir débarrassée la table avec Pierre, nous sommes allés au salon, nous tenant par la main, le plus amoureusement du monde. Mon mari était déjà assis sur un coin du canapé, et avait déjà commencé à zapper comme un dément.

J’étais toujours en veste de pyjama, celle qui m’allait si bien, moulant mes formes, dévoilant ma féminité, ou plutôt l’exacerbant à l’extrême. Fesses nues, seins à l’air, ticket de métro, je montrais tout, je ne cachais rien de ma marchandise, et mes amours étaient heureux, heureux, vous ne pouvez pas savoir, en fait il suffit de pas grand chose pour contenter un homme.

Je m’assis au milieu sur le canapé, Pierre d’un coté, mon mari de l’autre, embrassant Pierre tendrement sur la bouche.... plusieurs patins d’affilé, donnés goulûment, puis je m’allongeais. Je posais mes pieds sur les cuisses de mon mari, ma tête sur le ventre de Pierre, en fait je me partageais, fesses cuisses et pieds offerts à mon mari, seins et tête offerts à mon amant, j’ai toujours été une femme très généreuse.

Philippe lâcha la zappette, et pris un peton dans ses mains pour me le caresser, j’écarquillais les yeux, jamais avant ce jour il ne m’avait caressés les pieds, ou alors machinalement, comme ça sans se rendre compte, mais ce soir il insistait encore et encore, il poussait même la chose à m’embrasser le pied avec application, je n’en revenais pas.

La zappette était sur la table basse, et personne ne s’en servait, tout le monde s’en foutait. De l’autre coté j’avais posée mon joli minois sur le ventre de mon amant qui avait illico presto attrapé mes seins, pour me les caresser tendrement.

Une soirée qui s’annonçait la plus géniale au monde. Une émission de cirque se déroulait, avec des lions, des clowns, des équilibristes, des ceci cela, et nous regardions, sans trop savoir ce que l’on regardaient, seul comptait l’instant présent, remplis de douces caresses, de bonheur, de tendresse. Les clowns en fin de compte, on s’en foutaient éperdument, il n’y avait que de l’amour.

Au beau milieu de la séance, alors que je regardais je ne sais plus vraiment quoi, remplie de douceur, les plis du peignoir en coton s’entrebaillérent, et une grosse chose, comme un serpent en sorti, un truc énorme qui me regardait droit dans les yeux, tappit dans l’ombre de la télé, attendant son heure pour me mordre au visage, le gros machin chose, bête immonde était à deux centimétre de ma bouche.

Je louche dessus, c’était gros, tout rose dodu à souhait, en fait ça n’avait pas l’air si méchant que ça, et puis hooo... une goutte de sperme apparait, j’approche ma bouche, la goutte grossit, et grossit encore, je passe ma langue, HUMMMMM, ça avait bon goùt..... hoo, une autre goutte de sperme, je n’en reviens pas, je repasse une petite langue, et encore une autre goutte. J’ai pensée en fait que mon amoureux était en train de s’enrhumer, bientôt il allait avoir une vilaine grippe avec plein de température.....

Mon pauvre chéri d’amour, je le sentais plein plein plein de frissons, il me fallait vite faire quelques chose, le gros gland était monté en température, et sans trop réfléchir en fait, infirmière dans l’âme, j’ai ouverte la bouche, et je l’ai mis au chaud au fond de ma gorge, voilà, maintenant il était bien, Pierre était encore parcouru de gros frissons, d’un tas de spasmes, de convulsions hyperthermique, mais j’avais bien maitrisée la situation .....

Je le sentais plus détendu, plus reposé, moins crispé, il commença même à faire des aller retours, en gémissant car la fiévre montait , montait , montait.... Mon mari m’embrassait le pied, parfois il discutait avec moi, me posait quelques questions sur l’émission de téle, regardant la chose aller et venir à bonne vitesse, il n’a rien fait pour me porter secours, ce vilain monsieur, sa femme était attaquée par une grosse bête immonde, et juste il m’embrassait le pied, hypnotisé par l’horreur de la situation, ça allait, ça venait, ça allait, et encore ça venait.

Parfois la bête sortait de ma bouche, et vite cherchait à y entrer, la cadence accéléra encore, Pierre gémissait, gémissait de plus en plus fort, on aurai dit que le mal voulait sortir de son corps, bientôt de grosses giclées envahirent ma petite bouche, j’avalais tout pour ne rien laisser de la fièvre qui avait terrassé mon amant, gloup, gloup, gloup...gloup... enfin ça se tarissait, j’étais fiére de moi, Pierre avait failli avoir une vilaine grippe, et je l’avais guérie d’un seul coup, quelle femme j’étais !

Les gouttes commençaient a se tarir, le sperme ne coulait plus, et mon haleine avait pris une odeur particulière, celle d’une femme qui vient de tailler une pipe .
C’est incroyable, comment mon amoureux avait tendance à très souvent s’enrhumer par la quéquette, j’ai remarquée que c’était surtout quand j’étais à proximité, souvent en petite tenue, alors que ça aurai due être à moi à m’enrhumer.

Chaque fois j’étais obligée de soigner ce pauvre garçon, et à force de pratique je connaissais le remede efficace, je me mettais à genoux, je faisais des petites bises délicates sur le bout de son rhume, et je le mettais au bien chaud dans ma petite bouche.

Mon mari par contre, c’est un homme qui s’enrhume tout le temps par le nez, je pense que c’est pour ça que je ne l’ai pas souvent sucé. Lui sucer le nez, peurg, peurg, peurg ...... peurg .

J’ai finie d’avaler les derniére gouttes de sperme, bien nottoyée son gland afin qu’il puisse à nouveau servir rapidement, puis j’ai dit :
- " aller mon chéri, il faut aller te coucher, l’émission est terminée ".
- " mais Julie, j’ai pas sommeil !...... "
- " si si si, lundi c’est ta rentrée des classes, tu dois être en forme ".
- " heu.... heu... tu viens te coucher avec moi ? "
Pierre avait la demande hésitante, ne sachant pas trop ce que j’allais dire.
- " oui mon amour, je viens dormir avec toi, mais d’abord tu fais ta toilette, et tu te couche ".
je regarde mon mari, et j’ajoute :
- " haaa, mais ! "

Pierre monta les escaliers, heureux de ma réponse. Philippe était assis à coté de moi, puis quand le jeune homme eu disparu, il en profita pour me caresser un sein, en me disant :
- " c’était vraiment génial, tu l’as bien sucé...... vraiment, génial ".
- " tant que ça ? "
- " hooo oui ! et tu sais ce qui serai génial aussi ".
- " ben non ? "
- " ce serai qu’il te fasse un bébé ".
- " un bébé ?..... tu as bien dit un bébé ? "
- " oui, oui j’ai bien dis un bébé ! "
- " mais mon chéri, tu es à moitié cinglé, tu as vu l’age qu’il a, il est beaucoup trop jeune pour ça, il faut qu’il fasse ses études, c’est délirant ton truc ".
- " ben non, pas tant que ça...... regarde j’ai réfléchi, il a actuellement 18 ans, toi 38, dans 5 ans il aura terminé ses études, il aura 23 ans, toi 43, il sera en age d’être père, et toi 43 tu seras en pleine possession de ta féminité et de ta maternité ".
- " un bébé à 43 ans ?.......? "
- " oui c’est l’age parfait pour une femme, tu pourra être la plus belle des mamans. J’ai bien vu que ce garçon est très amoureux, et toi aussi de lui, ce n’est pas qu’une passade, alors autant que ce soit lui qui te féconde ".
Je baissais la tête pour réfléchir : un bébé avec mon amoureux.....mon visage s’illumina ......
- " hoooo, merci mon chéri, merci, merci, merci ".
J’approchais mon visage de mon mari, afin de l’embrasser, il me retint rapidement par les épaules .
- " non julie, tu as encore du sperme plein la figure, va te laver ma chérie ! "
Et voilà, mon philippe m’avais mis ça dans la tête, ce couillon ! dans 5 ans j’allais être maman, 5 longs noëls à attendre, mais le 6e serai mon noël à moi, mon cadeau à pouponner, j’étais heureuse vous ne pouvez pas savoir.
Je commençais à monter les escalier, quand il me dit à voix basse, presque chuchotée :
- " Julie....Julie......Julie ! "
je m’arrêtais et le regardais
- " ouiii ?..... "
- " heuu , tu sais ce soir , heuuu.... je pourrai peut être te ...... "
- " tu pourrai me ????........me quoi ? "
- " je pourrai te ...... "
Philippe mime avec ses main comme si il était en train de me prendre en levrette .
- " tu voudrai me.....? "
- " oui te....tu vois ".
il mime à nouveau la levrette
- " t’auras qu’à attendre qu’il soit très endormi, et tu viens dans mon lit.
Les yeux écarquillés, je fis oui de la tête, et de la main lui envoyais une bise de papillon, il en fit de même de son coté, pendant qu’il me regardait monter les escaliers sur la pointe des pieds.

Tout en faisant ma toilette, je réfléchissais à ce qui venait de se passer : " ben vl’a autre chose, mon mari qui se met à vouloir me baiser maintenant, on aura tout vu, ça faisait au moins 6 mois qu’il ne m’avait pas pénétrée, et encore quand je dis pénétrée.....ben dit donc, ce soir était le soir de tout les exploits, j’allais tromper mon amant avec mon mari ?????

Je ne pouvais pas lui dire non, on remets ça à un autre jour, tu sais, pierre n’a pas arrêté de me faire ma fête aujourd’hui, je suis complètement crevée mon chéri, j’ai besoin de sommeil, cela aurait été complètement indécent.....

4 commentaires

Grâce, charme² et humour³ en plus...

Par Jil Daatano le 12 novembre 2013

Décidément Julie, vous avez tous les talents,
sans parler des rhumes turgescents qui dangereux pour l’homme
ni des autres thérapies prophylactiques que
◦°◦
Il faudrait que des aphorismes de vos textes soient lus par les maires dans la salle de mariage à la place de ce serment (serre + ment) désuet qui ne marche pas.
◦°◦
Votre don du corps à la Science a quelque chose de divin.
Merci Julie. Dieu se joint à moi.