La pause "Perrier" de notre quatuor mixte
Je sers à chacun un rafraichissement bien mérité. Soudain, il s’adresse à moi :
- " J’ai bien aimé quand… "

J’écoute avec attention sa très jolie description… Il s’étonne du sourire entendu et du clin d’oeil appuyé que j’adresse à mon épouse. Sa compagne se laisse porter par notre conversation. Blottie contre mon épaule, elle me prodigue quelques douces caresses.

Piqué au vif, il m’interroge :
- " Pourquoi tout ce mystère ? "

Je lui réplique avec un peu d’émotion dans la voix
- " Hier, sous la couette conjugale, nous avons un long et tendre moment avec ma dulcinée. Nous nous faisions face, sur le coté. Quelques bisous puis mes mains s’attardent sur ses reins, comme les creuser un peu plus. Je descends, saisit et écarte légèrement ses deux hémisphères charnues. Elle creuse encore les reins en guise d’acquiescement. J’immisce le majeur et l’annulaire dans dans son intimité soyeuse. Elle laisse échapper quelques vocalises pour m’encourager. Doucement je lui susurre : "maintenant, j’aimerais qu’un homme vienne derrière toi. Mes doigts cèderaient bien volontiers leur place à sa virilité. Je garderais les mains sur tes fesses, les écartant légèrement. Il te prendrait, je t’embrasserais…"

Il me coupe prestement :
- " … Et moi je lui ai fait ce soir… Mais c’était calculé ! "
- " Non ce qui est fantastique, c’est que ça s’est fait tout seul, naturellement… avec un truc en prime ! "
- " Quel truc en prime ? "
- " La magnifique fellation que ton épouse me prodiguait en simultané ! "

Notre quatuor éclate de rire avant de jouer à nouveau… une autre partition.