Alors que les deux amants, s’éloignent, main dans la main vers la chambre, je ne retrouve seul avec mes pensées
Je viens de découvrir que non seulement elle aime se faire prendre par marc, que c’est moi finalement qui l’ai poussée vers cette action, mais surtout qu’elle m’a fait cocu depuis six mois avec très certainement de nombreux hommes, car je suppose qu’elle ne m’a pas tout avouer, pour finalement se faire baiser par deux frères, et ce de façon régulière, sans que je m’aperçoive de ses absences, nécessaires à ces coucheries.
Le pire c’est que je ne peux lui en vouloir, même si j’aurais préféré qu’elle me traduise son manque de sexualité avec moi car avec la présence de marc, j’ai découvert une autre femme, ou plus exactement une femme que je ne connaissais plus. En effet, il y a plusieurs années, nous étions très partant pour faire l’amour et à l’époque, je la faisais jouir sans problème, parfois même plusieurs fois par jour, mais là, non seulement elle est en manque, mais elle a avoué que ma queue, trop faignante et trop petite en comparaison a ses aventures, ne lui procurait plus le même plaisir
Je pourrais dire que je n’avais pas le choix à savoir la laisser faire, mais honnêtement, ma queue bandée en y pensant, je dois reconnaitre que cela n’excitait diablement ; je l’avais vu se faire démonter plusieurs fois par marc et cela n’avait fait bander, ce qui était encore le cas maintenant. D’ailleurs, j’attendais, allongé sur le lit dans la chambre d ‘ami, que retentissent ses cris de jouissance, ce qui n’a d’ailleurs pas tardé
Si je savais que cela serait le cas au moins une bonne partie de la nuit, j’étais aussi très étonné de la modification de son parler envers moi. Par ses paroles, son comportement, ses regards, elle voulait me soumettre à son plaisir ; la meilleur preuve étant sa volonté que je constate les dégâts et la présence de sperme dans son vagin, pour bien me faire comprendre que j’étais cocu.
Cette situation bizarrement m’excite à tel point que j’ai commencé à me branler en y pensant, mais aussi attendant la jouissance traduisant son ensemencement ; quand ses cris ont résonné dans la pièce attenante, j’ai éjaculé, étonné de ce regain de virilité : en réalité, le fait qu’elle me fasse cocu me donnait non seulement du plaisir, mais aussi une nouvelle virilité. Avant de m’endormir, j’ai entendu le bruit de ses pénétrations que j’imaginais facilement, mais aussi ses jouissance sonores, répétitives.
A un moment, je me suis réveillé ; elle était à côté de moi, nue, souillée de semence ; m’embrassant tendrement, ; puis déposant sa chatte gluante de sperme sur mon visage elle m’a dit avec douceur
  Viens mon petit cocu constater qu’il m’a bien ensemencée et ce par trois fois ; je ne sais combien de fois il m’a fait jouir, mais au moins deux fois ma fontaine a inondé les draps ; ne sois pas malheureux car si tu sais que je vais continuer à avoir des aventures, c’est toi et toi seul que j’aime ; seul mon corps a besoin de se faire posséder et je suis sûr qu’ensemble, nous pourrons aller ensemble dans ce chemin.
Bien évidemment, j’ai accédé à ses désirs et avec application mais surtout avec plaisir et beaucoup d’amour, je lui ai nettoyé sa chatte ; finalement, elle s’est endormie à côté de moi.
Quand je me suis réveillé sur le matin, elle n’était plus là ; par la porte laissée ouverte de la chambre, j’ai pu les voir, accolés en chien de fusil, le bras de marc autour de sa poitrine et sa queue encore dans son vagin ; quand elle s’est levée arrivant nue dans la cuisine, sur ses cuisses, la marque de sécrétions étaient non seulement bien évidentes, mais aussi très fraiches ; elle venait de se faire féconder ; la pensée m’a donné une belle érection, ce qui l’a fait sourire
  Si je comprends bien en te voyant ce matin, cela te fait bander de savoir qu’il m’a baisée juste avant que je rejoigne ; je crois que tu y prends gout, et puisque c’est ainsi, vient le constater
Elle s’allonge sur le canapé, les cuisses bien ouvertes, découvrant sa caverne, ses lèvres et ses cuisses recouvertes de sperme ; mon plaisir est toujours aussi grand ; quand ma langue se pose sur son clito enflammé, un profond gémissement s’échappe de ses lèvres. Un petit moment plus tard, elle se redresse, ses lèvres venant gouter les restes de semence sur les miennes , puis m’attirant à elle :
  Je constate que cela te fait bien bander, alors baises- moi comme il me le fait si bien, fais-moi jouir avant de me féconder à ton tour
Je dois reconnaitre que sur le moment je n’en croyais pas mes oreilles ; elle voulait que je la baise comme son amant et non pas comme avant que je lui fasse l’amour ;cela aurait pu me bloquer, mais au contraire, je me suis déchainé, la défonçant, la percutant sans la ménager ; ses yeux ont eu l’air tonné mais elle a entrouvert encore plus ses cuisses en me disant
  Tu vois que je dois m’offrir aux autres, ; cela t’excite de me baiser comme eux et je dois reconnaitre que j’y prends beaucoup de plaisir, continues défonce moi, percutes le fond de ma matrice, prends moi comme si tu prenais une belle salope, ce que finalement je suis
Sous l’effet de ses paroles, je n’ai pas tardé à jouir, l’inondant de ma semence . Si ces cris traduisaient sa jouissance, pour moi, je venais pour la première fois de la posséder, comme elle le voulait, sans amour, seulement le sexe. Alors qu’elle s’échappait vers la salle de bain, je me suis posé la question de savoir ce qu’allait de venir non seulement notre amour, mais aussi notre couple
Le reste de la journée s’est déroulé sans nouvelle possession, simplement des gestes coquins de sa part, aussi bien sur marc que sur moi. Alors que nous venions de terminer notre repas, elle s’est échappée, pour revenir un long moment plus tard, parfumée lourdement maquillée, avec comme seul vêtement, sa guêpière laissant ses seins totalement libres ; elle en avait peint les tétons avec son rouge à lèvres, et relevant une jambes, elle a découvert sa fente dont ses lèvres elles aussi étaient peintes. Puis se retournant, elle a dévoilé son petit trou avec la même couleur ; devant mon étonnement, mais aussi le sourire narquois de Marc elle s’est éclaffée
  Ce sont les trois endroits que vous devrez honoré ; ce soir, jean tu seras présent avec nous, tu pourras me prendre si tu es assez raide, mais surtout tu pourras me découvrir un peu plus, voir combien j’aime être une petite trainée ; surtout, tu pourras assister à ce que tu n’as jamais eu le droit ; j’ai décidé de me faire sodomiser devant toi par marc ; si ce n’est pas la première fois, et oui, les frères y ont eu le droit, je veux que tu puisses me voir jouir ainsi, même si avec le mandrin de marc , je risque de déguster, mais je suis sûr qu’ensuite, ta bouche saura m’y apporter plein de douceur ; pour toi ce sera la seule possibilité d’accéder à mon petit trou

J’avoue que je suis à nouveau époustouflé ; elle n’a jamais voulu que je la sodomise, et elle m’annonce que non seulement, elle l’a déjà fait, au moins une fois avec les deux frères, ce qui signifie qu’elle s’est faite enculée au moins deux fois ce jour-là, mais qu’en plus elle va offrir son anneau à marc sans que je puisse moi en profiter. J’essaie de lui faire changer d’avis
  Tu ne crois pas que tu vas trop loin ; en un weekend, j’apprends que tu me fait cocu depuis 6 mois, que tu te fais enfiler par deux mecs en même temps et qu’ils ont eu la possibilité de te sodomiser, peut etre même en double, mais que maintenant tu veux te faire enculer par marc. Cela qui ne me gêne pas, mais à condition que j’ai le même droit
Sa réponse est sèche, directe et sans appel
  C’est ça ou j’arrête ce jeu ; ou tu acceptes mes conditions, ou je reprends mes rencontres, à ton insu ; à toi de choisir ; mais puisque tu sembles ne plus être dans les mêmes dispositions, moi non plus ; tu restes ici , sans nous rejoindre dans la chambre. Quand il possèdera ce que tu n’auras jamais, tu pourras le comprendre par mes cris
Ils se dirigent vers la chambre, malgré la gêne de Marc, surpris par sa réaction . Alors que je veux les suivre, elle claque la porte devant moi. Choqué, mais dominé par cette femme que j’aime, je me résigne ; plusieurs fois je l’ai entendu jouir, jusqu’au moment où c’est cris et ses paroles ont résonner dans ma tête
  Oh oui, vas doucement , enfiles toi dans mes entrailles, encules moi fort qu’il puisse comprendre que je suis ta chose, et que tu vas me faire jouir du cul avec ton gros chibre qui me dévaste le ventre, mais qui me fait tant de bien
Pendant de longue s minutes, je n’ai perçu que ses gémissements, sa jouissance, jusqu’au moment où il a dû lui remplir le conduit
  C’est trop bon, je sens ta jute au fond de moi ; j’aime que tu me sodomises aussi puissamment, encore défonces moi, élargie ma rondelle avec ta grosse queue qui me fait si bien jouir
Puis après un long cri, plus rien. Quelques minutes plus tard, elle est ressortie de la chambre et avec détermination, elle m’a fait constater ses exploits. Aussi bien le détour de sa bouche, la pointe de ses seins ; mais aussi ses lèvres et son petit trou, avaient perdu leur coloration rouge ; elle me prouvait ainsi qu’il l’avait embrassée, sucée baisée et enculée comme elle en avait envie ; s’allongeant impudiquement sur le canapé, le sillon bien visible, maculé de semence, elle s’est offerte àma bouche
  C’est ta dernière chance de me prouver ta soumission ; nettoie tous mes orifices dilatés er souillés par celui qui maintenant est mon amant
Que croyez-vous que j’ai fait ?