Une saint Sylvestre très chaude (chap 3)

Par ALEXETFLO le 11 mars 2020 5
Dans Expériences de conjoint(e)s

Suite du second chapitre.

Le réveillon glisse dans la débauche ...

Un léger coup d’œil sur ma poitrine me confirme ce que je ressentais, mes tétons pointaient fièrement et ce n’était pas dû au froid. Tony me voyant avec mon sac en main, me sourit tristement, tout en me demandant si je partais. Tout en me jetant à son cou, je répondais que je restais et ma bouche se collait à la sienne. A la fin de notre baiser il me demandait comment c’était possible et j’inventai à moitié la raison de ma présence, que mon homme un peu éméché avait raccompagné ses deux copains bourrés et qu’il ne reviendrait pas et que moi j’avais retrouvé une copine et comme je voulais encore profiter de la soirée elle s’était proposée de me ramener.
- Et il t’a cru ? Me demanda Tony en riant.
- Ma foi, oui puisque je suis là.
- Viens ça s’arrose, suis super content.
Il demanda à un de ses copains de lui trouver deux coupes et du champagne. Je lui disais que ce n’était pas la peine, que j’allais être pompette. Sa réponse me surpris un petit peu elle était pleine de sous entendu.
- Mais c’est bien une fille avec un coup dans le nez.
- Pourquoi ?
- Parce que elle se lâche et elle ose.
- Et toi tu kiffe les meufs qui osent, c’est ça ?
- Quel mec n’aimerait pas.
Il me tendit une coupe et on trinqua à la bonne année. Je me dis que j’allais être plus que pompette si je continuais ainsi, mais pour le moment je me trouvais dans une douce euphorie, grisée par l’alcool. Je me laissais porter par les événements. Je dansais avec Tony deux ou trois rock, puis sur du reggae en compagnie de deux de ses copains qu’il m’avait présenté auparavant Diego et Manu. Petite pose, nous permettant de finir nos coupes, nous parlons de la soirée de sa bonne ambiance. Durant le temps de nos échanges, sa main droite n’avait pas cessé de me caresser les fesses, faisant parfois légèrement remonter l’ourlet de ma courte robe et dévoiler aux regards la base de mes rondeurs. Par deux fois, ses doigts avaient même glissé brièvement entre mes cuisses et avaient pu constater la moiteur de ma fente. Je ne l’avais même pas sermonné pour ce geste plus que déplacé en public. La musique Antillaise avait retrouvé la piste en même temps que nous. Le DJ avait du mal à inviter les danseurs, entre fatigue et les nombreux convives qui étaient partis, nous n’étions que cinq couples sur la piste et par delà l’attraction de la petite assemblée restante. Ce qui n’empêcha pas Tony de me caresser seins et fesses et de nous embrasser passionnément. Cela ne me gênait pas le moins du monde, toutes façons ma réputation devait être faite depuis le début de se réveillon et cela m’était bien égal n’y connaissant personne.

Je dansais aussi avec Diego et Manu de façon bien plus conventionnelle mais tout de même assez collé l’un à l’autre. L’ambiance tombait à mesure que l’heure avançait et Tony demanda à Diego s’il connaissait un "after" et Manu dit qu’il en connaissait un, mais ce n’était pas à côté, facilement une demi-heure en voiture.
- T’es d’accord ? Me demanda Tony.
- Moi, je vous suis, de toute façon je suis à pieds.
Et Tony tendit les clés de sa voiture en demandant à Diego d’aller la démarrer pour chauffer l’habitacle. Le temps de boire une ultime coupe de champagne, cinq grosses minutes après, nous récupérions nos manteaux au vestiaire et on retrouvait Diego appuyé sur la voiture fumant une cigarette, faut dire que la nuit n’était pas glaciale ce que me confirma l’affichage au tableau de bord de la température extérieure 9 ° pour une nuit de la Saint Sylvestre on peut parler de relative douceur. Tony ouvra la portière arrière et une bouffée de chaleur m’enveloppa, du coup j’ôtais mon manteau que je jetais sur la plage arrière et en entrant dans la voiture j’offrais à Tony et à Manu un coup d’œil imprenable sur mon intimité tout de même dissimulée par la pénombre. Une fois tous installés, Tony recommanda à Diego de conduire à la "pépère", et Manu nous parla de cette boite un brin déjantée essentiellement musique techno et rap, ce n’était pas ce que j’appréciais le plus, mais je m’adapterai, il continua en nous disant que la fréquentation était hétérogène faite de gay, trans, hétéro ces derniers étant les plus nombreux, précisa t il comme pour nous rassurer, mais que de toutes façons que c’était hyper chaud. Moi aussi j’avais chaud, j’avais chaud au visage la faute à trop d’alcool, mais la tête légère, insouciante.

Tony n’avait pas tardé à poser sa main sur ma cuisse et la faisait aller délicatement de bas en haut remontant toujours plus vers ma fourche venant frôler mon intimité. Aussi j’écartais mes cuisses pour lui faciliter le passage et ses doigts vinrent naturellement agacer mon clito déjà bien gonfler et à la sensibilité exacerbée. Il put aussi constater la moiteur (le mot est faible) de ma fente. Après deux ou trois baisers échangés, n’y tenant plus, je me penchais vers ses cuisses, défaisais sa ceinture, faisais sauter l’attache du pantalon, descendais la fermeture à glissière et enfin je glissais mes doigts par dessus son boxer tout en appréciant la raideur qui se trouvait sous le tissu. M’adressant à Tony :
- Tu vois j’ose !
Ayant trop envie de la tenir dans ma main, je baissais le boxer et elle se dressa sous mes yeux à quelques centimètres de mon visage. Mes doigts montaient et descendaient le long de cette belle tige palpitante, je décalottais le gland, j’y faisais glisser le pouce dessus et ne pouvant plus tenir, mes lèvres vinrent l’entourer pour l’enfourner aussitôt au fond de ma gorge presque à m’en étouffer ! Ensuite ma langue vint se mêler à la danse, de la pointe je lui titillais son méat faisais le tour de sa couronne je le léchais avant de l’enfourner à nouveau et d’enchaîner des aller retour sur sa respectueuse bite (le garçon avait été gâté par la nature).
La situation m’excitait fortement, tailler une pipe sur le siège arrière de cette voiture alors que juste devant les deux copains entendaient et le passager pouvait nous regarder juste en tournant la tête était pour moi exceptionnel. En rajoutant que ma position avait permis à Tony de retrousser ma courte robe pour me caresser les fesses, ma chatte ou mon petit œillet, tout cela me faisait mouiller comme rarement, je n’avais pas besoin de le vérifier de mes doigts pour m’en persuader, j’étais pour le moins poisseuse. Mes petits râles étaient la confirmation de mon état de surexcitation. Mes fesses au centre de la banquette ne devaient plus avoir de secret pour les passagers avant, d’ailleurs une autre main venait de rejoindre celle de Tony sur mes fesses, le petit coup d’œil me permit de voir Manu de biais sur son siège et son bras gauche dirigé vers la banquette arrière. Mon état empira, je sentais des frissons de plaisirs courir sous ma peau, mon ventre rempli de délicieux picotements, mes seins gonflés les tétons tendus à m’en faire mal. Dans un souffle rauque j’ai dit à Tony :
- Prends-moi !
Sur un ton de voix ferme il me répondit :
- Tu as envie de bites, hein, salope.
- Oui très envie.
- En plus de la mienne tu veux celles de Manu et de Diego ?
- Humm oui !
- Et où tu les veux nos trois bites ?
- Je veux que vous me baisiez la bouche, la chatte, le cul !
- De quelle façon tu veux qu’on te baise ?
- Je veux que vous me preniez comme une salope, une chienne, je suis votre pute !
- Mais tu es vraiment une salope qui laisse tomber son mec pour venir se faire sauter, dis-le nous ce que tu es réellement.
- Je suis qu’une salope qui trompe son mari, et qui aime se faire prendre comme une chienne !
Là, il me claqua les fesses, et à l’intention de Diego il lança trouve nous un coin tranquille on va la baiser cette pute. Cet échange et les mots crus à mon égard ont eu pour effet d’augmenter mon état d’excitation se traduisant par un flux de cyprine supplémentaire, les doigts des deux garçons en furent recouverts et leurs attouchements se faisaient dans un léger clapotis sonore.
- Cette salope mouille comme ce n’est pas possible, elle a vraiment envie de se faire démonter ! Lança Manu. Tony porta à ma bouche ses doigts gluants de ma mouille, alors que je suçais toujours sa pine bien raide.
- Goûte ta mouille petite pisseuse.
Je léchais ses doigts sous son injonction. La voiture ralentissait, et finit par s’arrêter, Diego laissant le moteur tourner. En un éclair, je me retrouvais à genoux sur la terre battue entourée des trois garçons bites dressées en main. J’en branlais un tout en suçant l’autre, tandis que le troisième avait glissé sa main entre mes cuisses titillant mon clito et me doigtant parfois entraînant les mailles du collant à l’intérieur de mon vagin dégoulinant, mes seins n’étaient pas oubliés, caressés, malaxés, triturés, me pinçant et étirant les tétons, j’avais des mains partout sur mon corps. Tout ça n’allait pas faire baisser mon état d’excitation, mes seins et mes tétons en étaient devenus douloureux tant ils étaient gonflés et tendus, mon clitoris dressé et hypersensible, mon collant trempé collait ma vulve. Sans compter la situation sur ce terrain vague entre deux entrepôts et seulement séparé de la route par une haie. Tout en suçant les queues que me donnaient mes partenaires je soupirais de plaisir des caresses sur ma chatte et ma rosette parfois pénétrée par un doigt. Je lançais un :
- Baisez-moi ! D’un ton suppliant.

Ils me positionnèrent à genoux sur le bord de la banquette arrière, les fesses tendues vers l’extérieur, robe retroussée sur les reins, le collant baissé aux genoux, Tony m’empoigna d’une main la hanche et de l’autre guida sa bite contre ma fente, il entra en moi comme je reculais vers lui, ma chatte l’avala en entier, m’écartant mes chairs délicieusement j’en râlais de plaisir. Diego s’était glissé par l’autre portière et me donna sa bite à sucer. C’est à cet instant que je réalisais que Tony me prenait sans préservatif, il se voulu rassurant en m’assurant qu’ils étaient clean, comme moi, qu’il n’y avait aucun risque. (Oui, je sais ce que vous pensez, mais l’alcool, ma grande excitation l’envie d’être prise, m’ont fait perdre raison et lucidité. Rassurez vous j’ai fait ensuite toute les tests nécessaires, résultat tout normal). Il me limait comme un damné, accompagné par les clapotis de ma chatte trempée. Chacun d’eux me pénétra quelques minutes, par deux fois je jouis, puis Tony très excité me dit :
- Je vais t’enculer petite pute !
- Oui prends mes fesses, j’en ai envie !
Il cracha plusieurs fois sur ma rondelle, fit coulisser quatre ou cinq fois sa bite dans ma chatte avant d’appuyer son gland sur ma rosette et la forcer sans douceur aucune, elle céda et il entra d’un coup dans mes reins et m’arrachant un cri mêlé de douleur et de plaisir.
- Oh putain, salope, t’es serrée c’est super bon de t’enculer !
La douleur s’est estompée rapidement laissant les sensations jouissives m’envahir, je couinais tout en suçant et reprenant ma respiration je le suppliais de me défoncer.
- T’inquiète, sale chienne, je vais te le démonter ton cul.
- Oui vas y plus fort casse moi le cul, je veux que tu m’inondes, crache tout au fond.
Quatre minutes plus tard, Tony balançait tout ce qu’il avait de sperme dans mes entrailles, et j’avais mon premier orgasme qui me submergea. Sans me laisser le temps de me remettre du plaisir que je venais de prendre, Diego et Manu m’entraînaient à l’avant de la voiture, je me retrouvais seins plaqués sur le capot tiède et l’un après l’autre visitèrent ma chatte puis mon anus. Ensuite ils me redressèrent je me retrouvais avec Diego face à moi et Manu dans mon dos. Tant bien que mal Diego arriva à pénétrer ma chatte, puis Manu s’inséra entre mes fesses malmenant à nouveau mon œillet, ils me prirent ainsi en sandwiche arrivant à s’accorder sur le rythme, je criais mon plaisir je jouissais sans aller jusqu’à l’orgasme, mais c’était tout de même très bon. Ils finirent par jouir quasiment simultanément dans une bordée de jurons. Ils me soutenaient le temps que je réajuste mon collant, et on regagnait la douceur de l’habitacle. Tony m’embrassa tout en me caressant la poitrine, et me remercia, puis il ajouta que j’étais une sacrée salope quand même. Je lui répondis que ce n’était pas pour leur déplaire, et qu’ils m’avaient bien fait jouir. Diego nous indiqua que dans dix petites minutes on serait à la boite.

Dans la voiture, Tony me caressait les seins par dessus le fin tissu de ma petite robe, jouant avec mes tétons les pinçant ou les faisant rouler entre deux doigts, son autre main effleurant mon clito et lui faisant subir le même traitement. Je ne pouvais m’empêcher de laisser échapper de ma gorge de petits soupirs de plaisir. Il me confia alors :
- Tu sais j’aime beaucoup les jupes hyper courtes qui laissent à la vue le bas des fesses, ta robe est courte, mais est ce que tu ne voudrais pas la retrousser un peu, ça me ferait énormément plaisir.
- Je voudrai bien te faire ce plaisir, mais tu as remarqué que la coupe de ma robe est asymétrique et que le coté droit est plus long que le gauche, donc ça va pas le faire.
- Tu ne veux pas essayer quand même ?
- Et ça t’excite tant que ça que je montre le bas de mes fesses ?
- Oui beaucoup, c’est très sexy.
- Bon, allez, je vais te faire plaisir alors.
Tony m’embrassa avec l’empressement d’un ado, tout en me remerciant plusieurs fois.

Nous arrivions sur le parking de cette boite quasiment complet, Manu trouva une place assez loin de l’entrée, ce qui était très bien pour essuyer avec un mouchoir en papier les fuites de mon entrejambe, puisqu’il n’y avait personne à proximité. Je faisais un revers à ma robe au niveau de la taille, en passant les doigts au niveau de l’ourlet je constatais que le bas de ma fesse gauche était découvert, en avançant le long de l’ourlet avec mon doigt c’est le bas du sillon fessier qui se découvrait avec un tout petit bout de la fesses droite ensuite plus vers la droite cela devenait plus raisonnable. Je tournais sur moi même en demandant à Tony s’il était satisfait du résultat, ce qu’il confirma en me prenant dans ses bras pour m’embrasser et me murmura à l’oreille que j’étais hyper bandante. En enfilant mon manteau, mes doigts passèrent sur le devant de la robe et là j’eu un petit frisson d’excitation l’ourlet de la robe était au ras de ma chatte. Je ne me reconnaissais pas, au lieu d’être gênée ou honteuse, cela m’émoustillait les sens. En marchant sur les quelques dizaines de mètres nous séparant de l’entrée de la boite, je pensais à Alexandre, est ce qu’il dormait ou pensait à ce que je pouvais bien faire. Est ce qu’il se masturbait en m’imaginant baiser avec les trois copains ... L’arrivée devant la porte d’entrée de la boite me sortie de mes interrogations. On entra, les garçons discutèrent un tout petit instant avec le portier qui finalement nous dispensa de payer l’entrée, je donnais au vestiaire manteau et sac à mains, les garçons leurs vestes et on se dirigea vers le comptoir. Il y avait du monde, on dû se frayer un passage jusqu’au bar. Visiblement l’assemblée était plus masculine que féminine, je sentais les regards sur moi, faut dire que la fraîcheur extérieure associée à mon excitation tendaient mes tétons qui déformaient le fin tissu de ma robe. Je remarquais que pour suivre mes compères devant moi, je devais plus me frotter aux corps de la foule que mes accompagnateurs et même quelques mains anonymes flattaient ma croupe mes cuisses ou mon ventre. Au comptoir Manu commanda quatre shooters, que je dû avaler d’un trait comme les trois garçons.

Le son techno envahissait la salle, et à nouveau on dû se faufiler entre les groupes de personnes pour rejoindre la piste de danse bondée comme le reste de la boite. Je me trémoussais sur la syncopé techno, ou plutôt ballottée par les autres danseurs, les corps se touchaient d’un coup de hanche ou d’épaule, un bras heurtant le dos, tous les danseurs étaient à la même enseigne. Tony se colla contre mon dos, me tenant par les hanches, je frottais mon fessier contre son bas ventre et sa belle raideur prenait forme, une main remonta sur la poitrine et empauma mon sein. Son index et son majeur tendu emprisonnaient mon téton érigé le pinçant à la façon d’un ciseau, il déposait de petit bisous sur mon cou, alors que Diego venait d’appliquer sa main sur mon pubis ses doigts venant titiller mon clito, instant que ne manquèrent pas les danseurs voisins.
Aucun ne pouvait ignorer l’état de mon excitation, et si mes tétons pointaient à en percer le fin tissu cette fois ce n’était plus le froid qui en était la cause, mais bien mon excitation. Je n’avais aucune honte vis à vis de tous ceux qui me regardaient, me frotter effrontément à l’homme dans mon dos et me laisser caresser intimement, au contraire cela décuplait mon excitation et j’y prenais du plaisir de voir qu’on me regardait. Je me tournais pour enlacer Tony et l’embrasser fiévreusement. Les mains de Tony massaient mes fesses et j’espérais qu’il ne retrousse pas un peu plus ma robe, c’est à ce moment là que j’aperçu entre deux têtes le visage d’un jeune intérimaire qui était venu assurer un remplacement dans l’entreprise pour laquelle je travaille et c’est moi qui l’avais reçu et ensuite lui avais signé son bon de présence, si je l’avais reconnu, il en devait être de même pour lui. J’en fis part à Tony qui me répondit, que si ça se trouve je ne le recroiserai jamais au boulot. Le baiser qui s’en suivit et les caresses conjointes sur mes fesses et mon sein déclenchèrent de délicieux picotements dans ma poitrine et mon ventre et je décidais de savourer ces instants présents à venir.

L’ambiance dans la boite devenait de plus en plus chaude, deux mecs, à coup sur gay, se retrouvaient en boxer et se frottaient très sensuellement debout sur le comptoir. Le DJ saisi l’occasion pour annoncer que 2020 allait être hyper "caliente" et incita les filles à se mettre topless et à danser sexy sur les morceaux hot à venir. Pas loin de nous j’apercevais deux filles qui s’embrassaient tout en se caressant au milieu d’un petit cercle formé par les garçons qui les encourageaient, chacune fit glisser le haut de l’autre et elles se retrouvèrent rapidement tétons contre tétons sous les approbations de leurs admirateurs. Le DJ exhortait encore les filles à danser seins nus en ce premier de l’an d’une année qu’il prédisait érotisante, seule une autre fille venait d’ouvrir son chemisier offrant au regard un bien joli soutien gorge. Je ne sais toujours pas ce qui me poussa à baisser le haut de ma petite robe, peut être mon esprit embrumé de vapeur d’alcool ajouté à mon état d’excitation, je venais de m’ajouter au petit nombre des filles topless. La coupe de ma robe asymétrique laissant l’épaule et le bras gauche nus alors que le côté droit était fait d’une manche courte dont l’épaulement s’arrêtait à l’articulation, le tissu malgré une certaine élasticité ne me permettait pas de dévoiler mon sein droit entièrement. Je ne dévoilais donc à demi ma poitrine et lorsque je me remis de dos contre Tony, aux yeux arrondis de ceux qui m’entouraient, je faisais mon effet !
Tony était tout contre moi, je sentais son sexe tendu contre mes fesses, je dois avouer que j’avais une certaine fierté d’être la cause de cet effet, j’ondulais du bassin pour masser sa tige avec mon fessier, mon excitation n’en était qu’accentuée et je devais le reconnaître j’avais envie de bien plus ! Les mains de Tony m’enlaçaient, elles ne restèrent pas longtemps sur mon ventre, une remonta sur mon sein dénudé, le prenant en coupe le pouce agaçant délicieusement mon téton pointant effrontément, puis il s’amusa à me le pincer et le rouler entre deux doigts. J’avais ma nuque sur son épaule, lui, son menton sur la mienne et il pouvait m’entendre ronronner comme une chatte. IL me susurra à l’oreille :
- Tu aimes ?
Et moi d’une voix rauque je lui répondis :
- Oui, c’est bon continues.
- Tu aimes te faire caresser, hein cochonne ?
- Oui, j’adore ça.
- Des mains partout sur toi, tes seins, ta chatte, ton cul.
- Huumm oui !
Son autre main glissa lentement vers le bas de mon ventre, les doigts épousant mon pubis durant une poignée de secondes. Tout à mon plaisir je soupirai "oui encore". Le bout de ses doigts crocheta le bas de ma courte robe et le fit remonter sur mon bassin offrant aux regards le petit triangle de ma toison à peine voilé par le collant. Je ne faisais rien pour l’en empêcher je lui dis seulement "tu es fous" !
Il passe ses doigts entre mes cuisses, me caresse lentement en s’attardant sur mon bouton et il me souffle à l’oreille :
- Salope, tu as envie de te faire caresser et baiser t’es toute trempée !
Sans attendre ma réponse, il me pousse en avant vers Diego et Manu et trois ou quatre mecs qui dansaient sans me lâcher des yeux, en disant assez fort pour couvrir la musique :
- Profitez-en, cette chienne a très envie d’être caressée !
J’aurai dû, en entendant ça, me rebeller ou contester dire que ce n’était pas vrai, mais non au contraire je me mets à onduler en me cambrant légèrement jambes légèrement écartées comme pour m’offrir aux mains avides de mon corps. Je me retrouve entourée par les garçons et au moment où je reçois les premières mains sur mes formes, je tourne la tête vers Tony qui me sourit en clignant des yeux. Tout en dansant lascivement en fermant les yeux, je laisse les mains connues et inconnues glisser sur mes seins, mes hanches, mes fesses sur mon ventre et ma chatte qui, elle, est la plus convoitée. Quand j’ouvre les yeux, Diego et Manu se sont un peu reculés pour laisser les autres profiter de mes charmes, et parmi ce petit attroupement, je vois l’intérimaire avancer sa main sur ma poitrine et empaumer mon sein droit à moitié couvert du tissu de la robe. Loin d’être gênée de cette situation je lui souris et prends sa main dans la mienne et la guide sur mon sein, alors que son autre main vient de m’agripper une fesse qu’il se met en devoir de caresser et malaxer. Ses doigts ne tardent pas à s’insinuer dans ma raie et venir tester l’élasticité de mon œillet. Il s’approche un peu plus et tente de m’embrasser sur la bouche, je ne lui autorise qu’un simple smack alors que je fais glisser sa main vers ma chatte et l’abandonne une fois dessus, ses doigts l’explorent au travers du fin voile du collant, trouvent sans mal mon clito gonflé de désir puis entre en moi me fouillent avec frénésie il en est même un peu brusque. Il approche sa bouche de mon oreille et m’avoue :
- Dès la première minute où je t’ai aperçue à ton boulot, j’ai rêvé de cet instant, si j’avais su que tu étais aussi salope, j’en aurai profité.
Il venait de lâcher ce mot « le boulot » qui me fit revenir à la réalité et du coup j’échafaudais des hypothèses et si il revenait un jour faire une autre mission intérimaire, qu’allait-il dire et comment se comporter ? De toute façon il était trop tard pour que je le repousse, il avait une main sur mon cul et l’autre sur ma chatte, je ne pouvais m’en prendre qu’à moi-même sur d’éventuelles conséquences futures.
- Tu es entrain de tremper mes doigts !
Il n’avait pas besoin de le dire, je sentais ma chatte se liquéfier.
Diego se glissa jusque dans mon dos ce qui provoqua la fuite des mains fureteuses, il me faisait sentir son érection contre mes fesses. Il empauma mes seins, qu’il caressa pendant que l’intérimaire m’astiquait toujours ma fentine de plus en plus dégoulinante, mes soupirs ne faisaient que confirmer du plaisir que je prenais.
- Tu te souviens de ce que tu nous as dit dans la voiture avant qu’on ne te baise ?
- Je vous ai dit que j’étais votre pute.
- Et quoi d’autres ?
- Que j’aimais être prise comme une salope, une chienne.
L’intérimaire tout à côté de moi, ne manquait pas une seule de mes paroles, et sa main sur ma chatte se fit bien plus ferme, comme pour me faire comprendre qu’il convenait de ce que je disais. Diego me caressait ou plutôt malmenait toujours mes seins, me demanda :
- Est ce que tu aimes sucer et avaler du foutre ?
- Tu l’as bien vu tout à l’heure que j’adore
- Parfait car j’ai une putain d’envie de me faire sucer par une belle salope, allez viens suis moi aux chiottes !
Diego m’entraîna à sa suite en me tirant par la main, je traversais la piste de danse comme dans un brouillard, un sein et les fesses à l’air, je distinguais seulement des silhouettes dont certaines n’eurent aucune hésitation pour me passer leur main au cul. Diego poussa la porte des toilettes donnant sur une pièce avec des lavabos, deux portes saloon de chaque côtés à gauche les dames à droite les messieurs, Diego poussa les doubles portes battantes des messieurs. Sur la gauche l’urinoir occupant tout un pan de mur et une partie de l’autre faisant un L, à droite 3 portes de cabines. Diego avança jusque vers le fond de la petite pièce et m’ordonna en appuyant sur mon épaule :
- A genoux et suce moi !
Je m’exécutais, m’agenouillant sur le carrelage plus que douteux, Diego fit glisser sa braguette, je l’aidais à sortir sa verge, non sans mal, tant elle était raide. Quatre mecs et l’intérimaire nous avaient suivis plus Tony et Manu, cela faisait du monde dans ces toilettes, sans compter trois gay qui se bécotaient et caressaient dans un autre coin de ce lieu pas si vaste que ça du coup. J’étais comme une autre, je me reconnaissais pas, mon excitation exacerbée faisait tomber toutes mes barrières, ma pudeur et ma raison était emportées. J’allais avoir de quoi raconter à Alexandre, lui qui m’avait dit comme par défi d’être "salope" je l’étais certainement bien au delà de ses espérances. Et sans me poser de question sur les intentions futures de mes trois compagnons de débauche, ma main entourait le mat vigoureux de Diego d’une douce caresse, ma bouche se posait sur le sommet du gland tout en le branlant lentement. Mes lèvres entrouvertes glissèrent sur la longueur de la tige jusqu’à ce que je rencontre mes doigts, ma langue tournait autour, puis je remontais sur la tête de l’ogive avant de la renfoncer au fond de ma gorge et entamer plusieurs aller retour plus rapidement. Diego savourait en me tenant la tête pour imprimer la cadence, ces râles me le confirmaient. S’adressant au petit groupe il lança vulgairement :
- Restez pas là comme des cons, sortez vos bites, caressez là cette salope après elle vous sucera aussi pour que vous lui balancez votre foutre à la gueule !
Ses paroles furent suivies d’effets immédiats, des mains disposèrent de ma poitrine toujours à demi dénudée, d’autres se bousculaient entre mes cuisses et sur mes fesses, les premières arrivées reçurent la preuve de mon excitation par quelques saccades de cyprine juste en m’effleurant mon intimité, pourtant je ne suis pas une femme fontaine, mais là je devais reconnaître que ça y ressemblait fortement. Tout en suçant Diego, en fait il me baisait plus la bouche que ce que je le suçais, j’avais une bite dans chaque main que j’essayais de branler de mon mieux, mais pas assez bien selon eux qui m’invectivaient par des propos salaces de mieux m’appliquer.
- Oh putain, qu’est ce qu’elle mouille cette salope, elle vient de me tremper la main, comme si elle pissait ! Clama l’un de mes caresseurs.
Il ne mentait pas, car je commençais à sentir ma mouille venir baigner mes genoux s’ajoutant à la pellicule plus qu’humide recouvrant le carrelage à notre arrivée. Diego ne pouvait plus tenir et se lâcha dans ma gorge en trois ou quatre jets puissants que j’avalais les uns à la suite des autres un râle guttural accompagna son éjaculation. Juste le temps de reprendre mon souffle qu’un autre prit sa place, alors qu’il y avait une petite bousculade pour profiter de ma bouche ou de ma main libre. Ceux qui ne pouvaient pas me peloter ou être branlés se masturbaient en attendant leur tour. Diego participait de la voix à l’excitation générale en leur disant qu’il ne voyait pas le moment qu’ils me giclent dessus et de m’asperger le visage. Celui que je branlais cria qu’il allait venir, le temps que j’approche ma bouche il explosa m’arrosant copieusement la joue, mon épaule et mon sein gauche, ce qui entraîna celui que j’avais en bouche à partir aussi, m’éclaboussant le palais et mes lèvres ! Ma bouche ne resta pas longtemps inoccupée, qu’une nouvelle bite forçait mes lèvres. Autour de moi les gars se branlaient tout en s’excitant les uns les autres avec des mots orduriers qu’ils me destinaient. Je commençais à avoir les genoux douloureux et je profitais d’un changement de place pour me mettre accroupie cuisses bien ouvertes, offrant ma chatte aux regards, à la façon de la salope que j’étais censée être. Je suçais l’intérimaire qui me maintenait par ma chevelure tout en me donnant la cadence, j’avalais son membre jusqu’à la garde, il appréciait en commentant jusqu’à finir par se vider copieusement dans ma bouche.

Un des mecs du groupe, saisi d’une main mon visage pour le tourner vers lui, au moment où je reprenais ma respiration déchargea sa semence sur mon visage dans un râle de satisfaction. Un maladroit s’était en partie déversé sur ma cuisse maculant les mailles du collant de traînées douteuses. Tony mit fin à ce moment de pure débauche. J’allais dans la partie commune des toilettes où se trouvaient les lavabos et le miroir, je constatais l’ampleur des dégâts, mon visage maculé de sperme, ma robe constellée de tâches séminales, sans parler de la partie de la robe couvrant moi sein droit plus qu’amidonnée. J’enlevais de la main toute cette substance gluante, pas d’essuies mains papier dans les toilettes juste un souffleur d’air chaud, un coup d’eau sur mon visage faisait disparaître toute trace de stupre, mais le tissu de ma robe et mon collant eux allaient garder de sérieuses auréoles de mon moment de dépravation. En bonne fille obéissante je me rappelais de la volonté de Tony de ce que ma robe dévoile le bas de mes fesses, je rajustais la robe sur ma poitrine et refaisais le revers au niveau de ma taille, un bref passage de mes doigts au bas des fesses pour constater que j’avais été généreuse sur le pli du revers, me provoqua un délicieux picotement au creux de mon ventre, tout compte fait ça m’excitait de me dévoiler.

De retour dans la salle, l’ambiance n’avait pas faibli, elle était même montée en intensité, trois filles dansaient quasiment nues sur le long comptoir n’ayant conservé que leurs chaussures, bas et strings et deux garçons qui eux n’avaient que leur string. Je savourai un jus d’orange tandis que les garçons se rafraîchissaient avec une bière. Dans mon dos, un inconnu me massait les fesses, je me retournais même pas pour savoir qui était cet audacieux, Tony me palpait la poitrine imité par Manu alors que Diego se postait en observateur et comme moi regardait la fille qui ondulait sur le comptoir s’accroupissant cuisses écartées offrant à hauteur des yeux la vision de son string arachnéen que des doigts avides s’empressèrent d’effleurer, la fille allumait par quelques mots ses admirateurs qui à présent avaient crocheté la minuscule lingerie, elle se redressa suivie par les bras et mains levés qui serpentaient sur ses jambes et cuisses. La fille toujours aussi sensuelle faisait mine de descendre son string faisant monter la tension des garçons qui se pressaient de plus en plus à ses pieds et par delà nous compressant en même temps. Sur le comptoir elle continuait son show abaissant son string jusqu’au ras de sa fente dévoilant son ticket de métro avant de se tourner et exposer ses fesses la ficelle du string pendant entre ses cuisses.
L’audacieux, derrière moi, avait retroussé ma petite robe sur les hanches, et plusieurs mains se pressaient sur mes fesses. J’en montrais presque tout autant que la fille du comptoir, mais elle était au dessus de toutes les têtes alors que j’étais juste dans la pénombre et l’anonymat de la foule. Elle savait capter l’attention de ceux qui était à ses pieds, même mes trois lascars avaient le regard rivé sur elle et ayant même abandonné les caresses sur ma poitrine. Sur le comptoir la fille avait remonté son string sous la désapprobation de son public, pourtant le voile de tulle du string ne cachait quasiment rien. Des mains glissaient toujours sur mes fesses, des doigts s’insinuant entre mes cuisses appuyant sur ma rosette ou mon abricot, une main contournait mes hanches et se plaqua sur mon pubis un doigt trouva mon clito et joua à l’exciter délicieusement, je ne cherchais même pas à savoir à qui appartenaient ces mains et ces doigts qui me procuraient du plaisir j’en profitais égoïstement. Je recommençais à avoir une furieuse envie de sexe, j’approchais de Tony et lui faisais part de mon état d’excitation.
Sur le comptoir, la fille venait de descendre son string à mi cuisse, puis se retourna offrant sa croupe bien galbée se pencha l’espace d’une poignée de secondes faisant profiter son public de la vision de sa fente et de l’œillet de son anus sous les acclamations et réflexions hautes en couleur ! Tony ayant parlé à ses camarades me dit :
- Allez viens on va te baiser !
Il n’y avait aucune classe dans ses propos, mais juste ce que je voulais entendre. Un des mes caresseurs demanda où est ce qu’on allait, la réponse de Diego ne dû pas le satisfaire, mais à moi oui. Sur le coup j’ai eu peur qu’il les invite à nous suivre. Comme mes trois compères, je regardais une dernière fois la fille sur le comptoir, à présent positionnée face à ses admirateurs, légèrement accroupie et cuisses écartées, elle offrait aux regards avides l’intégralité de son minou. En regagnant la sortie et le vestiaire, je retrouvais sur mes pas l’intérimaire, déçu que je parte. Il profita tout de même pour me caresser une dernière fois les seins les fesses et ma fente poisseuse de ma cyprine, souda sa bouche à la mienne pour un court mais intense baiser et me confia qu’il espérait me revoir et pourquoi pas au boulot lors d’une future mission intérimaire, ou ailleurs. En réponse je restais évasive avec un "peut être qui sait ?".

Le trajet ne fut pas long, Tony avait su maintenir mon excitation en ébullition par ses caresses. Le petit appartement d’Manu était meublé du strict nécessaire et en désordre, mais je n’étais pas là pour faire un état des lieux. Après mettre débarrassée de mon manteau, ma robe s’envola très vite, je me positionnais à genoux cuisses écartées offrant la vue de mon intimité dans une position explicite sur mes envies, je m’offrais !
Après quelques caresses à six mains par dessus le collant, je me retrouvais nue au milieu des trois jeunes hommes, une main appuya sur mon épaule, docile je m’accroupie, le visage entouré de trois queues bien raides.
Sans qu’on ne me demande quoique ce soit, ma bouche gobait la pine qui me faisait face alors que mes mains branlaient lentement les deux restantes. Ils invertissaient leur place pour profiter à tour de rôle de ma bouche, chacun cadençant son rythme en me maintenant d’une main agrippée à mes cheveux. Les deux que je branlais me trituraient la poitrine, tordant et pinçant mes tétons tout en malaxant les seins. Diego se pencha et glissa sa main entre mes cuisses, joua en virtuose avec mon clito avant de m’enfoncer de doigts dans le vagin pour me le pistonner et annoncer à ses comparses :
- Elle est trempée cette salope, Manu elle dégouline sur ton carrelage !
- T’inquiète on va la défoncer cette chienne, elle n’attend que ça !
Diego me fit me redresser, écarta mes jambes et pliée en avant je continuai de sucer et branler Tony et Manu qui me caressaient les seins alors que Diego s’amusait à faire entrer la télécommande de la télé dans ma chatte pendant que son pouce testait l’élasticité de mon œillet. Il n’en fallait pas plus pour me faire décoller et de les supplier de me baiser que je les voulais tous les trois à la fois.

Manu m’assura qu’ils allaient bien s’occuper de moi et que je me souviendrai très longtemps de ce premier janvier ! Pour les exciter encore plus, (comme si ils en avaient eu besoin) je les défiais en leur disant :
- Je suis votre chienne, baisez moi, enculez moi, prenez moi par tous mes trous, comme une pute !
Il n’en fallu pas plus pour déclencher la débauche des trois mâles qui durant une grosse demi-heure me labourèrent sauvagement les uns après les autres tout en me claquant les fesses, mon plaisir était monté en zone rouge, je sentais mon vagin se liquéfier, mon corps n’était que plaisir. Après une petite accalmie, je venais chevaucher Diego m’empalant sur son mandrin jusqu’au fond de mon vagin, Tony vint se positionner derrière moi et d’un coup lent et ininterrompu me sodomisa alors que Manu investissait ma bouche s’enfonçant jusqu’à la garde à m’en étouffer. Les trois garçons accordèrent leurs mouvements, j’étais ballottée, transpercée sous leurs coups de bassins qui venaient heurter soit mes fesses, soit mon menton ou mon nez, je n’étais plus qu’une poupée de chair entre leurs mains, quel délice de me sentir prise par trois bites à la fois qui dévastaient mes orifices et mon plaisir éclata dans un profond orgasme qui me laissa inerte. Quand je repris mes esprits, toujours vautrée sur Diego, il écartait mes fesses et les deux autres s’amusaient avec mon anus, l’ouvrant le refermant pour en faire sortir le sperme qui l’avait rempli. Petit à petit ces messieurs reprenaient de la vigueur et l’envie de me reprendre revenait fortement.

Manu pris la place de Diego, cette fois je venais le chevaucher dos à lui, il planta sa pine bien raide dans ma chatte et Tony se glissa entre mes cuisses écartées et pointa son gland sur ma vulve et poussa contre la bite de son copain, au fur et à mesure de sa pénétration je gémissais de me sentir ouverte de la sorte et remplie comme je ne l’avais jamais été !

Dès que les deux se mirent en mouvement plus ou moins accordé, Diego m’enjamba et m’enfourna sa bite dans la bouche. De nouveau je jouissais sous cette double pénétration vaginale. Mes cris étaient étouffés par sa queue qui me baisait la bouche sans douceur, je bavais sous l’ardeur qu’il mettait tout en m’insultant copieusement. Je dû subir cet assaut durant quelques minutes avant que ces messieurs décident de changer de position. Manu glissa de mon vagin à mon anus et m’encula profondément, Tony se retira pour laisser Diego prendre sa place en gardant la même position, une fois Diego introduit et bien penché en avant, Tony pointa sa lance vers ma fourche tant bien que mal, il avait peu d’espace, il arriva tout de même à positionner son gland conte ma chatte sous la queue de Diego, en forçant il arriva à faire pénétrer quelques centimètres de son membre. Je sentais ma vulve s’ouvrir sous sa poussée quand il m’eut mieux pénétrée, je sentais ces trois bites palpiter en moi, je mouillais de plus en plus et lorsque ils se mirent à bouger de concert cela me déclencha une nouvelle jouissance et un flot de mouille qui eut raison de leur imbrication en moi … dommage !
- Mais comment ils font dans les films de cul pour faire une triple ? lança Diego désappointé.
- Ce sont des pros tout simplement. Lui répondit Tony.
- Pas de bol, pour une fois qu’on a une salope qui se laisse faire et qui en redemande ! Rétorqua Manu.
Du coup, ils repassèrent à quelque chose de plus simple, chacun occupant un de mes trois orifices, mais bien efficace pour me faire monter un orgasme xxl ! La fatigue d’une nuit blanche additionnée à leur excitation leur fit rendre les armes, le premier fut Tony dans ma bouche suivi de Manu dans mon vagin imité de près par Diego qui m’arrosa copieusement le rectum et je jouis une fois de plus durant son éjaculation. Cette fois j’étais anéantie, juste une poupée de chiffon abandonnée de toute ses forces, mais savourant son plaisir.

Une fois remise de cet état semi-comateux, je les remerciais en les embrassant, je renfilais mon collant et ma petite robe, chaussais mes escarpins et leur demandais de me raccompagner. Avant de rejoindre mon domicile, nous échangions nos numéros de téléphone, je n’y tenais pas plus que cela, mais ça m’évitait de les supplier de me reconduire et cela leur laisser un espoir de me revoir.
Dehors, il faisait grand jour, la légère froidure nous fit frissonner. Dans la voiture, Tony profita de ces derniers instants pour encore me caresser, je m’y prêtais volontiers et même abondant à son délire de faire un gang-bang, le fantasme fut communicatif et Diego et Manu y ajoutèrent leurs grains de sel. Ils me voyaient déjà dans un entrepôt abandonné au milieu d’une vingtaine de mecs assoiffés de sexe, pour finir dégoulinante de sperme. Arrivés au pied de mon immeuble, ils me proposèrent de monter avec moi, je refusais gentiment en prétextant que mon compagnon devait être rentré. Sur le trottoir, ils m’embrassèrent chacun leur tour tout en me caressant une dernière fois. Tant pis si un ou des voisins, couche-tard ou lève-tôt (c’est selon), m’apercevaient avec ces trois amants qui n’arrêtaient pas de m’enlacer et de m’embrasser, risquant de me faire une sacrée réputation, je ne regrettais pas cet instant et ceux qui l’avaient précédé.
Je m’engouffrais dans mon immeuble, après leur avoir fait un dernier coucou de la main. En montant les escaliers, je sentais leur sperme s’écouler de ma chatte et de mon anus pour finir par se répandre dans les mailles du collant. Je ne pus m’empêcher de me dire que je m’étais comportée comme la pire des salopes, mais en plus j’avais aimé ça !
A peine entrée dans mon salon, je jetais mon manteau sur un fauteuil. Après avoir bu un grand verre d’eau, je fouillais mon sac à main, pour en sortir mon téléphone et appeler Alexandre pour lui dire que j’étais rentrée. Après plusieurs sonneries, je tombais sur sa messagerie. Je regrettais de ne pouvoir lui parler directement, je lui laissais le message suivant : « mon amour, je viens tout juste de rentrer, il me tarde de t’avoir contre moi, j’ai beaucoup de choses à te raconter, je pense avoir dépassé tes espérances, rentre vite mon chéri, ta chienne salope t’attend docilement. Je t’aime ! ». Je m’allongeais sur le canapé, couverte d’un plaid, mon esprit revivait cette nuit torride tout en me laisser tomber dans les bras de Morphée. (Tiens et un de plus).

Ce qui est certain j’allais avoir de quoi lui raconter à mon homme, avec pour preuve les traces de ma débauche sur ma robe et mon collant. A n’en pas douter cela allait dégénérer en un bon moment bien chaud et coquin ... et il le fut !

Fin.

5 commentaires

Une saint Sylvestre très chaude (chap 3)

Par Jedi le 16 mars 2020

Je laisse ce com pour vous féliciter de vos aventures et de vous remercier de les partager avec la communauté. En effet en lisant vos superbes expérience, on peut se rendre compte de la montée en puissance de votre pratique du candaulisme ! Et que dire de ce dernier acte, dans les toilettes puis dans l appartement, hyper bandant ! Vous avez une belle plume et savez nous retransmettre avec précision les émotions vécus lors de ces moments. Au plaisir de lire vos prochaines escapades coquines.

Une saint Sylvestre très chaude (chap 3)

Par Candaule le 14 mars 2020

Comme tout le monde, je vous dirai que votre récit est fantastique. Il est tellement bien écrit et véritablement stimulant pour notre imagination. Je ne doute pas que nombreux sont ceux qui ont dû prendre du plaisir sur votre texte. Merci 1000 fois Alex, merci 1000 fois Flo.
Vivement la prochaine aventure pour prendre à nouveau du plaisir.

Une saint Sylvestre très chaude (chap 3)

Par Ellebasi le 12 mars 2020

Super début d’année. Dit nous ce qui c passé avec Alexandre quand tu lui a tout raconter.

Une saint Sylvestre très chaude (chap 3)

Par spv85000 le 11 mars 2020

Extraordinaire histoire magnifiquement racontée.
Un plaisir à lire ...
merci beaucoup de nous faire vivre vos émotions au travers de cette lecture

Une saint Sylvestre très chaude (chap 3)

Par Elkiki2209 le 11 mars 2020

Wouwwww... Voilà un récit fantastique. Très bien écrit et hyper exitant. Alexandre a bien de la chance.. Bravo