Le plaisir d’une complicité avec le mari

Par ludick67 le 12 août 2012 1
Dans Expériences de complices

J’ai eu quelques aventures candaulistes avec des couples différents. J’apprécié particulièrement les relations candaulistes où je peux entretenir une complicité poussée avec le mari qui me confie son épouse.

Je me souviens de David que j’avais rencontré seul à seul dans une brasserie avant de faire la connaissance de Stella sa compagne.

Cette relation est une relation suivie, qui dure depuis bientôt 2 ans. J’aime tenir David informé de l’infidélité "cachée" (si l’on peut dire !!) de sa moitié. Parfois je l’informe des jeux à venir, je prends plaisir à lui envoyer un scénario, il me donne son avis et nous apportons souvent de petit correctif qui pimente nos aventures.

Bien entendu Stella nous sait trés complice et c’est de bonne guerre qu’elle s’offre à notre complicité, notre plaisir c’est la surprendre et la faire monter dans les tours en terme d’excitation et de plaisir.

Quand David n’est pas présent, on lui envoi des photos par téléphone, ou Stella me demande de la filmer pour lui. Le plus souvent j’y apporte ma propre version en lui racontant ce qui s’est passé soit pendant que je la film, soit par mail, soit en lui envoyant un fichier son que j’ai enregistré avec mon téléphone portable après avoir rencontré sa femme.

J’aime lui donner des détails ou mieux… des preuves de son infidélité.

1 commentaire

Le plaisir d’une complicité avec le mari

Par Libellule le 11 septembre 2012

..... voilà qui est formidable : une totale complicité avec le mari !
Lui donner des détails sur l’infidélité de sa femme, faire des photos de celle ci ou une petite vidéo, lui raconter comment çà se passe et son plaisir avec elle, apporter des preuves auditives aussi de son cocufiage ....... Voilà ce qui est le top je trouve entre l’amant (meme occasionnel) et le mari.
J’adorerai connaitre un homme complice de la sorte et je suis sur que ma femme aimerait beaucoup aussi car en réalité nous serions trois réellement ainsi malgré l’absence du mari. Bravo en tous cas de penser ainsi.
Vincent