Le récit réel d’une "première fois" fantasmée

Par mick1969 le 26 avril 2017
Dans Expériences candaulistes

Tout a commencé… On ne sait pas mettre un point de départ à cette nouvelle aventure qui pourrait nous emmener sur de nouveaux rivages …
Je me souviens qu’un jour, je me suis lâché, allongé, nu, contre toi, nu aussi. En laissant aller nos mains sans vraiment les diriger, on discutait. Je bandais mollement, on ne cherchait pas à signer une performance. On se retrouvait, simplement, après, de nouveau, quelques jours de séparation. Je t’embrassais, alors que ta main allait jauger ma forme. Je te rendais ce baiser, en pressant un de tes seins, en le rapprochant de l’autre. Alors que je ne m’y attendais pas, tu m’as provoqué : « Et là-bas, avec tout ce monde, il doit bien y avoir quelques jeunettes qui te tournent autour ».
Non. Pi elles sont pas jeunettes. Pi elles me plaisent pas.
« Pfff ! Je suis sûr que si. Oh, de toute façon, tu es loin, tu fais ce que tu veux, du moment que je ne le sais pas… »
Et toi, alors, tu passes une semaine entière sans être tentée ?
« C’est toi, que j’attends, que je veux avoir contre moi, entre mes bras. »
Et entre tes jambes, entre tes cuisses, sur toi ? Et en toi ?
« Oui, aussi ! »
Pourtant, j’aimerais bien te voir avec un autre. Mais je voudrais le savoir… En tout cas, je l’imagine. De plus en plus…
« Et tu ferais quoi, si je faisais l’amour avec un autre ? »
Je serais là, tout près.
« Hein ? Et tu ferais quoi ? Tu nous regarderais faire ? Tu te, euh, tu te masturberais ? »
Oui, et puis je m’approcherai, en regardant ton amant te prendre, aller et venir en toi. Et je te caresserais en te regardant dans tes yeux. Je laisserais mes mains aller sur ton ventre, tes seins…
Au fil des mots, nos mains se faisaient plus pressantes, plus audacieuses. Les tiennes allaient sur mon ventre et mon sexe, cette fois, bien dressé. Mes doigts allaient vérifier que tu aimais ce que je te disais. Déjà, tu étais trempée. Il m’aurait suffi d’en profiter. Là, tout de suite. Te baiser net, vite, pour évacuer une semaine de tension… Mais non, j’avais envie de t’en dire plus, puisque je sentais bien que toutes ces pensées candaulistes te plaisaient… Enfin, il me semble.
Ça te plairait, cette idée de te faire prendre par un autre pendant que je vous regarderais baiser ?
Des yeux malicieux et une petite voix m’ont répondu. « Ouiii… »
Alors, avant de me prendre pour cet amant virtuel, j’ai continué. Tu voudrais qu’un autre homme te caresse avec moi, avec quatre mains et deux bouches sur ton corps, ton ventre, tes fesses, tes seins, dans ton ventre ? Tu aimerais qu’en te voyant regarder son sexe durci, je lui dise de te prendre ?
« Oui… vas-y, continue, dis-moi ! »
T’as envie que je continue à te raconter comment tu te fais baiser par un autre ? Devant moi ?
« Oui, putain, vas-y, entre ! »
Aux ordres de tes désirs… Je me glisse plus bas. Avant de te prendre, je veux te faire l’amour avec ma bouche, ma langue.
« Non, prends-moi maintenant ! »
Mais tu ne m’empêche pas mon visage d’aller fouiller entre tes cuisses, pour que ma bouche rejoigne ton sexe. Il est trempé, déjà. Et ma langue en profite… Mes mains, passées derrière tes fesses, pendant que mes lèvres fouillent les tiennes, les écartent. Et m’offrent ton derrière. Ravie, ma langue en profite ! Et remonte un peu. Puis y retourne. Après quelques-unes de ces caresses, tu n’en peux plus et agrippe mes cheveux pour que j’arrête. Je me redresse au-dessus de toi, regarde tes yeux qui se baissent pour voir comment ma queue va disparaître en toi. Et, d’un coup, je m’enfonce, effectivement.
« Oui ! Continue ! Parle-moi ! »
Dans le creux de ton oreille, je continue donc à te dire qu’en fait, c’est un autre qui te baise. Et que j’aime ça, et que je te caresse en te regardant bien dans les yeux, pour que je les voie jouir… Une main agrippe tes fesses, les doigts retournent plus loin, sentir que mon sexe est bien coquin, au fond du tien. Soudain, mes doigts sentent des vibrations, puis des spasmes, réguliers, de plus en plus fort. Ton ventre bat la mesure de ton plaisir. A ton oreille, je te chuchote encore ce que tu aimes et veux : un autre homme te baise et te fait jouir. « Ouiiii !!! » Je te baise et vais jouir aussi… « Ouiiii !!! Vas-y, inonde-moi ! » Cette fois, je me laisse aller, je regarde tes yeux à moitiés révulsés, ta bouche entrouverte qui accepte que mes doigts aillent caresser ta langue… Je te dis que je vais vider mon plaisir en toi, tu me le réclames et pousse un long râle que je t’obéis enfin…

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