Nos premiers jets ...

Par Peach&Pico le 21 octobre 2018
Dans Expériences de complices

Bonjour chers lecteurs, sans oublier nos belles lectrices, fidèles ou infidèles.
Je me présente Pico pour les très intimes. Jeune grand et noir, j’ai décidé d’explorer le monde libertin accompagné de la plus belle des femmes, Peach. C’est sur Wyylde que nous chassons, notre profil faisons un grand succès, je me charge aujourd’hui de vous raconter une de nos aventures.
Si vous voulez fixer une image à celle ci n’ hésitez pas de nous suivre sur le site wyylde sous le profil de peachetpico.
Je ne pense pas que cette escapade sera la meilleure, je l’a trouve plus ou moins désastreuse mais on c’est quand même éclaté. Nous étions le Mardi 16 Octobre, après avoir pris son pied avec deux vrais garçons dans une autre ville, qui l’on mise à quatre pattes dès son arrivée et lui en offert de multiples positions et gémissements qui sortait du cœur.

Peach me revient prête à rencontrer un bel étudiant à la queue douce et dure. À son arrivée à la maison, nous nous regardons et nous sommes un peu déçus. Il ne ressemblait à tout point à aucunes de ses photos, mais nous laissons couler. On boit un verre.
Le garçon n’est malheureusement pas très bavard. Lors d’un passage aux toilettes j’attrape ma compagne et ma main sous sa jupe je lui demande si elle toujours partante.
- Oui mon chéri, il est là autant essayé mais bon il dort un peu ce Don Juan d’Afrique, me dit elle
Je lui dis :
- Ne t’inquiète pas je m’en occupe

De retour dans le salon, notre ami n’avait pas bougé d’un poil, plongé dans son téléphone. Je m’asseois à son opposé de façon à ce que mon amour s’assieds entre nous.
Je le regarde droit dans les yeux et ajoute.
- Je vais t’avouer quelque chose ma femme que tu vois ici à sans doute la peau la plus douce au monde.
Me regardant dans les yeux, celui-ci fuit mon regard et observe ma main qui caresse sa cuisse prête de son entre jambes.
- Je ne mens pas, tu veux essayer, lui dit je
D’un oui timide il caresse la jambe de ma femme. Nous sommes loin de l’entre jambes, je dis bien la jambe ou excusez moi le mollet si vous voulez plus de précisions. Je marque un temps d’arrêt et je lui dis :
- Et sa chatte est encore plus douce. Rares sont les personnes qui n’en deviennent pas fous de plaisir.
Levant sa robe, je lui laisse apparaître sous mes caresses sa culotte rose pâle.
Peach n’en peut plus et ne peut s’empêcher de rire. Je continue en disant
- Mais ton bout de tissu gêne ma Peach
- Tu parles de ma culotte, me répond elle d’une voix mielleuse.
- Effectivement allez enleve la jeune Peach.
Ma femme n’attend pas une seconde et se lève en enlevant doucement sa culotte. J’en profite et lève sa robe lui montrant ses jolies paires de fesses. Elle s’assoit et mes doigts caresses délicatement son clitoris sous les yeux de notre invité.
- Bon tu viens ? On va dans ma chambre, propose ma belle à notre invité.
D’un temps timide à la limite de l’audible, il acquiesce.

Tous deux se rendent dans la chambre. Je me retrouve alors seul, j’allume une cigarette et profite de chaque gorgée de mon verre de Rhum. Puis j’en allume une seconde pour faire passer le temps. Ma cigarette terminée c’est à pas de loup que je m’approche de la chambre accompagnée de mon verre de Rhum.
Je me concentre et abandonne le silence pour siroter les petits gémissements de ma compagne très mignonne.
Je me force à attendre derrière ce morceau de bois qui nous sépare mais le son de sa voix me motive à ouvrir la porte. J’essaie la discrétion mais c’est raté, cette porte est loin d’être silencieuse.
Le noir total envahit cette pièce, on n’y voit rien mais on peut entendre des coups de reins s’écrasant délicatement sur de généreuses fesses.
Une bougie à la main, le temps fut trop court pour que le voit en action. Mon briquet n’avait pas atteint la mèche de la bougie qu’il avait joui.

- Je suis désolé mais la présence de votre homme m’a déconcentré, nous dit-il.
On se regarde la Peach me sourit et je m’exclame :
- Attends-je vais te montrer comment on s’occupe de cette petite cochonne !
À quatre pattes je l’ai basculé sur le dos, je l’amadoue un petit instant le con de ma langue. Son entrejambe couvert intégralement de cyprine.
Je lui propose de réessayer en voyant son sexe gonflé. Il essaie de mettre un préservatif et faiblit. Le bout de plastique se retrouva pendant au bout de sa trempe d’éléphant déshydraté.
Voyant cela j’ajoutai :
- Bon comme tu veux. Allez met toi à quatre pattes ! Cambre toi bien !
Sur ces mots je me charge de limer sa douce vulve. Elle gémit de plus en fort sa tête écrasée dans l’oreiller.
- Hmm hum ! Haaan !
- Tu es une cochonne hein ?
- Oui dit elle d’une voix étouffée.
- J’entends pas et notre ami non plus. Tu entends toi l’ami ?
- Euh ben ...
Je ne laissai pas finir et j’insistai.
- Alors es-tu une cochonne
- Oui hum ! gémissait elle
- Dis-le que tu es grosse cochonne.
- Hum han ! Oui je suis une grosse cochonne.
- Plus fort !
- Oui je suis une coochonne cria-t-elle.
Je m’arrêtai, sortis de son coquillage et remit mon jean en disant :
- Maintenant c’est à toi, je veux que ma femme prenne son pied. Moi je pars vraiment cette fois-ci la porte s’ouvre et quelqu’un sort. Cette personne c’est moi je m’en vais loin, histoire de ne pas déranger vos plaisirs.

À peine la porte fermée, les deux minutes qui suivirent furent orchestré par le défilé de la Peach nu dans le couloir se tortillant pour remettre sa robe. On le remercia d’être passé, on l’accompagna et à peine était-il parti que l’on continua par de simples photos coquines notre Chasse à l’homme sur le sites. Beaucoup d’hommes se coincèrent dans nos filets et ce soir c’est une nouvelle aventure qui nous attends, on vous tiendra au jus dans un cocktail de mots excitants.

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