J’ai appris à 17 ans le mot "candauliste" - 1 -

Par tyroler le 4 février 2015 2
Dans Expériences de conjoint(e)s

J’avais 17 ans lorsque j’ai fait ma 1ère expérience candauliste. J’avais choisi la natation comme sport dès l’âge de 7 ans. Je faisais parti d’un club de natation d’un petit village de la région toulousaine. Avec quelques années d’entrainement, mon corps c’était sculpté à mon avantage avec une carrure de nageur comme on peut les voir à la télévision. Je mesurais 1m80 pour 72 kg.

Pendant les vacances d’été j’étais à la piscine du matin 08 h 00 au soir 19 h 00. J’avais été surnommé ‟black blond”, car toujours au soleil j’étais bronzé ‟à donf” et mes cheveux, d’origine blonds clair, étaient entièrement décolorés par le javel, et s’approchaient d’avantage du blanc que du blond, même clairs. Tous les membres du club participaient, à leur niveau, aux taches du club : nettoyage, arrosage, entretien de la pelouse et du système de filtrage, mais aussi à tour de rôle nous devenions aides à la surveillance des bassins.

C’est ainsi que les 10 adolescents que nous étions, avions cet incroyable avantage de nous faire draguer autant par de jeunes adolescentes que par des matures de tout âge. Il nous arrivait souvent que ses matures nous ‟invitent” dans les vestiaires pour nous faire des fellations comme de véritables professionnelles. Dés l’âge de 15 ans j’ai commencé à accepter ce genre d’invitation.

Mais c’est à l’âge de 17 ans qu’une mature, Jeanne, une magnifique blonde d’une trentaine d’années, c’est particulièrement intéressée à moi. Ainsi, 3 fois par semaine, Jeanne se perfectionnait à la pratique de la fellation en petite cabine. Mais au bout de quelques semaines, un copain qui était au courant me faisait remarquer que lorsque nous allions dans les vestiaires, son mari, avec qui elle venait au club, non seulement la voyait et comprenait très bien ce qui se passait, mais dés le retour de sa femme, il lui demandait toujours un baiser comme pour ressentir le goût de ma semence.

J’étais assez naïf pour croire qu’il ne soupçonnait rien du manège de sa femme. Jusqu’au jour où j’osais demander à Jeanne si elle n’avait pas peur que son mari nous soupçonne de nos pratiques. Et là, surprise, elle me révélait qu’elle faisait cela non seulement avec son accord mais aussi à sa demande.

Elle m’avait avoué que son mari, à 62 ans, n’était sexuellement performant que lorsque son épouse avait ce genre de relation avec un jeune homme. Mais à condition que ce jeune homme lui plaise. Que sans être nullement homosexuel, il trouvait normal qu’une femme encore jeune comme elle, puisse avoir des envies pour un jeune athlète comme moi.

Il est vrai que les 2 ou 3 fois suivantes, j’avais été un peu gêné de suivre Jeanne dans les vestiaires. Mais elle a eu vite fait de me rassurer (à coups de va et vient avec sa bouche).

Un jour, début août, Jeanne m’a proposé de venir déjeuner chez elle le midi, que son mari aimerait bien faire connaissance avec « son complice ». Toujours avec sa bouche elle m’a ainsi persuadé d’accepter.

Elle m’avait tout de même rassurée, son mari était très conciliant et surtout totalement hétéro. C’est donc ainsi qu’à 11 h 30, je m’évadais de ma piscine et me présentais au domicile de Jeanne. C’est elle qui m’a ouvert la porte. Le repas s’annonçait apparemment plus sexuel que je me l’étais imaginé. Jeanne ne portait qu’une petite culotte et un chemisier très décolleté et transparent à même sa poitrine pour me recevoir.
Elle a posé un baiser légèrement appuyé sur mes lèvres après m’avoir demandé de me détendre, que tout était super OK. Je l’ai donc suivie vers la terrasse ou son mari l’attendait.
Elle m’a présenté à son mari, Paul, en me nommant, Jean :
- ‟ le jeune homme avec qui je passe de délicieux moments ”.

Timidement, j’ai serré la main qu’il me tendait. Il était vêtu d’un pantalon clair et d’un tee-shirt bleu ciel. Il avait un visage souriant et donnait l’apparence, toujours intimidante pour un jeune, de « l’homme du monde ». Il m’a invité à m’assoir dans un fauteuil en osier et nous avons prit l’apéritif.
J’avais demandé un jus de fruit, en bon sportif que j’étais. Jeanne m’a donc servi mon jus de pamplemousse après avoir préparé un Ricard à son mari. Se penchant au dessus de nos verres, on pouvait admirer ses seins pendant magnifiquement, avec de larges aréoles et les tétons qui pointaient avec arrogance sous son chemisier. Mon regard n’a pas échappé à Paul qui m’a fait remarquer à quel point les seins de son épouse étaient splendides. Comme j’allais approuver son compliment il a rajouté avec une petite pointe d’ironie, et me regardant dans les yeux :
- " mais vous les connaissez déjà ! ".
C’est Jeanne qui est venue à mon secours :
- " mais laisse le donc tu vas le gêner. Oui, il les connait déjà et il les trouve magnifiques et très agréables à caresser. "

Jeanne c’est assise aux côtés de Paul, en face de moi. Son décolleté trop large me laissait voir entièrement sa poitrine. Encore une fois, Paul a remarqué mes regards.
- " Ma chérie, tu pourrais sortir ton chemisier. Avec un tel décolleté, il n’est pas nécessaire de cacher cette poitrine que Jean, comme moi, s’évertuons à admirer. "

Jeanne c’est levée et à sorti son chemisier. Même si Paul avait raison de dire que je la connaissais bien, je ne me lassais pas de regarder cette merveille.
Autant que je me souvienne, elle faisait du 110 E, c’est pour dire. Accentués par la blancheur de la peau restée à l’abri du soleil et les larges aréoles entourant des tétons dressés, cette poitrine ainsi exhibée fièrement nous a mit dans un état érectile non dissimulables.

En plaisantant, Jeanne a caressé la bosse de Paul en disant :
- " calme toi, calme toi, ce n’est pas encore le moment. "
Ainsi nous avons discutés et plaisantés. Paul s’est renseigné sur mon genre d’entrainement et mon mode de vie. Puis nous sommes passés à table.

C’était un repas frugal : salades, charcuterie, fruits et café. Au fur et à mesure des plats que Jeanne nous apportait, elle s’asseyait de plus en plus près de moi. Jusqu’au point ou nos cuisses se touchaient. J’avais fini de boire le café lorsque la main de Jeanne s’est posée sur la braguette de mon pantalon. C’est à ce moment là que Paul s’est levé et prétendant que c’était l’heure de sa sieste.

Jeanne c’est levée à son tour et me demandant de l’attendre elle a accompagné Paul dans sa chambre. Elle est revenue au bout de quelques minutes mais surtout après s’être changée. Toujours seins nus, elle avait aussi sorti sa petite culotte et mit un long collier de perles. Elle était vraiment magnifique et super bandante. Sa chatte était rasée en ticket de métro.

Elle avait se sourire qu’elle arborait à la piscine lorsqu’elle voulait me faire comprendre de la suivre dans les vestiaires. Elle m’a prit par la main et m’a amené dans la chambre. Elle a laissé la porte ouvert. Etant donné que celle ou dormait son mari était, elle aussi, restée ouverte, j’ai supposé que nous aurions de la visite d’ici peu.

Elle s’est collée à moi et m’a dit :
- " voilà, nous avons toute l’après midi et tu ne regretteras pas d’être venue. En amour, j’aime tout. Pas seulement les fellations ou la baise, mais aussi la sodomie, le trio, le sandwich je vais même jusqu’à la partouze. Paul est au courant, il vient, il regarde. Quelques fois il me demande de le sucer pendant que je suis prise. Cela l’excite et à moi aussi. "

Pendant qu’elle parlait, assez fort, certainement pour qu’il entende, elle m’avait sorti le pantalon et caressait ma queue qui mettait mon slip en forme de tente. Et toujours à voix haute elle m’a félicité pour ma queue qu’elle trouvait à son goût. Elle m’a demandé ce qui me plaisait le plus en elle. Je lui ai répondu qu’en premier c’était ses nichons puis son cul.

Elle m’a regardé et m’a dit :
- " je suppose que tu t’occuperas de mon cul. J’aime ça. Mais d’abord si tu me baises dans la chatte tu vas me faire un plaisir énorme. Avec Paul, on en parle depuis hier au soir, depuis que je lui ai décris ta queue, qu’elle était grosse, longue et épaisse. Comme je les aime. Ca l’a fait bander et il m’a baisée comme il faut. Ce soir lorsque je lui raconterais ce que nous avons fait, il pourra recommencer. Et je sens que ça va être ma fête. "

C’est là qu’elle m’a fait signe de parler doucement et dans l’oreille elle m’a demandé :
- " Si je te promets qu’il ne te touchera pas, serais tu d’accord pour qu’il vienne pour se faire sucer ou me sodomiser pendant que tu me baiseras ? Si tu es d’accord, non seulement ça me plairait bien mais à lui aussi. En plus on pourrait se revoir plus souvent comme aujourd’hui. "

J’ai répondu que j’étais d’accord mais à condition qu’il ne me touche pas et qu’il ne me demande rien pour lui. Elle a eu l’air, effectivement contente de ma réponse. Elle a embouché ma queue et m’a fait une pipe du tonnerre. Elle la faisait entrer très lentement et le plus profond possible.

Elle restait un petit moment ainsi et la faisait ressortir pour reprendre la respiration pour replonger encore. On ne m’avait jamais sucé ainsi. Même elle pour moi, c’était la première fois.
Mon érection ne s’en trouva que plus revigorée. Là, elle m’a fait un clin d’œil et me dit :
- " comme j’aimerai en avoir une deuxième à sucer, ce serait formidable. "
Elle me regardait et jetait des coups d’œil rapide pour me faire comprendre que Paul allait rappliquer. Effectivement, au bout de quelques secondes, j’ai pu entendre Paul qui demandait l’autorisation de participer.
A bientôt pour la suite

2 commentaires

J’ai appris à 17 ans le mot "candauliste" - 1 -

Par EqseL le 3 janvier 2022

Tellement agréable à lire.... MERCI

J’ai appris à 17 ans le mot "candauliste" - 1 -

Par gecko45 le 5 février 2015

merci pour ce beau récit dont j’attends la suite avec impatience !!!