Du temps de notre relation, Jean n’est venu qu’une seule fois à la maison au mois d’août, C l’avait invité pour un barbecue, en sachant pertinemment comment cela se terminerait. Arrivé vers 19h00 C le reçoit dans une robe d’été très légère prevue pour aller avec un maillot de bain, sauf que bien sur il n’y a rien du tout ce soir. C lui fait les honneurs de la maison en lui faisant visiter demeure et jardin, et au fond du potager je vois une main glisser sous la robe pour vérifier que toute culotte est absente. C le laisse fouiller et lui dit qu’il ne perd rien pour attendre. L’apéritif sur la terrasse se déroule dans uns ambiance prometteuse. Pendant le repas Jean et C sont cote à cote et la main gauche de Jean balade régulièrement sur la robe de C qui m’adresse des sourires coquins quand les doigts de son amant la fouillent, faisant monter les premieres ondes du plaisir. Sitôt le dessert consommé nous nous retrouvons tous les trois nus dans la jaccuzzi. C refuse la pénétration dans le jaccuzzi , elle peur d’être irritée par le chlore mais reste ouverte à toutes les autres formes de caresses. C ’est alors un ballet incessant de mains et de langues sur son corps. Elle laisse le plaisir l’envahir la tête en arrière posée sur l’épaule de son amant. N’y tenant plus elle se lève se sèche et ordonne qu’elle nous attends dans le lit. Nous nous séchons et nous la trouvons à quatre pattes sur le lit à attendre d’être prise dans tous les sens
Jean lui devore le sexe et je prend possession de sa bouche, puis il la chevauche en levrette et je ressens ses aller-retour au niveau de sa bouche qui m’avale goulument. Nous changeons de rôle régulièrement. J’adore voir cette masse la défoncer littéralement, lire la jouissance sur son visage et ce moment où elle perd tout contact avec la réalité.
Jean use et abuse de sa salope et ne se prive pas de le faire savoir. D’un coup il se raidit et expedie sa semence au fond de sa chatte béante, n’y tenant plus je jouis dans sa bouche.
Allongés sur le lit nous l’enlaçons tous les deux et revenons sur terre doucement.
Ce fut la seule fois où nous l’avons reçu. J’avais une grande confiance en lui au point de se passer de préservatif et de le laisser jouir dans ma femme. Il m’assurait régulièrement qu’il ne voyait que nous et nous le croyions, mais j’ai appris qu’il batifolait ailleurs, ce qui est son droit le plus élémentaire, mais également sans préservatif. Nous avons mis un terme à cette relation et nous attendons depuis de retrouver un gentleman.