Un déjeuner pas comme les autres

Par DenisCH le 15 juin 2014
Dans Expériences de complices

Mauguio, 26 Août…
Ce vendredi 26 août, je devais déjeuner avec Nathalie, à sa demande.

Depuis notre dernière rencontre à Balaruc-les-bains avec son mari, nous avions eu deux ou trois conversations téléphoniques. Dans ma méthode de domination, soutenir un niveau régulier de conversation a pour but de tenir et nourrir le côté cérébral de la relation. Et du cérébral j’en avais besoin pour préparer ma complice à la « Cérémonie » qui la transformerait définitivement en Soumise. Ces conversations avaient lieu à des moments de la journée convenus, où elle et moi savions préserver un espace de confidentialité permettant de parler librement, sans se préoccuper de l’environnement, sans craindre d’être entendu, écouté, épié.

En début de semaine, Nathalie était en confiance au téléphone avec moi, mais, elle me disait aussi qu’elle avait besoin de me voir en privé pour parler de sujets plus profonds de son intimité de ses fantasmes les plus cachés, les plus reculés. Elle me demanda donc de partager avec elle un déjeuner en semaine, précisant qu’elle s’occuperait de trouver le restaurant et se libèrerait deux bonnes heures de son travail pour nous permettre de partager un moment de complicité plus favorable aux confidences qu’elle ne pouvait pas me faire par téléphone. Philippe et Nathalie habitent non loin de l’aéroport de Montpellier. Nathalie travaille dans la zone d’activité de Fréjorgues.

J’avais donc rendez-vous vers midi dans cette zone, le lieu exact devant m’être précisé téléphoniquement dans la matinée.

A midi j’étais sur place et Nathalie m’appela enfin pour me dire qu’elle aurait au moins trois quart d’heure de retard, mais que cela ne devrait pas réduire le temps que nous devions partager. En outre elle avait choisi un restaurant de la zone, le Vintage, si ma mémoire est bonne. Je pris le temps de trouver le restaurant, mais aussi de visiter la zone d’activité de Fréjorgues. Deux hôtels bon marché, quatre ou cinq restaurants et une abondance d’entreprises les une à côté des autres, dans des bâtiments de métal et de béton avec la couleur grise en point commun, gris comme le ciel ce jour là, d’ailleurs. Une zone d’activités comme bien d’autres, bien tenue mais plus fonctionnelle qu’esthétique. Rien de bien romantique, mais je n’avais pas un rendez-vous romantique, j’avais une entrevue à caractère « technique », si je puis dire.
N’ayant pas surveillé suffisamment ma montre, j’arrivais au Vintage à une heure moins dix.

La salle de restaurant, de taille moyenne était à moitié vide. Les clients préféraient une partie située en véranda. En entrant, d’un coup d’oeil circulaire, je vis immédiatement Nathalie, assise à une table située contre un mur, en limite de la véranda et de la salle intérieure. Assise de profil par rapport à la salle elle dût m’apercevoir dès mon entrée, et s’était levée en tendant son visage vers moi, comme pour m’appeler.

Elle portait une robe d’été bleue, très glamour et sensuelle, fluide, avec une encolure américaine et la taille basse soulignée de volants, un vêtement plutôt ample qui me permit, et en approchant, de deviner qu’elle ne portait pas de soutien gorge, comme le font souvent les femmes en été. Je la rejoignis à sa table et pris place en face d’elle. Elle me sourit en me tendant la carte du restaurant, me précisant qu’elle avait choisi en plat unique la « Salade Vintage », spécialité de la maison pour le midi. Je lui proposai de prendre un apéritif. Le serveur fut donc vite renseigné lorsqu’il vint à notre table et partit très vite avec une commande de deux Ricard grand verre, deux salades vintage et une carafe d’eau.

L’entrevue se déroula en discussions soutenues. Nathalie voulait parler de tout ce qu’elle avait découvert en se documentant sur la domination, la soumission, les pratiques bdsm, les punitions, les contraintes de corps, les liens, les colliers de soumises, la sexualité débridée, les pratiques sexuelles extrêmes…

Elle voulait que je lui donne des précisions sur tout. Elle parlait des sujets de façon objective, sans émettre de jugement ni d’avis. Il semblait qu’elle ne voulait pas faire filtrer la moindre attirance ni aversion sur les sujets abordés. Lorsque je répondais, elle m’écoutait attentivement, plus même, elle avait ce regard de respect empreint d’admiration que montre l’élève qui boit les paroles de son professeur. J’étais très flatté.

La soif que j’avais à l’arrivée m’avait incité à vider rapidement mon verre de Ricard et Nathalie m’avait imité, soit parce qu’elle avait soif, soit pour que l’alcool l’aide à parler plus directement. Par contre, l’intérêt de notre conversation nous fit oublier à tous les deux nos faims et nous dédaignâmes allègrement le contenu de l’assiette Vintage, par ailleurs peu exceptionnelle au plan gastronomique.

C’est ainsi qu’à deux heures et demie, alors que nous parlions encore, nos assiettes étaient encore bien garnies. Seule la carafe d’eau avait eu un franc succès. Nous avons parlé de résistance à la douleur, de punitions, de cire chaude déversée sur la peau, d’aiguilles médicales plantées dans les zones sensibles (seins, vulve, lèvres..), d’humiliation et d’exhibition en privé et en public, de pluralité sexuelle avec des partenaires des deux sexes, de marquage de la Soumise, et de plein d’autres sujets encore…

Prenant conscience du temps passé, je proposai de commander les cafés et de laisser Nathalie retourner à son travail. La conversation s’interrompit, comme si une panne était survenue.
« C’est ma faute », me dis-je. Je voyais mon interlocutrice gênée. Quelque chose n’allait pas, quelque chose n’allait plus. Nathalie semblait préoccupée par son sac, ou son contenu. Comme si elle voulait fumer une cigarette sans oser la sortir de son paquet. Finalement, elle me dit :
- " cet après midi je suis libre. Je me suis organisée, je ne reprends le travail que lundi matin. J’ai encore des choses à vous montrer que vous n’avez pas suffisamment, ou pas du tout, vues à Balaruc-les-bains. Tenez, attendez moi là bas, vous allez voir. Je veux vous montrer, je veux me montrer !! ".
Elle me tendit une plaquette en plastique bleue attachée à une clé, sur laquelle était inscrit le numéro 28 et « Hôtel Kyriad ».
« Quel toupet !!! » me dis-je tout bas.

Je suis resté sans voix. Elle voulait donc un « remake » de sa première séance pour elle toute seule, et elle avait tout combiné en ce sens. Ma réaction ne se fit pas attendre, car je voyais qu’elle se jouait de moi.
Je ne pris pas la clé qui m’était tendue et, en vissant mon regard sur le sien, je lui dis :
- " Nathalie, vous savez, il n’est pas interdit à une soumise de prendre des initiatives, encore faut-il qu’elle ne se trompe pas. Entre vous et moi, c’est moi qui décide. Si je veux en voir plus, seul ou en présence d’autres hommes, je le demande et vous vous exécutez. Si je ne veux pas en voir plus, vous ne montrerez rien. Mais pour que je veuille voir ce que vous pouvez montrer, faut-il encore que vous le méritiez. Pour que je veuille vous exhiber devant d’autres hommes, il faut que je sois sûr de vous, que j’aie l’assurance que vous n’allez pas me faire honte, que vous serez à la hauteur. Souvenez-vous. Par exemple, en tant que soumise, vous ne me montrerez pas une fois de plus votre chatte poilue. Je ne veux pas non plus croiser à nouveau le regard de Madame La-Pudeur ou de la Sainte N’y-Touche… Montrez-moi tout de suite que vous vous êtes fait épiler. Levez vous et relevez discrètement votre
robe, et si je ne vois pas de poil pubien, je m’engage à prendre cette clé ".

La salle vidée de ses clients n’était pas un obstacle à cette mini exhibition. Il fallait qu’elle puisse échapper au regard du seul serveur qui passait dans la salle pour terminer de débarrasser les dernières tables. En vingt secondes l’affaire fut réglée. Je vis que Nathalie ne portait pas de slip et que son pubis était lisse comme je les aime.

Le serveur ayant disparu dans le fond de la cuisine, je dis à Nathalie de rester debout et de s’approcher de moi, ce qu’elle fit. Je passai alors ma main sous sa robe et pris a pleine main son minou en le serrant vigoureusement. Sous mes doigts, je sentais une humidité bien sympathique qui ne me faisait pas regretter le marché passé avec la belle quelques secondes auparavant.

Je lâchai prise et lui dit :
- " Vous pouvez vous asseoir à nouveau. Donnez-moi cette clé, je suis sûr que je vais être gâté de voir s’exhiber une belle salope !!! ".

Je vis que la vulgarité du propos ne l’avait pas choquée, au contraire… Elle me dit :
- " Vous pouvez y aller tout de suite, et attendre dans la chambre, vous allez voir, la salope va vous gâter !!! Je règle l’addition et je vous rejoins, je ne tarderai pas ".
Arrivé dans ma voiture, je passais un coup de fil à Bernard F., un ami libertin de Sète, car j’avais l’idée d’ajouter une touche personnelle au programme imaginé par Nathalie. Bernard était à Bézier, et ne pouvait pas me rejoindre au Kyriad de Mauguio, en revanche, il me dit qu’il pouvait m’aider en parlant de mon plan à un de ses amis, Gérard G., une personne de confiance qui habite à Pérols et qui est retraité. Selon Bernard, Gérard est un voyeur masturbateur, amateur avisé des plans « exhib », il sait se tenir. Je donnais mon accord à Bernard pour qu’il communique mon numéro à son ami.

Je n’eus pas de peine à trouver l’entrée du Kyriad située à moins de cent mètres du restaurant. J’y allais néanmoins avec ma voiture que je laissai au parking de l’hôtel. Le Kyriad est un établissement simple, mais agréable. Une jeune femme se tenait à la réception, je lui montrai la clé que j’avais en main en lui faisant comprendre que je regagnais ma chambre directement, que je n’avais pas besoin d’elle. A cette heure de la journée, je ne croisai personne, ce qui me donna une idée croustillante pour la suite. En arrivant dans la chambre 28, je découvris une pièce à peine un peu plus fraiche que les couloirs de l’hôtel, assez mal climatisés.

Il y avait un grand lit tout blanc avec des coussins couleur tête de nègre, un grand bureau avec un téléviseur à écran plat posé à une extrémité et une salle de bain assez confortable. J’allumais le téléviseur et m’assis sur le fauteuil. Mon téléphone sonna, c’était Gérard G.

Gérard me dit qu’il m’appelait de la part de Bernard, qu’il sortait de l’aéroport où il avait accompagnés sa fille et son gendre et qu’il était libre jusqu’à 16H, car il avait un rendez-vous à 17H chez son Urologue à Montpelliers. Je demandai à Gérard de me rejoindre au Kyriad, chambre 28. Il y serait en moins de dix minutes.
Au bout de quelques minutes d’attente, Nathalie frappa à la porte.
J’ouvris, sans la faire entrer, et lui dis :
- " pour vous faire bien comprendre que c’est moi qui décide, je précise que vous n’entrerez dans cette chambre seulement si vous êtes nue. Déshabillez-vous et tapez à nouveau pour que je vous ouvre. "
Je refermai la porte sur son nez. Quelques secondes après, elle frappa à nouveau. Je lui dis :
- " un moment !!".

Impatiente et timorée qu’on la voie dans cette tenue elle tambourina à nouveau.

J’ouvris et lui fis une deuxième leçon.
- " Je veux que vous soyez patiente et que vous attendiez. Je n’ai pas aimé votre insistance. Restez là et refaites ce que j’ai dit, comme je l’ai dit, comme je le veux ".

Je lui pris des mains sa robe et lui refermai une deuxième fois la porte au nez. Restée nue dans le couloir avec ses chaussures à la main, elle frappa lentement. Je répondis
- " Oui, j’arrive ".
Puis je laissai une bonne minute s’écouler. Je l’imaginais se liquéfier de trouille, nue dans ce couloir d’où, à tout moment pouvait surgir un client, ou un employé de l’hôtel. J’aurais bien aimé que Gérard arrive, mais il avait dû se perdre et n’était pas encore là. J’ouvris donc et demandai à Nathalie d’entrer et de poser ses affaires dans la penderie, ce qu’elle fit sans tarder. Je l’invitai à se rafraichir sous la douche et faire une toilette intime irréprochable, pour permettre la bonne exécution de la suite des opérations. Je continuai à regarder la télé, en espérant que Gérard ne tarde pas trop.
Quand elle sortit de la salle de bain, enveloppée dans une serviette blanche, je lui dis :
- " Maintenant, il vous appartient une nouvelle fois de prendre sur vous et de faire en sorte que je voie à quel point vous voulez que je connaisse tout de vous. Quittez cette foutue serviette. Devant moi, je ne veux plus aucune réaction de pudeur de votre part. Faites moi tout voir, montrez moi la salope qui est en vous et qui veut me plaire pour que je la prenne comme soumise et que je sois fier d’elle. Si vous me plaisez, ce dont je ne doute pas une seule seconde, je serais fier de vous exhiber devant un autre homme, un vieux vicelard qui aime les salopes et qui se trouve dans cet hôtel. Nathalie, c’est à vous, ne me décevez pas !! Je prendrai quelques photos souvenir, pour vous ou pour votre mari. Ces images sont à vous, mais si vous m’en offrez une ou deux, ce sera un beau cadeau pour moi ".
Nathalie me sembla calme, elle semblait tout à fait bien. Elle baissa les yeux et se mit à quatre pattes sur le lit.

Ensuite elle s’ouvrir le plus possible pour se montrer dans une position très obscène. Elle écarta ses fesses avec ses deux mains pour montrer son anus, joli petit trou souligné d’un cercle brun. Elle se cambra pour insister sur cette pose. Je m’approchai de son oreille et lui dit « Belle salope, montre par où tu veux être défoncée !!! ».
Je sentis en elle le plaisir d’entendre ces mots… décalés, insolites, excessifs. Je ne parlais plus de Nathalie, je ne disais plus « Vous ». Je l’appelais Salope, Chienne, Pute, Débauchée, Chaudasse, Garce… avec l’adjectif « petite »
quand je voulais être plus tendre... Je lui disais qu’elle avait un beau cul, les nichons d’une Reine, la chatte accueillante et la bouche insatiable… C’était une sorte d’hommage à sa séduction, bien réelle…
Dans cette intimité nouvelle pour elle, elle aussi avait changé son langage, par malice au début :
- " Monsieur, utilisez moi comme une Salope ! "
ou
- " Je veux être votre Chienne ! ",
puis, poussée par le désir d’aller plus loin
- "Oui ! Oui ! Défoncez-moi à fond ! "
En quelques minutes, elle avait appris un nouveau vocabulaire et surtout son usage pertinent. Une très bonne élève, Nathalie...

Puis elle se tourna, se couchant sur le dos, les jambes très écartées et me montra son sexe béant, en écartant là encore avec ses deux mains. Elle se mit à caresser son clitoris d’une main, mais ne rechercha pas la jouissance d’une masturbation trop rapide.
J’avais fait trois ou quatre photos de ses poses torrides.

Puis elle se fit chatte... Elle descendit du lit à quatre pattes et vint se blottir à mes pieds. Elle mit sa tête sur mon genou gauche et attendit ma réaction sans dire un mot. Je me levai de mon siège, défis mon pantalon, sortis mon sexe que je lui enfonçai vigoureusement dans la bouche. On frappa à la porte, ce devait être Gérard…
En entendant cogner à la porte, Nathalie se liquéfia, son regard montrait qu’elle se sentait perdue, que les choses ne se passaient vraiment pas comme elle les avait imaginées. Je libérai mon sexe de son écrin, me rhabillai et ouvris la porte. Un homme plus âgé que moi se tenait devant moi.
Je lui dis :
- " Bonjour Gérard, entrez, vous n’allez pas regretter votre visite au Kyriad de cet après midi. La salope est là, elle va recommencer pour vous ce qu’elle vient de faire pour moi ".
Me tournant vers Nathalie, j’ordonnais :
- " tu peux y aller, salope, nous sommes venu de loin pour te voir, ne nous déçois pas !!! ".

Nathalie n’avait pas repris ses esprits. Elle semblait terrifiée par la situation inattendue dans laquelle elle se trouvait. C’était certainement la première fois qu’elle vivait une telle humiliation. Pourtant, elle ne montra aucune réaction hostile à ma demande, elle se leva, se remit sur le lit à quatre pattes et recommença son exhibition.

Je dis :
- " voyez, Gérard, la salope nous montre où elle veut être défoncée. Mais elle me semble étroite pour des gabarits comme vous et moi, qu’en pensez-vous ? Passez à la salle de bains pour vous laver les mains et touchez, vous verrez ".

Gérard était comme sur un nuage, il fixait la scène, écoutait ce que je disais… Il n’en pouvait plus. Je lui fis signe de patienter, car je ne voulais pas qu’il se masturbe déjà. Gérard se mit à caresser ce corps que je connaissais déjà bien : il commença par les fesses, puis le bas des reins, le dos, puis, par-dessous, le ventre et finit par les seins. Il revint ensuite vers cette croupe offerte et caressa la jolie rondelle brune.

Je lui dis :
- " c’est le morceau de choix. Regardez, il est pour moi !!! ".
Je me baissai vers cette croupe béante et entrepris de lécher ce beau trou
de cul. Nathalie se raidit, et émis des gémissements qui en disaient long sur le plaisir qu’elle y prenait.
M’adressant à Nathalie :
- " Tu aimes ça, belle salope. Dis-moi ?? ".
La présence de Gérard l’avait rendu muette.
Comme elle ne disait rien, je lui pinçai un téton avec force et insistai
- " Je n’ai rien entendu " dis-je d’une voix très autoritaire
Après avoir poussé un petit cri de douleur, Nathalie se mit à prononcer quelques mots
- " j’aime…j’aime beaucoup "
N’ayant pas obtenu ce que je voulais, je recommençai à pincer, plus fort encore
- " Tu aimes ?? Pourquoi tu aimes ?? Dis-le nous !!! ".
Nathalie cria une fois encore, et dit :
- " J’aime ça, j’aime énormément ce que vous me faites, parce que je suis une chienne !! ".
- " Eh bien voilà !! Lui dis-je. Faut pas être timide, faut dire les choses !! ».
Je lapai une fois de plus la belle, en poussant bien ma langue dans le trou, sans y pénétrer car cette porte n’a pas encore été ouverte chez Nathalie. Je lui dis :
- " tu peux continuer, tourne la crêpe, on va chauffer l’autre côté ".

Comme elle l’avait fait quelques minutes auparavant, lorsque j’étais seul avec elle, elle se tourna et, allongée sur le dos, elle offrit sa vulve à nos regards.
- " Quel point de vue exceptionnel, je vais prendre quelques photos, n’est-ce pas Gérard ? Dis-je à mon complice. Allez-y. C’est à vous ! ".

Gérard se mit à caresser Nathalie. Les seins, le ventre, l’entrecuisse, les cuisses, les jambes, les pieds… Il porta le pied gauche de Nathalie à sa bouche et suça son plus gros orteil. Sa bouche suivit la jambe jusqu’à la vulve sur laquelle il resta un peu plus longtemps.

Pour Nathalie, c’était une grande découverte. Une découverte à laquelle elle ne s’attendait pas. Pour la première fois de sa vie, un inconnu l’avait vue nue, offerte et avait caressé son corps, tout son corps… doucement puis plus intimement... la main inconnue avait suivi ses courbes, le creux de l’épaule, le front, la joue, les lèvres... Les doigts de cette main avaient palpé ses seins... agaçant ses tétons qui se dressaient malgré elle... Les mains étrangères avaient beaucoup exploré, puis une bouche inconnue avait pris le relai… Tout y était passé… son ventre doux, ses hanches... son pubis épilé... l’intérieur de ses cuisses, là où elle est si tendre et douce au toucher... Ces doigts et cette langue étrangères s’étaient glissé dans sa fente de fille... l’ouvrant toujours plus, titillant son bouton magique, délicatement mais avec déjà un grand désir de bien faire… Les doigts pas pressés, savaient où ils allaient, et quoi faire… Ils étaient en mission, mandatés et sous le contrôle de son futur Maître !

Pensant que Gérard commençait à dépasser le rôle que je voulais qu’il joue, je lui dis :
-" Vous pouvez vous faire plaisir tout seul, si vous en avez envie. La salope aimera certainement recevoir votre foutre sur ses seins. ".

Gérard sortit sa tête de l’étau douillet dans lequel il aurait aimé rester plus longtemps. Il fit le tour du lit, sortit son sexe de son pantalon et entrepris une masturbation dans les règles, comme à son habitude, selon la réputation dont Bernard m’avait parlé. Avec ses soixante sept ou huit ans bien sonnés, il mit pas mal de temps à inonder la poitrine de Nathalie. L’image peu glorieuse de ce vieil homme debout en train de s’astiquer le jonc, entièrement habillé avec son pantalon baissé jusqu’aux genoux, était assez ridicule, et j’étais pressé que cela finisse et qu’il s’en aille.

J’entretenais l’action en prononçant des mots salaces à l’encontre de Nathalie qui commençait à se chauffer pas mal. J’incitai Nathalie à se masturber en même temps que le vieux fusil, ce qu’elle fit sans se faire prier.

Quand il eut vidé son chargeur, je dis à Gérard de bien frotter son sexe sur la peau de Nathalie pour l’essuyer, lui précisant :
- " la salope n’avale pas encore, épargnez donc sa bouche avec votre engin baveux ".
Ne voulant pas que le trio s’éternise, je fis signe à Gérard qu’il était temps pour lui de quitter les lieux. Il passa deux minutes dans la salle de bain, me salua, caressa la joue de Nathalie et quitta la pièce.

Nathalie semblait avoir été transformée en statue de sel, avec son sperme sur la poitrine et sur le ventre. Elle ne disait rien. Je ne savais pas si elle avait aimé ou pas. Je lui dis :
- " Tu as été gâtée, ma salope, j’ai vue que tu as aimé ce que je t’ai fait subir. Je veux aussi te dire que j’ai été fier de toi, tu ne m’as pas fait honte, je te ferai encore connaitre de belles séances avec d’autres personnes. Cela dit, une chose, encore, le sperme du vieux machin, tu va le faire partir sous la douche, je veux une salope propre pour moi tout seul. Mais avant, il faut que tu te mettes une chose dans la tête : ma semence à moi, je veux que tu la respectes, tu devras la garder, dans ton cul, ton vagin ou dans ta bouche où tu l’avaleras. Tant que tu ne me demanderas pas de te la servir ainsi, tu n’y aura pas droit !! Va te laver et reviens à mes pieds !!! ".
Elle entra dans la salle de bain. J’en profitai pour regarder les clichés réalisés : J’avais une dizaine de photos de choix !!
Nathalie revint de la salle de bain. Son regard serein me parlait, me remerciait de lui avoir fait connaitre ce qu’elle venait de vivre.
Elle se blottit, nue, à mes pieds, et me dit :
- " merci !!! J’ai beaucoup aimé. J’ai tout aimé ".

Elle était intelligente et avait rapidement perçu, combien cette séance dans laquelle je l’avais débauchée comme jamais elle l’avait été, lui avait tourné les sens et mis le cerveau à l’envers... Tout y avait été hors des conventions, tout avait été source de sensations inconnues, étranges et excitantes... Elle en était devenue impatiente et curieuse de recommencer.

Je la regardai droit dans les yeux avec tendresse et lui dis :
- " Puisqu’il en est ainsi, Nathalie, vous serez dressée au plaisir ! ".
Elle me répondit du tac au tac
- " Je veux être dressée à Votre plaisir ! ".
Je lui répondis :
- " Je mettrai un point d’honneur à être un digne de tout ce que vous allez m’offrir de plus précieux. Je ferai tout pour que tout ce que j’ai décidé de vous faire connaitre, vous faire goûter, vous faire subir, soit supportable pour vous. Votre initiation sera progressive, à votre rythme, compte tenu de votre manque d’expérience ".
Son visage resta illuminé, comme si elle buvait mes paroles. Je voulais maintenant goûter à ce plaisir que son regard m’avait promis, je lui dis :
- " Maintenant c’est à votre tour, Nathalie de vous occuper de moi. Commencez
par me déshabiller. Vous pendrez mes affaires, je n’ai pas envie de sortir d’ici tout chiffonné ".
Nathalie se leva et s’appliqua à s’exécuter. Lorsque je fus entièrement nu, je lui dis de patienter un instant, le temps pour moi de faire une toilette intime soignée, pour que la suite soit à la hauteur de ce que je voulais. En sortant de la salle de bain, je m’allongeai sur le lit et invitai Nathalie à me rejoindre.
- " La chienne qui a aimé se faire lécher le cul doit maintenant rendre tout la plaisir qu’elle y a pris. Je vais beaucoup apprécier, moi aussi. ".
Une fois de plus, elle s’exécuta, et me montra qu’elle apprenait vite, très vite. Une chienne très douée !!!
Elle prit un tel plaisir à me donner ce plaisir là, qu’elle prit l’initiative de lécher tout mon corps, revenant sans cesse là où elle avait commencé. Un vrai régal !!!

Comme je n’avais pas prévu de séance en venant à Mauguio, je n’avais rien sur moi me permettant de refaire tout ce que j’avais fait subir à Nathalie lors de la première " Mise en bouche bdsm ". En particulier, pas mes gants d’examen médicaux, donc, pas de nouvelle « fouille ». Par contre, je savais qu’elle accepterait d’être contrainte à me sucer le sexe, comme elle l’avait montré juste avant l’arrivée de Gérard. Je voulais qu’elle me fasse une fellation complète avec éjaculation dans la bouche et qu’elle avale ma semence, comme je lui en avais fait part quelques instant avant. Nathalie qui n’avait jamais accepté d’avoir en bouche le sperme de son mari, qu’elle n’avait que très rarement sucé, accepta ma demande et s’exécuta comme une reine.

Je pris conscience que Nathalie avait rapidement franchi les premières étapes et il ne manquait pas grandchose pour qu’elle soit prête pour « La Cérémonie ».

Considérant qu’un moment de tendresse devait prendre place à cet instant précis, je commençai alors à chuchoter des compliments à Nathalie, cette femme qui venait de m’offrir tant de choses. En même temps je me mis à caresser de mes lèvres tout son corps. Le visage d’abord. Les épaules ensuite, puis les seins. J’insistai sur les seins, alternant caresses et léchage des tétons. Nathalie aimait beaucoup, elle ne bougeait pas comme pour éviter de gêner ma progression vers les points plus sensibles. Puis, mes lèvres descendirent sur son ventre. Ma langue vint presser ses grandes lèvres, qui avaient un goût âpre mais suave puisqu’elle était très mouillée, enfin ma langue s’occupa vigoureusement de son clitoris.

Elle s’abandonna complètement. Je me mis à caresser son dos avec les ongles de mes deux mains, symétriquement, puis descendis sur ses fesses, son anus, quelle offrait ostensiblement, car elle avait découvert, grâce à moi, qu’elle aimait beaucoup.
Nathalie prit un plaisir immense sous mes caresses, elle gémissait et se cambrait de plus en plus, s’offrant encore plus à toutes mes initiatives.
J’alternai les paroles tendres avec les mots crus qu’elle avait apprécié lorsque Gérard était là. Ce flot de mots incitaient Nathalie à en faire plus, à mieux se cambrer à mieux s’ouvrir, à mieux s’offrir. Voyant que le moment était venu pour moi de la pénétrer, je lui dis :
- " Maintenant je veux vous pénétrer. Accepterez-vous que cela se passe comme je vous l’ai promis tout à l’heure ? Je veux savoir si maintenant, vous êtes prête à me recevoir en vous, comme on reçoit son maître, comme on reçoit celui en qui on a toute confiance. Le laisser entrer sexe nu, sans préservatif, cet artifice réservé aux rapports sans confiance. Nathalie, êtes-vous bien la femme que je crois, en laquelle je place toute ma confiance ? "
Elle se tourna vers moi, fixant mon regard, et me dit :
- " Oui, je veux que vous me preniez sans préservatif. Je suis la femme que vous attendez, celle en qui vous pouvez placer tout votre confiance. Je vous promets."

Je la plaçais à quatre pattes sur le lit, pour la prendre en levrette, car c’est comme ça que je la voulais. C’est comme ça que j’allais lui donner tout le plaisir qu’elle était en droit d’attendre de moi, après m’avoir tant donné. Nathalie apprécia, elle continua à se cambrer et à s’ouvrir mieux à ma pénétration. Elle en redemandait.
Elle aimait ça. Elle s’abandonna littéralement. J’introduisis mon pouce dans son anus. Elle se cambra encore, pour me permettre d’en faire plus, et, en même temps elle bougeait de tous ses membres, tout en continuant à gémir de plaisir. Elle se cambra encore pour faciliter le passage de mon pouce. Je me mis alors à jouer un va et vient avec mon sexe qui entrait très profondément en elle, tandis que son corps ondulait pour que je la pénètre encore plus fort. Nathalie émit des sons de jouissance. Je libérai mon plaisir en inondant sa chatte.

Après cette avalanche de plaisirs partagés, je la retournai délicatement, la pris dans mes bras et l’allongeai à côté de moi. Je mis mes lèvres sur les siennes et nous partageâmes un baiser profond, un de ces baisers qui laissent les meilleurs souvenirs, un ancrage qui permet de revivre en différé un bonheur partagé…

Elle devint chatte et se remit à caresser mon corps avec ses lèvres et à en lécher les parties sensibles à de telles caresses. J’aimai beaucoup.

Je lui fis un grand sourire, et lui dis :
- " Nathalie, Je veux vous dominer. J’attends la Cérémonie avec une grande impatience. Ce jour-là, vous allez devenir une « femme de ma vie ». Je sais que vous serez à la hauteur, mais peut être que vous m’en donnerez encore plus. Vous êtes une femme qui a des ressources, vous venez de me le prouver aujourd’hui... Et dire que je ne venais seulement pour déjeuner !!! Mais, au fait qu’allons nous dire à Philippe ?? ".
Nathalie m’offrit son plus beau regard. Elle mit ses lèvres sur ma bouche et nous nous embrassâmes langoureusement et me dit :
- " je m’occuperai de dire à Philippe ce qu’il doit savoir… ". Je n’en savais pas plus.
Mystérieuse Nathalie !!
Il était déjà dix huit heures quand je repris le cours des choses habituelles de mon emploi du temps de retraité.
Après une douche rapide, j’avais abandonné Nathalie dans cette chambre 28, pleine de souvenirs…
Il me reste à préparer la Cérémonie. Tout devra y être parfait. Je veux moi aussi être à la hauteur !!!

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