Marion 2e et derniére partie

Par julie_43 le 19 juin 2014 3
Dans Expériences candaulistes

Marion s’était redressée, dos à André qui avait attrappé ses seins à pleines mains, Il l’embrassait à nouveau trendrement dans le cou, pendant que la jeune femme continuait à discuter avec son mari, de nouveau une érection bien bandée entre ses jolies fesses toutes rondes. Alex regardait la grosse flaque de sperme entre les jolis petits pieds de son épouse, pendant qu’André fit remarquer :
- " je vais chercher la serpillère, on risque de marcher dessus !
Alex ajouta :
- " non je vais y aller moi, vous n’avez qu’à faire connaissance tout les deux, dit moi où tout cela se trouve.
Il brancha le pilote automatique, comme lui avait expliqué son ami, se releva et dit à sa femme, pendant qu’andré tenait fermement ses seins plantureux à pleines mains, caressant les aréoles dilatées avec ses index, un peu comme s’il allait les offrir à son ami. Alex en profita pour embrasser Marion sur la bouche. La jeune femme se retrouvait à nouveau, dans un état vaporeux, où seul régnait la douceur des caresses, la tendresse des bisous, la volupté de la bandaison entre ses fesses. Puis son mari lui dit :
- " je ne serai pas long ma chérie, je vais aussi nous préparer un bon café, il est onze heure, j’ai l’estomac un peu vide .
André dirigea Marion vers la banquette du fly, les seins toujours soupesés par deux belles mains d’athléte. L’homme l’assis sur ses cuisses, et se mit à la caresser de la tête aux pieds, des pieds à la tête, l’embrassant constament sur la bouche . Le sexe de Marion est épilé en ticket de métro, comme ses cheveux sont blanc, ses petits poils pubiens aussi le sont aussi, ce qui excitait encore plus son amoureux . Avec ses gros doigts body buildés, il caressa sa jolie petite fouffe, toute douce, toute duveteuse, et sa bandaison devint franchement catastrophique, un doigt caressa les grandes lévres humides à souhait, les écarta, puis d’un mouvement de va et vient, lentement, trés lentement, avec application, sur son chemin explorateur, il trouva un joli petit clitoris excité par tout ces calins. Il se mit à le titiller avec une douce application.
De nombreuses décharges électriques commencérent à envahir le ventre de la jeune femme. Elle était bien assise sur les cuisses de cet étalon, le corps caressé par la brise méditéranéenne,les cheveux emportés par le vent, embrassée langoureusement, à l’ombre du auvent, offerte aux décharges electriques qui l’inondait. Elle eu quand même le courage de demander entre deux soupirs :
- " mais , mais, vous étes tout le temps en érection !..... "
- " c’est que tu es si belle, si désirable, tu es ... tu es la femme de ma vie. "
Marion était encore sur son petit nuage vaporeux, elle n’avait pas vraiment atterrie, depuis les premières secondes où les mains d’André s’étaient posées sur ses hanches joliment dessinées, qui appelaient la caresse de l’étalon, elle ajouta tendrement embrassée :
- " mon mari m’a dit que vous aviez de gros besoins sexuels, mais c’est pas croyable.... il avait raison ".
un gros doigt libidineux, body buildé s’est enfoncé lentement dans son petit vagin de femme, elle avait presque l’impression qu’un sexe était en train de la pénétrer. Ses sécrétions ont coulées encore plus abondantes, les décharges sont devenues plus intenses. André lui a demandé entre deux râles d’amour .
- " j’aimerai encore te pénétrer ma chérie ".
et Marion s’est entendue répondre, comme dans un film, comme si ce n’était pas elle qui répondait, comme si elle n’était plus maître de son joli corps de femme en chaleur.
- " ma foie, s’il le faut !....... "
Quand Alex est revenu, quelques minutes aprés être aller chercher la serpillère, il a trouvé sa femme allongée sur la banquette du fly, pénétrée en missionnaire par un énorme étalon rempli de chair et de musles, qui la recouvrait complétement, seuls dépassait de cette montagne de muscles les deux jolis petits pieds de son épouse aux ongles vernis de rose, et ses deux belles jambes de nymphe qui essayaient d’enlacer la taille du monstre, mais sans vraiment y arriver , il entendait aussi les jolis gémissements confirmant que c’était bien son épouse qui était dessous le mâle en rut. Son sexe allait et venait lentement dans le vagin de la jeune femme , dilatée d’une façon phénoménale. Alex pouvait entendre les cris de Marion, associés aux vrombissements des moteurs, à la brise marine, aux cris des mouettes, au fouet de l’eau sur la coque du bateau. Il voyait l’énorme sexe de son ami remplissant le vagin de sa femme, et ces deux jolis petits pieds qui n’arrivaient pas à enserrer la taille du bel étalon.
Alex se félicita d’avoir eu cette idée de génie, le bateau, la Corse et l’étalon ! depuis des années qu’il cherchait comment faire baiser sa femme par un autre, sans que cela ne soit obscéne, sans que Marion ne soit choquée ! comment faire pour lui donner un amant ? Et puis il y avait eu André un ami de longue date, que son épouse ne connaissait pas, pour la bonne raison qu’il était toujours par monts et par vaux, à la recherche de la femme idéale, sans jamais la trouver, un amoureux des bateaux, un dingue du body building . Alors il avait proposé une nouvelle expérience à son ami, d’abord au téléphone, puis il était aller le voir chez lui du coté de Montauban. Et voilà c’était fait, Marion se laissait féconder, ses petits pieds avaient renoncés à enlacer la taille de l’étalon, elle gémissait, gémissait sous les coups de queue, puis elle s’est mise à crier, fort, trés fort, l’orgasme était au rendez vous de la saillie, le sperme de son ami se déversait dans le ventre de sa tendre épouse en saccades blanches épaisses, pleines de bébés, il pouvait même voir la laitance blanche qui commençait à sortir du vagin en ruisselet discontinu. Son ami avait posé sa bouche sur les lévres de sa femme, et l’embrassait gouluement, les spasmes semblaient diminuer, et Marion se calmer, toujours saillie par l’étalon, le ventre plein de bonheur. Les deux amants enlacés revenaient petit à petits à la réalité, arimés l’un à l’autre par un puissant pieux de chair.
Emergeant de ses brûmes, Marion aperçue son mari, debout au dessus d’elle, lui aussi en érection. Pendant qu’André se redressait, toujours son sexe planté dans son ventre, elle dit à son mari :
- OUUUFFFF, tu avais raison mon chéri, ton ami a de gros besoin.......
puis regardant le sexe de son mari :
- haa toi aussi tu bandes ? mais c’est incroyable ça !!....... l’effet que vous fait ce bateau !
le sexe bien raide de son mari , s’approchait inéxorablement de sa jolie petite bouche. La queue encore bandée d’André était en elle, pas vraiment décidée à sortir de son vagin fécondé par l’amour de son amant. Maintenant Marion, toujours allongée sur le dos, commençait à loucher sur le gland tout rose à quelques millimétres de sa bouche, elle regarda son mari, elle regarda le gland, elle regarda à nouveau son mari, puis elle ouvrit la bouche , et le gland est entré, il a fait comme chez lui, il connaissait la maison, a ouvert le réfrigérateur, a mangé sur la table de la cuisine, et s’est même fait taillé une petite pipe par la maitresse de maison.
Marion a toujour aimée sucer, elle était vraiment experte en turlutes, d’ailleurs elle aurai due avoir un diplôme pour cela. Elle aimait le gland doux comme une guimauve, la tige dure et ferme, les goutellettes de sperme au bout de la queue, ainsi que les saccades qui descendaient le long de son oesephage. Depuis la première pipe qu’elle avait faite à 17 ans, elle a toujours aimé cela, personne ne pouvait lui résister, d’ailleurs personne n’essayait de lui résister. La pipe était trés douce, les lévres glissants sur le membre bien raide d’aise et de plaisir, se laissant pomper allégrement dans un état de bien être et d’extase. Marion pompait son mari, sans mettre les mains, juste en le regardant dans les yeux, parfois avec la bouche , elle tournait autour du sexe, puis reprenait ses aller retour, on voyait de toute évidence qu’elle aimait ça, qu’elle prenait un malin plaisir a emmener son mari au bord de l’éjaculation, puis de diminuer, pour recommencer plus vite, puis diminuer, jusqu’à l’explosion finale, qu’elle déglutissait au fond de son estomac.
André avait fini de se retirer de Marion, et la regardait déglutir les yeux écarquillés, il se permis de dire admiratif :
- ben dis donc..... génial ces vacances !..... bon je vais servir le café , avec les croissants que vous avez apportés.
Alex s’est remis à la barre les bobolles vidées, afin de vérifier le trajet du bateau, puis il prit un solide petit déjeuner avec sa femme et son ami.
Le bateau traçait tout droit vers la Corse, quand ils ont déjeuner vers 14 h. Marion était leur reine, plutôt leur siréne . Les deux homme étaient aux petits soins avec elle, ils n’ont pas voulu qu’elle fasse la cuisine, ils se sont occupés de tout pendant qu’elle se faisait bronzer sur le fly, il lui ont seulement demander de garder le sperme dans son ventre de femme.
Ils se sont occupés de tout, tout, tout, elle a juste eu à se faire bronzer, ils lui ont même passé la créme solaire, partout, partout, ils n’ont oubliés aucun recoin, elle pouvait se faire bronzer, sans aucun soucis, elle n’était pas préte de se prendre un coup de soleil.
Pendant que ses hommes faisaient la cuisine, mettaient la table, préparait l’apéro, tout en surveillant le bateau. De temps en temps, il y en avait bien un, qui lui roulait un patin, un autre venait rapidement la téter pour se donner du courage, un autre lui embrassait les pieds, un autre lui léchait l’anus quand elle bronzait sur le ventre. Enfin que des choses simples, pas difficiles, qui apporte le bien être féminin, puis ils ont mangés, bien rigolés, Marion se sentait envahie de tendresse et de calins, elle était bien sur ce bateau, offerte au vent de la méditérannée. André s’est remis à bander, on pouvait voir son gros gland effleurer le bord de la table du fly, il a dit à Alex :
- si tu permet, je vais faire la sieste avec ta femme....
Alex a permis, son ami s’est levé, a pris son épouse dans ses bras musclés , et l’a déposée délicatement sur la banquette, là où le auvent apportait de l’ombre, la queue était immense, éclatante de désir pour cette belle femme viking à la féminité envoutante, à la douceur incomparable. Il s’est allongé derriére elle, et l’a pénétrée lentement, millimétre par millimétre, il est entré dans le vagin comme on rentre dans le palai des milles et unes nuits, le mari pouvait voir la queue pénétrer dans sa femme, les gros testicules enflés de sperme. Marion gémissait doucement offrant sa bouche aux tendres baisers de l’étalon qui la saillait en prenant son temps. André était trés délicat avec elle, une montagne de muscles amoureux d’une petite souris. Il lui disait tendrement à l’oreille :
- mon amour, qu’est ce que t’es belle !..... je t’aime, je t’aime......
et la queue s’enfonçait, s’enfonçait lentement. André la bisoutais, la bisoutais, et la jeune femme gémissais doucement ... des petits cris de petite souris pénétrée. Une fois le sexe au fond de la femme, ils sont restés comme ça, accouplés pour l’éternité, et se sont endormis à l’ombre du auvent. Les vrombissements du moteur, et le sexe qui la dilatait apportaient des sensations nouvelles dans le ventre de la jeune femme. ils se sont assoupis, l’un contre l’autre, l’un dans l’autre, parfois elle sentait des petits bisous d’André sur sa bouche, parfois c’est son mari qui lui tétait un sein, tout en surveillant le bateau, puis elle se rendormait dilatée par un sexe puissant et viril. La jolie petite sieste a durée environ une heure, André ne se pressait pas pour la féconder, il savait qu’elle avait admis qu’il devienne son amant, il prenait son temps se délectant de sa posséssion, savourait son bonheur d’être dans cette belle femme offerte par un mari complaisant. Il s’est mit à discuter avec Alex de tout et de rien, pendant qu’il pénétrait tendrement sa femme, allongée sur le dos, tournée de trois quard vers lui, offrant ses fesses et son vagin à son sexe d’étalon en rut.
Les deux hommes ont parlés, pendant que la femme sommeillait pénétrée. Alex voulait savoir à quelle heure environ ils allaient arrivés, André lui répondit que vers 18 à 19 heures, ils arriveraient du coté de Saint Florent ,et du désert des agriates, qu’ils passeraient la nuit seuls, là bas, pas trés loin des plages de sable blanc. Marion commença à se réveiller, le minou enflé de bonheur, elle cligna des yeux, aveuglée par le ciel bleu, mit une petite main sur son front afin de voir ce qui se passait, et André l’embrassa délicatement sur la bouche, tout en augmentant la vitesse de ses aller retour. Elle caressa le visage de son amant, et lui demanda :
- ça va mon chéri, tu as bien dormi ?
André accéléra encore, excité par la femme qui se réveillait dans ses bras, Marion ferma les yeux, huuummm que c’était bon, quelle débauche de bonheur, pourquoi avait elle résistée la premiére fois où son mari lui avait proposée de prendre un amant, pourquoi avait elle dit non, elle ne savait plus, ni pour quelle raison idiote, mais ce sexe qui n’avait pas l’air de se lasser..... huuuummmm que c’était bon. Elle redécouvrai le plaisir d’être désirée et pénétrée .Elle embrassa tendrement son amant sur la bouche et lui demanda :
- tu me donne ton sperme mon chéri...... Hummmmm ouii donne moi ton sperme.
Elle se retourna complétement , dos à lui, fesses offertes, et il accéléra , dilatant frénétiquement le vagin de la femme qui gémissait doucement. Son mari mit le pilote automatique et vint s’agenouiller prés d’elle, pour l’embrasser sur la bouche .
- c’est bon ma chérie ce qu’il te fait ?
- hooo ouiii c’est bon.... il l’a trés grosse ....
elle embrassait son mari sur la bouche, pendant que son amant la dilatait avec frénésie. Maintenant Marion acceptait le fait d’avoir un étranger en elle, un homme qu’elle ne connaissait que depuis quelques heures, et qui la besognait devant son mari, sans aucun scrupules. Elle avait acceptée le fait d’être offerte, pour les vacances, afin que l’étalon puisse bien se les purger, une femme sur un bateau, doit accepter les saillies des hommes qui y sont, sinon c’est vrai, il pourrai être agressifs entre eux .
Agressif ? André ne l’était pas du tout, il avait seulement une envie montrueuse de baiser la femme de son ami , cette épouse si tendre, douce, fidéle, qui n’avait jamais vécue que pour son mari et ses enfants. L’homme était déjà tellement amoureux de cette belle viking, qu’il avait fabriqué une quantité phénoménal de sperme, et lui a bien bourré le cul d’un bon milliard de spermatozoïdes, la remplissant ras bord, pendant qu’elle embrassait son mari gouluement sur la bouche, lui faisant partager ses émotions de femme dilatée.
Marion gémissait de plaisir et de bonheur, pendant qu’André lui déversait tout ses spermatozoïdes. Elle tenait son mari entre ses main, lui disant que c’était bon le sexe de son de son ami dans son vagin, et toute ces saccades trés puissantes, elle le remerciait de l’avoir offerte à l’étalon, tout en poussant des petits cris de plaisir. Elle lui faisait partager le bonheur d’être possédée virilement. André lui avait délivré les derniéres gouttes, tout en la tenant fermement par les hanches, et la jeune femme avait partagée ce moment d’extase avec son mari, tout en l’embrassant maternellement, elle lui avait fait les commentaires, trouvant cela excitant de le faire participer à la saillie .
- HHuuuummm, mon chéri , ton ami à beaucoup, beaucoup de sperme, HUUMMM , c’est booonnn.... c’est chaud.... OOuuuuffff , il me dilate.....là il me donne ses derniéres gouttes....HUMM, hooooo, oui , mon chériiii, c’est un bel étalooonnnn !!!......
Marion, avait compris le petit jeu de son mari, elle trouvait cela de plus en plus excitant,de tout lui raconter de son orgasme, pendant qu’elle était pénétrée , et puis tout s’était terminé, la laitance avait remplie son ventre, l’étalon venait de se retirer, laissant l’épouse pleine. Marion dit à son mai :
- ooouuuff, qu’est que c’était bon , il m’a faite bien jouir ..... bon c’est pas tout ça, mais je vais aller me doucher !
- hoo , non ma chérie , il faut que tu garde le sperme, reste allongée.
- ha non, je ne vais pas rester toute la journée allongée sur ce bateau, vingt quatre heure sur vingt quatre, sinon je ne vais faire que de la graisse, et vous n’allaient plus me reconnaitre à la fin des vacances.
- mais le sperme va tomber .....
- la belle affaire, je l’essuirai .
Marion s’est levée, et a disparue par l’échelle, elle a pris possession d’une salle de bain, s’est douchée , maquillée, à refait les ongles des pieds et des mains, à pris soin de sa petite personne, pendant au moins deux bonnes heures, pendant que le bateau filait vers la Corse de ses amours. Piloté par son mari et son amant qui discutaient sur le fly.
André ne se tarissait pas d’éloge pour Marion, disant à son mari qu’elle correspondait vraiment à la celle qu’il attendait depuis longtemps. Il était porté sur les femmes commes elle, blondes aux longs cheveux, aux hanches bien galbées, avec des gros seins, douce et maternelle à la fois, ce qu’il aimait aussi c’était ce jeu sexuel à trois, où l’épouse est offerte. Il lui demanda aussi s’il pouvait tomber amoureux de sa femme, et Alex lui a dit oui, que c’était normal qu’il tombe amoureux d’une princesse viking. Il lui avoua que depuis trés longtemps, il cherchait ce type de relation triangulaire avec sa femme, mais il y avait eu les enfants à éduquer, les préjugés à dépasser, les limites de Marion pour ce type de sexualité. Pas facile d’avoir des relations enrichissantes avec une femme, même la plus belle soit t’elle, aprés trente ans de mariage, et puis il fallait trouver le bon étalon , ce qui était le plus difficile, il se demandait pourquoi il n’avait jamais pensé à son ami, ni à ces vacances en bateau . Il complimenta André, lui disant qu’il était vraiment fait pour sa femme, cela se voyait comme le nez au milieu de la figure, et comment Marion avait accetée trés rapidement une premiére relation, trés peu de temps aprés être montée sur le bateau, alors qu’elle avait été une femme plus que fidéle jusque là. Il lui avoua qu’il avait aimé regarder son épouse pénétrée par son sexe d’étalon, la voir et l’entendre gémir de plaisir, et toute cette flaque de sperme sur le fly. Les hommes révaient, fantasmaient sur la belle princesse viking, tandis que le bateau arrivait au large des cotes Corse, quant ils s’en rendire compte, ils l’appellérent presque en coeur.
A quelques encablures se dessinait le désert des agriates. Ils choisir une plage déserte, et André pris la barre pour jeter l’encre à deux cent métres de la plage, puis ils mirent l’annexe à l’eau. Ils se sont baignés chamailler, ont embrassés Marion de toute les façons possible, ils lui ont passé de la créme solaire, à quatre mains, pendant qu’elle était allongée sur son drap de bain, ont explorés ses deux jolis petits trous, mais ce que la jeune femme voulait c’était prendre le soleil, elle ne voulait qu’aucun des deux hommes ne la couvre, ça pouvait attendre, ils avaient toutes les vacances pour cela, alors de temps en temps elle râlait un peu quand un des deux hommes devenait trop entreprenant, la seule chose qu’elle leur permettait c’était de la doigter, alors les deux amis ne s’en privaient pas. Le vagin et l’anus de Marion était bien occupés pendant qu’elle prenait le soleil Corse sur sa jolie peau blanche. Ils sont restés un long moment, comme cela, à parler, à bronzer, à doigter, puis la jeune femme est allée se baigner pendant que ses deux amoureux bandaient sur la plage. Ils sont restés un long moment comme cela à desirer la jeune femme sans la pénétrer, ils savaient qu’ils avaient toutes les vacances pour cela, c’était bon de bander pour elle, et de le lui montrer. Marion a appréciée tout cela, tout ce désir, ces caresses sur son corps, ces tendre baiser sur sa bouche, ces deux chandelles allumées en hommage à sa féminité, elle faisait semblant de ne pas le voir, mais qu’est ce qu’elle était bien..... Alex avait raison , c’était génial le naturisme, maintenant elle ne voulait vivre que comme ça. Parfois c’était André qui l’embrassait sur la bouche tout en la séchant avec le drap de bain, parfois c’était son mari, et personne ne se pressait, les caresses étaient douces sur son jolis corps de femmes, ses seins souvent caressés, ses mamelons souvent tétés. Quand elle parlait ses deux homme l’écoutaient religieusement, tout ce qu’elle disait avait parole d’évangile, pendant que de douces mains l’exploraient.
Puis il ont regagnés le bateau, plein d’amour et de soleil, et Marion a voulu préparer le repas du soir, montrer ses talents de cuisiniére à André qui ne les connaissait pas . Bien sur, en bateau on ne peut pas faire de la grande cuisine, mais la jeune femme s’est bien débrouillée, et les deux mâles ont apprécié. Puis est venu le moment de dormir, et André a demandé à son ami :
- puisque c’est la premiére nuit, ce serai bien si je dormais avec ta femme ?
Alex avait de suite accepté, il avait trouvé cela normal que l’amant dorme avec l’épouse, alors ils ont pris chacun une salle de bain, pour faire leur toilette, il y en avait trois sur ce bateau, et Marion avait besoin de place pour ses soins de maquillage.
Quand le mari est sorti de sa salle de bain, pour entrer dans la chambre d’André, il aurai bien voulu pénétrer un peu sa belle épouse avant d’aller se coucher, mais son vagin était déla occupé par son ami qui la dilatait dans la position du missionnaire, sa bouche aussi était occupée par la bouche d’André en train de lui rouler un formidable patin d’amoureux, de plus la masse de muscles que représentait son ami était tellement imposante qu’il recouvrait complétement son épouse, rendant l’ accés à son anus impossible, seuls dépassaient de part et d’autre, deux petit pieds, qui essayaient d’enlacer l’étalon sans y parvenir, il a donc du se contenter de cela. Il a pris un petit pied , l’a embrassé, lui a léché les orteils, pour lui dire :
- bon , ben bonne nuit tout les deux.....
Il eu pour seule réponse les cris de petite souri de son épouse, qui gémissait pénétrée par son ami, elle n’entendait rien, et se laissait faire dans le plaisir de l’accouplement, sa bouche collée à la bouche de son amant, le minou tendrement dilaté . Alex se retira à regrets regardant sa femme pénétrée par son ami, et leur dit
- bon , ben à demain, faites de beaux rêves, et ne faites pas de bruits, on a le droit de dormir, même en vacances.
Marion n’a rien entendue , au prise avec les affres de l’orgasme, mais André a répondu :
- oui à demain, dorts bien.....
et il a reposé sa bouche sur la bouche de la belle épouse offerte.
Alex, n’a pas voulu se masturber, il a seulement pensé à sa femme en train de se faire dilater dans l’autre chambre, de prendre un immense plaisir le ventre rempli d’une autre queue que la sienne, bientôt son joli vagin de femme allait se remplir d’une autre laitance , il avait remarqué que le sperme sur le fly avait été vraiment trés abondant, sa jolie petite femme, allait vraiment prendre beaucoup de plaisir avec un homme trés beau et si bien monté, puis il s’est endormi en débandant petit à petit.
Dans l’autre chambre son épouse était tendrement pénétrée, il y a quelques jours , hier même, elle n’aurai jamais penser à une telle situation, elle connaissait à peine l’homme qui lui faisait l’amour avec autant de ferveur, elle n’avait jamais eue autant de plaisir, et ce sexe en elle, qu’est ce qu’il était beau et viril, lui apportant des sensations nouvelles, incunnues par son corps de femme, ce bonheur d’être saillie par un bel étalon hypermonté, d’être désirée en présence de son mari. Le sexe allait et venait lentement, lui soutirant de petits cris, elle était pleine du désir de cet homme qui l’embrassait sur la bouche, sur le visage, il ne disait rien, il la baisait avec douceur et application, il la baisait comme une horloge, tchic, tchac, tchic, tchac....... excité par la situation de femme offerte, par la beauté et la douceur de la tendre épouse. Il était en train de tomber amoureux de la femme de son ami, lui apportant tout son amour, tout son désir d’étalon.
Le coït a duré un long moment, le bateau tanguait, André pénétrait, tchic, tchac, tchic, tchac......Marion gémissait, son mari dormait . On pouvait entendre le clapoti des vagues sur la coque , et Marion qui disait son bonheur à la Corse, l’homme lui faisait des petits bisous sur la bouche, il ne voulait pas changer de position, pour lui c’était celle où la femme était totalement offerte, abandonnée au plaisir de la dilatation vaginale, c’était la position de la soumission sexuelle, quand l’épouse se donne cuisses complétement écartées à l’homme qui la domine, celle où l’on possedait complétement la femme. C’était comme cela qu’il voulait féconder sa belle princesse viking, en prenant son temps, afin de longuement apprécier le bonheur d’être dans cette femme, d’être en elle, tout en lui dilatant le vagin, de la voir vibrer à l’unisson de ses coups de queue. c’est dans cette position qu’il lui a donné son sperme en longues saccades invasives, qui n’en finissait pas d’amour, un long moment de tendresse chaude et gluante, inondant complétement le ventre de l’épouse offerte. Il avait attendu si longtemps pour la pénétrer, plusieurs mois à regarder ses photos, à se masturber en pensant à elle, à la désirer plus que tout au monde, comme un fou, comme un mendiant qui découvre un lingot d’or, pourtant il avait la possibilité d’avoir des centaines de femmes, mais elle, c’était la femme, avec ses longs cheveux blancs, ses gros seins maternels, ses formes galbées, sa beauté viking, qu’il ne se tarrissait plus de sperme pour elle, ça coulait, ça coulait dans le ventre de Marion qui explosa à son tour en orgasme multicolor, inondée de sperme, dominée par un beau mâle alfa qui a su la saillir.
Puis ils se sont endormis tendrement enlacés, Marion dos à son amant qui lui tenait les seins, pleine à craquer d’une semence de trés bonne qualité, bercée par les tangages du bateau, enveloppée par la moiteur de l’été. Ils ont dormis profondément, se calinant de temps en temps, pour se rendormir à l’unisson. Quand elle s’est révellée vers huit heure du matin, son mari était en train de lui téter un sein, a genou sur le sol de la chambre. Ses grosses mamelles dépassaient du lit , et son époux en avait profité. Elle lui caressa le visage, pendant qu’il lui demandait
- j’ai envie de te sodomiser ma chérie !........
Elle tourna son regard vers André, tout en continuant la tétée, celui ci dormait encore, allongé sur le dos, une grosses bandaison entre ses cuisses. Marion se retourna complétement vers son amant, posant sa tête sur son épaule, offrant ses fesses à son mari, qui à son tour s’allongea derriére elle. La jeune femme attrappa le beau membre en érection, le mari attrappa les hanche de sa femme . Marion aimait la sodomie qu’elle pratiquait souvent avec Alex, cet acte sexuel ne lui posait aucun probléme, elle adorait aussi la fellation, et ne s’en priva pas , avec le beau sexe d’André, elle commença d’abord par le masturber, afin d’apprécier la beauté du membre en érection, la lourdeur du sexe raidi, parfois soupesant les grosses bobolles, parfois le branlant avec douceur. Elle serrait trés fort le long tuyau de chair, lui apportant de belles sensations, lui donnant plus de fermeté. Elle le trouvait impressionnant, sa petite main n’arrivait pas à en faire le tour.La tête sur l’épaule de son amant, elle regardait le monstre qu’elle tenait en main, ses beaux yeux écarquillés sur le gros gland dilaté qui l’avait pénétrée cette nuit, un peu de sperme baveux sortait par le bout du méat, elle trouvait l’étalon magnifique comme cela, avec tout ces muscles, cette sensualité , c’était vraiment un beau mâle reproducteur, en pleine puissance viril, qui savait déclencher les chaleurs de la femme épanouie qu’elle était.
Son mari de son coté su s’occuper de l’anus de sa belle épouse viking. Il s’enfonça lentement dans son petit trou encore rempli des moiteurs de la nuit, et sodomisa sa femme jusqu’à la garde, il lui mit tout dans son joli petit cul, aux formes bien rondes, il avait bien bandé toute la nuit, aprés avoir vu sa femme le vagin amoureusement dilaté par son amant, et le plaisir immense qu’elle en prenait. Il avait fabriqué du sperme en pensant à son épouse en train de se faire féconder dans la chambre d’à coté. Il était donc excité comme un étudiant qui découvre le sexe quand il a sodomisée Marion, et son excitation grandissait en voyant la bouche de sa femme s’approcher du gland tout baveux de son ami. La femme offerte fit plein de bise sur le gros machin qui récurgitait un sperme translucide, elle s’en délectait avidement, sa joli langue a bien tout léchée, ses jolies lévres l’ont bien bisouté comme il faut, avec tendresse et application, rendant l’énorme gland encore plus imposant, encore plus gluant, rempli d’aise et de bien être. Maintenant il pouvait voir sa femme le mordiller, le bisouter, le lécher de sa belle langue, et puis elle a ouverte la bouche, avec une envie non dissimulée, un bonheur évident, une sensualité à toute épreuve, bientôt elle se nourrissait du gros gland amoureux, dilaté de plaisir. Elle se gavait de bonheur, essayant de le faire entrer au plus profond dans sa gorge, mais l’engin était si gros qu’il ne pouvait aller trop loin, occupant pleinement la bouche offerte, bavant généreusement dans ce palai viking . Alex pouvait voir sa femme déglutir le sperme bavé par l’amant, se repétre de sa semence, il accéléra donc sa sodomie, et Marion se mit à gémir, tout en masturbant le sexe, le gland dans sa bouche.
Son épouse branlait l’étalon de plus en plus vite, pendant qu’alex accéléra la sodomie, il redevenait amoureux, passionné de sa femme comme au premier jour, pendant qu’elle masturbait son amant tout en se gavant de son sexe plantureux, lui aussi était plein à craquer, il répendit son sperme dans les entrailles humides de sa belle princesse la bouche ouverte sur le gland de son amant. Celui ci à son tour ne tarda pas à envoyer sa purée, faite d’un sperme épais de la consistance d’une confiture, qu’elle a déglutie amoureusement, remplissant son estomac d’une nourriture nouvelle.
Puis il ont déjeuner, se sont baignés, se sont fait bronzer, rebaignés. Marion en me racontant son histoire un an plus tard, m’a dit qu’elle n’avait pas pu compter le nombre de coups de queues qu’elle s’était prise pendant la journée, elle avait été impressionnée par la quantité de sperme qui s’était déversé dans son joli corps de femelle en chaleur. Ils ont quand même pris le temps entre deux pénétrations de visiter saint florent, et de manger le soir au restaurant pour féter leur amour triangulaire naissant. Marion a même acceptée de mettre des robes trés courtes aux décolletés plongeant afin d’obeir à son amant, elle n’a pas acceptée ras la touffe, surtout que son mari lui demandait de ne pas mettre de culotte, afin d’être sexuellement disponible, mais à 1/3 des cuisses, ce qui est quand même trés court. Ils ont donc fait du shopping dans les rues de saint Florent, et puis elle a mit la jolie robe trés courte et trés décolletée que son amant venait de lui acheter, allumant l’incendie chez tout les hommes qui la croisait, et tout a été beau ce jour là dans cette jolie ville corse.
Le soir André à redemandé à Alex s’il pouvait de nouveau passer la nuit avec sa femme, il lui avait dit qu’il savait qu’il éxagérait, mais Marion avait été si belle dans les rue de saint Florent avec sa petite mini jupe, qu’il avait fait un sperme de trés haute qualité, qu’il ne pouvait pas ne pas le lui donner. Et Alex a accepté cette fois là aussi, il a fait sa toilette plus rapidement que la veille, histoire de caliner sa femme avant d’ aller se coucher, mais quand il est rentré dans la chambre, le vagin de son épouse était déjà occupé par son amant qui la besognait toujours dans cette foutue position du missionnaire, rendant l’accés à son anus impossible, de plus il avait collé sa bouche à la bouche de sa femme, il ne fallait pas compter non plus sur une petite pipe réconfortante, il a du se contenter encore une fois du pied, seul morceau accessible de Marion. Il lui a léché les orteils avec appétit, la regardant prendre son plaisir dans les bras de l’étalon. Cette fois ci elle parlait, orientant l’étalon sur la meilleur façon de la baiser :
- HHHoooOOOOoo ouiiiii comme ça c’est bon ouii c’est bon, un peu plus vite mon amour, un peu plus vite.... OOOuuiiiii
Et l’étalon s’exécutait, il accélérait, ralentissait, afin de donner le maximum de plaisir à la femme, avant de lui donner sa semence, épaisse chaude et gluante à la fois.
Alex leur a dit :
- bon ben bonne nuit..... dormez bien......
et Marion a répondue
- bonne nuit mon chéri, dort bien !
le vagin complétement éclaté par l’étalon qui la besognait........
Le lendemain, ils ont levés l’encre pour descendre sur l’île rousse, puis le surlendemain Calvi. Ils ont visité, se sont baignés, bronzés, se sont aussi aimés, surtout aimés sous le beau soleil Corse. Marion s’est prise un nombre de coups de queues incalculable, même pour un mathématitien surdoué, le sperme a coulé partout en elle . Elle a appris le bonheur d’être aimée par plusieurs hommes, son vagin sa bouche et son anus étaient trés souvent occupés . Ils allaient sur des petites criques désertes où elle était pénétrée, même dans l’eau l’étalon lui enflait le minou, parfois même son mari participait en la prenant avec son ami.
Puis ils sont descendus vers Ajaccio, les calanques de piana, bonifacio et ses belles falaises, porto vecchio. Ils sont desendus ensuite sur la sardaigne, puis son remontés lentement, en prenant leur temps, s’embrassant à chaque tour d’hélice du moteur.
Trois jour avant l’arrivée au port de Golf Juan, Marion a commencée à faire la gueule, comme une petite fille caractérielle, tout l’iirritait, elle n’avait plus de patience pour rien, elle n’acceptait que les pénétrations d’André qui la rendait douce et maternelle. L’étalon aussi était triste, multipliant les saillies afin de profiter au maximum des derniéres heures avec l’épouse offerte. C’était la fin des vacances, et comme des adolescents qui découvrent l’amour sur la plage, il allait falloir se séparer. Plus les heures passaient, et plus Marion avait envie de pleurer, même avec le minou dilaté. Elle soupirait, se blotissait contre le torse de son amant, lui tendait tendrement ses lévres afin qu’il l’embrasse. Et puis il a bien fallu arriver au port, il a bien fallu accoster, il a bien fallu faire ses valises. Marion a vontairement laissé ses maillots de bain dans le placard, aprés tout c’était son bateau, et il fallait qu’elle marque son territoire, en cas où une autre femelle aurai l’idée de faire un détour par la Corse. Elle a même laissée ses affaires de maquillage dans sa salle de bain . La jeune femme était plus que triste, pendant que le mari et l’amant discutaient au salon se disant :
- bon ben va falloir y aller....
- hé oui et oui.....
Marion encore toute nue, s’est mise à genoux sur le sol du bateau, elle a écartée la cuisses de son amant assis à coté de son mari, et lui a fait des petits bisous trés tendre sur le gland en érection, elle lui a parlé comme si c’était une personne à part entiére :
- huumm tu va me manquer jolie quiquette......
elle la bisoutait, la calinait, la léchait , la rebisoutait.....
- tu me seras fidéle, hein, jolie quiquette ? tu n’iras pas dans d’autres vilains minous ?
La quiquette se pâmait d’aise, turgescente à souhait, gorgée de plaisir et d’envie. André caressait les cheveux de sa maitresse, triste lui aussi, languissant d’amour pour la femme qu’il trouvait la plus belle du monde. Elle a pris le gland dans sa bouche, afin de bien aprécier les derniére minutes avec son amant, puis elle a commencée à pomper le dard avec une douceur exquise, faisant bien attention de ne pas mettre les dents, seuls existaient la tendresse des lévres et de la langue . Elle l’a sucée juste avec la bouche, sans mettre les mains, en le regardant dans les yeux, pour en apprécier l’effet sur son amant, elle a accélérée, le dard était énorme .
Son mari a dit :
- vous savez j’ai une idée....
deux paires d’yeux se sont tournés vers lui, Marion toujours la bouche pleine, était attentive à Alex.....
- hé bien si on vivaient ensemble ?
Les deux paires d’yeux le regardaient attentifs.....
- oui, on pourrai faire ménage à trois ! André tu habites à quatre vingt kilométres de chez nous, tu te léveras plus tôt pour aller à ton travail et puis voilà, tu garderas ta maison et si de la famille ou des amis viennent chez nous tu regagne ta maison pour quelques jours, puis tu reviens chez nous, et on vit comme ça à trois tout le temps, tu es d’accord ? ....
André à dit oui, oui, oui....
Marion a fait oui, oui, oui, milles fois oui, toujours le sexe planté dans sa bouche. Elle a hochée la tête frénétiquement, sans s’arretter pendant au moins trente secondes, enthousiate de tout son coeur.
André la tenait par la tête, en érection dans la bouche de la belle princesse viking, il lui demanda :
- tu veut...... tu veut bien de moi ma chérie ?
Elle continuait à faire oui la bouche pleine, puis elle a tournée ses yeux vers son maripour lui dire :
- merci mon chéri, tu es le plus génial des maris....
Puis elle a recommencer à pomper de plus en plus vigoureusement, et André est venu en belles saccades dans le fond de sa gorge.
Ils se sont séparés quelques jours, le temps de mettre à quai le bateau, puis ils ont commencés leur vie à trois. Cela fait environ 2 ans que je connais Marion, elle est toujours aussi amoureuse de ses deux maris.
En France, en Europe, et partout dans le monde, il y a plein de couples candaulistes, seulement ils ne le disent pas, ne s’en vante pas, ils le vivent simplement. Depuis des milliers d’années le candaulisme existe pour le plus grand bonheur des femmes.
Les tests génétiques ont été inventés par les USA dans les années soixante, à l’époque de la trés sainte et trés pieuse amérique Mac Cartiste, quand les gens étaient plus que coincés . Une étude à été faite par un laboratoire affilié au gouvernement. Bien sur les résultats n’ont été dévoilés qu’il y a peu de temps, les familles n’ont jamais été mises au courant, mais sur deux milles familles étudiées, un enfant sur dix n’était pas du père biologique, un enfant sur dix......... qu’est ce ça doit être maintenant !!!

3 commentaires

Marion 2e et derniére partie

Par pierreoise61 le 19 juin 2014

Bonjour Julie,
Je ne m’en laisserais jamais, .......pffffffffff, délicieuse m’a Julie, merci, tendres bises.
Alain

Marion 2e et derniére partie

Par Jmre le 19 juin 2014

Tu es vraiment une excellente conteuse.... Mais tu sais de quoi tu parles. Réponds moi en prive
Bises
JM

Marion 2e et derniére partie

Par kamadeva le 19 juin 2014

très beau et long texte..très torride...mais où une certaine "poésie" se lit...et où on retrouve l’auteure...( maternelle, audacieuse, humaniste, réfléchie...humaine)
Bravo et merci