Récit semi- authentique
Par
TaureauAmiens
le 7 février 2020
4
Dans
Expériences de complices
Bonjour à tous. J’écris (enfin j’essai d’écrire) des récits érotiques inspirés de mon vécu. Certains sont candaulistes, et sont des synthèses de plusieurs expériences vécues.
Dans mes récits, j’ai déjà été cocu, mais je suis surtout le cocufieur...
J’écris ces récits pour mon propre plaisir, mais j’aimerai aussi partager ça avec vous.
Donc voici un premier récit concernant un couple de sexagénaires avec qui j’ai vécu ma première expérience candauliste. Les prénoms des protagonistes ont été changés, certains aspects ont été exagérés, et le récit est plus rapide que la réalité ne le fut. Enfin, j’y ai ajouté des éléments provenant purement de mes fantasmes.
Ce récit est donc semi authentique.
Bien évidemment, je répondrais à toutes les questions concernant les éléments réels et fantasmés.
Un matin, je reçois le coup de fil du père d’un de mes meilleurs amis. J’étais déjà parti pour me rendre au boulot.
- “Bonjour, c’est Michel, le papa de Kevin. Comment va tu ?”
Je réponds machinalement que tout va bien, je demande poliment des nouvelles de Kevin, de son frère et de leur mère.
- “Est ce que tu t’y connais en sites web ?” demanda Michel. C’est mon métier, mais connaissant le père, qui est très entêté et lourd, je crains le pire pour ce qu’il va me demander. Je lui répond tout de même que oui, mais que ça n’est pas mon métier…
- “Bien bien. Dis moi, quand est ce que tu pourrais passer à la maison ?”
Je lui répond alors que j’étais disponible en fin de journée, après 19:00. J’avais choisi cette heure avancée afin d’écourter au maximum ma visite. Ses fils ne peuvent l’aider car installés chacun dans des villes différentes.
Après une journée stressante et fatigante, je rentre chez moi me rafraîchir avec une douche et une boisson. J’avais complètement oublié que je devais passer chez Michel. J’annonce alors à ma femme que Michel a besoin de moi - elle est amie avec l’épouse de Kevin, et connaît bien Michel.
Alors je m’active, et compte bien expédier cela en moins d’une demi-heure.
J’arrive devant chez lui à pied - il habite à 5 minutes à peine - et constate qu’il est dans son jardin à soigner ses fleurs. Il est très bricolo et a une très belle maison. Il est retraité, ancien fonctionnaire, tandis que sa femme, fonctionnaire également, travaille toujours. Il me salue par une bise, et m’invite à entrer. Il me propose à boir, je dis oui machinalement. J’attendais impatiemment qu’il m’explique ce qu’il me voulait, et j’avais déjà hâte de rentrer chez moi. Il me dit qu’il voudrait faire un site web sur la ville d’Algérie où il a grandi étant enfant. Je lui dis que créer un site web n’était pas forcément donné à tout le monde et commence à lui montrer les différents hébergeurs de blogs, etc. Il est attentif et semble tout de même assez réceptif malgré qu’il soit technophobe. Je remarque que sa femme n’est pas là. Habituellement, elle alimente la conversation, donc je me dis que c’est déjà ça de gagné. Michel me propose une autre boisson. Comme il fait chaud chez lui, j’accepte. Il m’apporte un verre, mais trébuche, et pour éviter qu’il inonde son PC portable flambant neuf, je m’interpose et prend le tout sur la tronche. Il s’excuse et m’indique gentiment une salle de bain, qui est à l’étage. Je constate qu’il y a deux salles de bains, et qu’une des deux semble être occupée, donc je vais à l’autre. Je me débarbouille tant bien que mal, un peu dégouté pour mes vêtements. Le bruit d’eau qui coule dans l’autre salle de bain s’arrête, et j’entend un bruit de porte de cabine de douche. Mon esprit un peu tordu me dit d’aller mater, puis je repense à mon ami Kevin et à son père. Mais ma curiosité malsaine prend le dessus, je laisse couler l’eau du lavabos que j’utilisais et marche discrètement vers l’autre salle de bain. La porte entrouverte donne vue sur un mirroir. Très brièvement, j’entrevoie une silhouette féminine, probablement de Véronique, la femme de Michel, et mère de Kevin. Puis la silhouette ré-apparaît, laissant voir une superbe forêt noire. Cette vision me fait de l’effet. Elle semble se passer de la crème sur le corps de manière un peu maladroite et rapide. Je vois succinctement de gros seins qui se balancent. Le miroir ne me laisse entrevoir que le bas, sauf lorsqu’elle se baisse. Excité comme rarement, je tente une approche pour en voir plus. J’arrive à apercevoir sans l’aide du miroir son corps de dos. Un corps plutôt bien conservé et beaucoup plus sexy que j’aurai pu l’imaginer, compte tenue de son âge. Des rondeurs et des formes au bon endroit, et surtout, une superbe paire de gros seins. Rarement vu une aussi belle paire de seins chez une femme de cet âge là. Elle a une peau très blanche, des cheveux de couleur noir de jais, que je suspectais d’être teints, mais d’après sa superbe touffe noire, ça n’est pas le cas. Le contraste entre sa peau blanche et ses cheveux très noirs la rend vraiment très désirable. Elle se massait les seins avec de la crème. Mon mât était au plus haut. J’avais déjà vécu des situations excitantes, mais rien de pareil à celle là. Le fait de voir la mère d’un de mes meilleurs amis, nue devant moi, sans qu’elle ne le sache, avec son mari au rez de chaussée. Les interdits s’étaient accumulé et avaient exacerbé mes sens et mon excitation. C’est là que mon téléphone se met à vibrer dans mon pantalon, et le bruit avait alerté la belle Véronique, qui s’empressa d’enfiler un peignoir pour voir qui était dans le couloir. J’ai pu à temps fuire vers l’autre salle de bain, éteindre l’eau, et faire comme si de rien n’était. Elle était dans le couloir, j’ai fait fi de tousser et de faire du bruit avec la porte pour indiquer que je sortais et que je retournais en bas. Elle retourna rapidement à la salle de bain, en prenant soin de fermer la porte, et n’avait pas vu à quel point je bandais. En descendant les escaliers, je me demandais comment cacher cette intense érection. Je me débrouillai pour plaquer ma verge contre mon ventre, me servant de l’élastique de mon caleçon pour la maintenir et ainsi masquer quelque peu mon état. Michel était confus, voyant l’état de mes vêtements, il me dit qu’il était hors de question de repartir dans cet état, que je devais laisser mon polo ici même pour qu’ils se chargent du nettoyage et qu’ils allaient me prêter un autre haut.
Après cet intermède, nous étions reparti sur son projet de blog. Je lui ai dis de manière assez direct, que le plus simple serait que je le crée pour lui, et que je lui apprenne à gérer le contenu et les images. Il était d’accord, mais ne voulait pas me déranger. Je lui ai dis que ça ne me dérangeait pas. Je cherchais clairement un moyen de revenir régulièrement chez eux, n’ayant plus en tête que Véronique et ses formes magnifiques. Elle m’excitait bien plus que des femmes plus belles et mieux roulées. C’était une femme mariée, la mère d’un ami, l’interdit était trop attirant. Michel demanda à Véronique d’apporter un haut propre à ma taille. Elle arriva, me dit bonjour timidement. Elle semblait gênée. Elle devait penser que peut être je l’avais vue nue, mais ne pouvait en être certaine. J’imagine qu’elle espérait que ça ne soit pas le cas. En même temps, elle me regardait discrètement quand j’avais le regard posé ailleurs. Je tentai alors un coup de poker : me changer devant eux. Après tout, ça ne devrait pas les gêner, un homme de l’âge de leur fils torse nu, qu’ils ont connu gamin, rien d’anormal. Je scrutais la réaction de Véronique, elle tentait de me mater discrètement, puis nos regards se croisèrent, et elle se mit à rougir quelque peu.
Michel ne remarqua rien. Il était concentré sur son blog. En donnant mon polo tâché à Véronique, je m’arrangeais pour que nos mains se touchent, elle ne fit rien pour éviter le contact. Je jouais à un jeu dangereux, mais j’étais comme dans un état second. Mon coeur battait fort, et j’avais probablement le visage rouge. Je quittais les lieux dans un état que vous pouvez facilement imaginer. Je dis à Michel que je passerai le lendemain, que j’avais du temps mais que j’allais rapidement être surbooké, et qu’il fallait que j’avance vite tant que je le pouvais. Stratégiquement, je proposais une heure où il pouvait être absent.
Je propose donc 17h30. Bingo, il devait aller à son club. Il dit alors “Pas de souci, Véronique sera là”. Je dis alors “A demain” sur un ton un peu malicieux.
En rentrant, je ne pensais qu’à Véronique. Ma femme avait remarqué que j’étais pas mal excité, et lui ai dis que c’était probablement ce que j’avais mangé le midi qui devait avoir un effet aphrodisiaque. Ce soir là, je baisais ma femme de façon bestiale et crue, ce qui lui plaisait beaucoup quand elle était dans le bon état d’esprit, mais ça ne suffisait pas à calmer mes ardeurs. Je me levais la nuit pour me masturber dans les toilettes en regardant des vidéos porno de femmes mures et du même profile que Véronique.
Le lendemain, je sortais du boulot à 17h00, prétextant un problème avec mes enfants, et était déjà excité à l’idée d’aller chez Michel et Véronique, mais en même temps avec la peur au ventre, car c’était sérieusement risqué.
Et si j’avais fantasmé tout ça, que ça n’était que dans ma tête. Il fallait vraiment la jouer fine. J’arrive sur le pas de leur porte. Je tape. Elle vient m’ouvrir. Elle est en tenue de maison, dans un pyjama très peu attrayant, au dessus duquel elle a enfilé un gilet simple. Elle avait l’air de faire le ménage. Plutôt étrange de faire le ménage à cette heure ci, surtout qu’elle devait être rentrée de son boulot depuis peu. Je lui dis bonjour en lui faisant la bise, en prolongeant le contact entre nos joues, et en en demandant quatre. Elle avait la peau très chaude. A ce moment là, je ne savais pas si c’était un signe. Il faisait toujours aussi chaud, et elle me propose alors une boisson. J’accepte volontier, évidemment. Elle me dit “Bon, ben voilà l’ordi de Michel, c’est toi le spécialiste.”. Je lui répond “Oh, vous savez, je ne suis pas vraiment spécialiste, je m’y connais un peu, et si je peux dépanner, tant mieux. Et ça me fait plaisir de venir ici.” A ces mots, elle détourna son regard, comme gênée. Puis me dit “Si tu as besoin de quelque chose, je serais à l’étage”. A ça je lui répond :” Pas de souci, en cas de besoin, je monte, je connais le chemin”. Elle me tournait déjà le dos, et se dirigea précipitamment vers les escaliers, et les monta tout aussi rapidement. Je voyais qu’elle était troublée, mais sans savoir si elle était attirée ou choquée.
Puis je me dis que si quelque chose doit arriver, ça arrivera, inutile de brusquer les choses ou prendre des risques inconsidérés. Je me met au boulot. Je n’en n’avais pas pour très longtemps, mais je voulais évidemment passer un maximum de temps avec elle. Je commençais à fouiller également le PC de Michel, et tomba sur des photos de vacance au Maroc, avec Véro en maillot de bain, très sexy. Ces photos me mirent dans un état indescriptible, vu la situation. J’étais seul avec elle, il fallait que je tente quelque chose. Alors je suis monté sans faire de bruit. Personne dans le couloir, toutes les portes des chambres étaient closes. Elle était vraisemblablement dans la chambre conjugale. Je posais mon oreille discrètement contre celle-ci et entendait un bruit de respiration, mais très faible, comme masqué. Je ne pouvais tenter d’ouvrir la porte sans l’alerter.
Quelle excuse aurais je eu pour ouvrir la porte sans frapper ? Je renonce et décide de taper à la porte. Alors j’entendis un grincement de lit suivit d’un
- “J’arrive”.
Elle semblait essoufflée, le visage un peu rougi, et avait changée de vêtements. Je lui dis :
- “au fait, avez vous pu faire quelque chose pour mon polo ?”
Elle me répond :
- “Ah, Michel l’a prit au pressing car la tâche n’est pas partie avec mes méthodes de grand mère.”
Je lui demande si ça va, qu’elle a l’air fatiguée. Elle me répond qu’elle était en train de remettre les meubles à leurs places après le ménage. Je lui dis que ça doit être lourd pour elle. Et tout à coup, je ne sais pas si c’est la situation, mais je me mis à avoir une énorme érection. Cette fois-ci, elle ne pouvait la rater. Elle l’avait là, juste devant elle, les yeux rivés dessus, rouge de honte. Puis me regarda en feignant un petit rire qui avait du mal à cacher son malaise. Elle me demanda ce qui se passait avec moi, si je l’avais espionné la veille, etc. Je lui répond :
- “Si je vous parle franchement, ça reste entre vous et moi ? Un secret ?”
Elle me répond
- “Je pense que toute cette affaire doit rester entre toi et moi, dans tous les cas”.
Alors je commençais un petit speech, sachant que c’était très dangereux.
“Hier, quand je suis monté nettoyer mes vêtements, j’ai vu la porte entrouverte de la salle de bain ou vous étiez, et du bruit. La curiosité m’a poussé à jeter un oeil, et je vous ai vu nue dans le miroir. C’était comme une révélation. J’ai ensuite continué à m’approcher de vous, j’avais envie d’en voir plus. J’étais dans un état second. Et là, elle change de ton, et me dit “t’es pas le premier à fantasmer sur moi, mais j’aurai jamais cru ça d’un garçon comme toi, marié en plus.”
Je lui répond “C’est la première fois que ça m’arrive. Je n’y peux rien. Et oui, je pense à ma femme et à la situation. Et vous, ça vous fait quelque chose ?” Elle me répond alors “A ton avis ?”.
Je ne dis rien. Elle me dit alors “On va faire quoi alors ? On oublie tout ça et on reprend chacun sa vie normalement”. J’hésite un instant. Je la regarde. Elle semble au bord des larmes. Je me dis alors qu’on ne vit qu’une fois, et je m’approche d’elle. Je met ma main sur son épaule, puis je la passe sur la nuque, le dos, mais ne vais pas plus loin. Elle me dit alors “Prend moi dans tes bras, mais pas plus”. Alors je m’exécute. Elle tremble. Elle a la peau chaude, respire de manière chaotique. Puis elle se met à me serrer très fort et me dit “Tu sens bon”. Puis elle reste comme ça, les bras serrés autour de moi, à me frotter le dos. J’ai du mal à résister, alors je commence à embrasser son cou nu. Au premier baiser , elle émet un gémissement quasi inaudible. Je continue à embrasser son cou, et elle me dit “Pas plus loin”. Alors je me calme un peu, et je continue lentement et tendrement. Puis, d’un coup, elle aussi se met à m’embrasser timidement le coup. Alors, je lui caresse la nuque encore, puis la plaque lentement et doucement contre mon torse, et elle se met à embrasser mon cou plus vigoureusement. Pendant ce temps là, elle laisse un peu ses mains se balader sur mon torse, mon ventre, le bas de mon dos, etc. Moi je me contente de la tenir par la taille. C’est alors que je lui relève bien la tête, puis lui relève la sienne, pour que l’on soit quasi joue contre joue. Et je commence à l’embrasser très délicatement sur la joue gauche, puis naturellement, nos lèvres brûlantes se rencontrent.
4 commentaires
Récit semi- authentique
Par TaureauAmiens le 7 février 2020
Je viens d’ajouter la suite dans une autre contribution qui s’appelle "Récit semi authentique (suite)"
Récit semi- authentique
Par TaureauAmiens le 7 février 2020
Merci ! Par contre, je pensais qu’on pouvait éditer un Témoignage, mais il semble que ça n’est pas le cas, donc je rédigerais ça depuis Word avant de copier/coller.
Récit semi- authentique
Par Calmaresse le 7 février 2020
J’aime, j’attend la suite avec impatience 😍
Récit semi- authentique
Par TaureauAmiens le 7 février 2020
Je publierai la suite dans un autre témoignage afin de ne pas vous livrer un texte trop long à lire.
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