Deux hommes dans sa chambre d’hôtel

Par JeanGentlemanParis le 24 janvier 2023 4
Dans Expériences de complices

Lorsque Madame vit les deux hommes entrer dans sa chambre d’hôtel, elle pu se faire une idée plus précise des deux inconnus qu’elle avait invité à la rejoindre.

L’un d’entre eux était grand, mince, et devait être âgé d’environ 40 ans. Il avait des cheveux bruns, et ses yeux clairs brillaient dans la pénombre. Madame remarqua son costume de marque.

Son collègue était légèrement plus petit que lui et large d’épaules. Il avait la trentaine, était brun, de type méditerranéen. Son visage racé d’aventurier était particulièrement séduisant, et lui aussi était vêtu d’un costume hors de prix.

Elle avait fait appel à leur service sur le web parce qu’elle voulait vivre une expérience de triolisme.

Elle avait longuement hésité, mais son envie de sexe était devenue tellement fort et son fantasme de se faire prendre par deux hommes en même temps ; elle devait vraiment vivre cette expérience.

La chambre était très grande et obscure, et les deux hommes disposèrent des bougies un peu partout dans la salle afin de l’éclairer. Des ombres inquiétantes se profilaient sur les murs, et Madame se demanda pendant une seconde si elle ne devrait pas s’enfuir en courant.

- Merci de nous avoir invité, Madame, dit le plus grand.

Dans la pénombre, elle vit que ses yeux gris acier brillaient de désir pour elle. Et il y avait de quoi : Madame était une jeune femme aux cheveux roux et bouclés, au corps mince, aux jolis seins bien ronds dans son débardeur rose, et au beau petit cul moulé dans son jean trop serré. Une vraie petite poupée de sexe…

L’homme indiqua le lit.

- Si vous voulez bien vous installer là…

Madame hésita un instant, puis elle lui obéit. Elle se dirigea vers le lit.

- Vous… vous avez bien dit que vous allez me faire vivre une expérience de triolisme ?

- Oui Madame, je confirme que c’est bien ce que j’ai dit, répondit-il avec un grand sourire.

Madame s’allongea sur le matelas, et le deuxième homme s’approcha d’elle. Elle se dit qu’elle devrait se méfier, mais étrangement, le bel inconnu lui inspirait confiance.

- Maintenant, il va falloir vous déshabiller, dit-il de sa voix douce et chaude.

Madame savait qu’elle était venue pour cela, mais elle hésita tout de même un instant. Elle ne s’était jamais déshabillée devant des hommes inconnus auparavant ; en vérité, elle n’avait connu que son mari qui ne la touchait plus maintenant..

Elle ne portait pas de soutien-gorge, et elle vit les yeux des deux hommes scintiller dans l’obscurité lorsqu’elle révéla ses beaux seins semblables à des melons bien mûrs.

Le plus âgé des deux hommes s’approcha près d’elle, puis il s’agenouilla à ses côtés.

- Puis-je commencer ? demanda-t-il.

- Je… Euh… Oui…

- Ecartez les cuisses, s’il vous plaît.

La jolie rouquine obéit doucement.

L’homme se pencha entre ses cuisses afin d’observer sa jolie petite chatte totalement rasée. Il vit alors une légère goutte de rosée perler sur sa vulve déjà humide…

- Vous mouillez, Madame ?

- Je… Oui… Peut-être…

L’homme huma alors l’intimité de Madame comme s’il s’agissait d’une friandise exquise.

- Vous sentez délicieusement bon, commenta-t-il. On m’a toujours dit que les rousses avaient un parfum envoutant.

La dame plaqua instinctivement ses deux mains sur sa bouche. Elle n’arrivait pas à croire qu’elle était en train d’écarter les cuisses dans une chambre obscure, pour ces deux hommes assoiffés de sexe…

- Accepteriez-vous que nous vous enfilions des menottes, Madame ?

La dame ne s’attendait pas à cela. Elle avait accepté de jouer à leur petit jeu jusqu’à présent, mais porter des menottes en présence de ces deux inconnus lui semblait particulièrement dangereux.

- Avec plaisir, répondit-elle.

Le plus jeune des deux hommes alla chercher quelque chose dans sa serviette en cuir, puis il revint avec une paire de menottes dont l’éclat métallique était particulièrement sinistre.

Il attacha les mains de Madame aux barreaux du lit, au-dessus de sa tête.

Elle était leur prisonnière, à présent.

L’homme se releva alors légèrement au-dessus d’elle.

- Maintenant, je vais goûter à vos beaux seins, lui dit-il sans autre forme de procès.

Madame n’eut pas le temps de répondre. L’homme avait fondu sur elle comme un aigle sur sa proie, déposant des baisers torrides sur la chair moelleuse de ses seins, ses tétons, son ventre frémissant. Puis il remonta vers ses seins et les saisit dans ses grandes mains chaudes, et il les lécha alors goulument, se régalant de sa chair de femme comme un fauve affamé.

Madame ne put s’empêcher de gémir en sentant la langue chaude et humide de l’homme sur son corps. Instinctivement, elle bougea ses poignets afin de repousser l’homme, mais bien entendu, les menottes l’empêchèrent d’esquisser le moindre mouvement défensif. Elle ne s’attendait pas à ce qu’il lèche ainsi son corps… C’était tellement intense, obscène, excitant…

- J’adore le goût de tes seins, dit-il en la tutoyant. Rien ne vaut une paire de gros seins comme les tiens.

Il parlait d’elle comme d’un bout de viande. Cela la faisait terriblement mouiller…

- Tu veux bien me passer le Nutella ? demanda-t-il à son collègue.

Celui-ci alla chercher le pot de crème chocolatée et il le lui passa. Madame, elle, regarda l’homme d’un air incrédule.

- Maintenant, Madame, je vais lécher le Nutella sur ta jolie petite chatte.

Madame donna un nouveau coup de poignets sur les menottes, qui étaient plus serrées que jamais. Une vague de désir brûlant se propagea alors dans tout son corps… Les yeux écarquillés, elle regarda l’homme plonger son index dans le pot de Nutella…

Il approcha alors son doigt de sa petite chatte frémissante, et il massa l’onctueuse mousse chocolatée sur les lèvres de sa vulve… Elle pencha la tête en arrière et gémit doucement, et puis elle se reprit. Elle ne voulait pas que l’homme voit qu’elle prenait du plaisir. Elle se mordit donc la lèvre inférieure, tandis que l’inconnu continuait à recouvrir son intimité de chocolat.

- Voilà, dit-il en posant le pot sur le sol.

Il se pencha à nouveau entre ses cuisses, et Madame dû mordre sa lèvre jusqu’au sang pour ne pas crier lorsqu’elle sentit ses lèvres douces se poser sur son sexe. Les baisers qu’il déposait sur sa vulve étaient aussi légers et doux que des papillons… Le corps de Madame se raidit, et elle tira sur ses menottes comme une folle.

Mais elle ne pouvait ni bouger, ni s’enfuir. Elle était offerte aux deux hommes sur un plateau, et ils pouvaient faire d’elle tout ce qu’ils voulaient.

Madame sentit alors la grosse langue humide de l’homme se poser sur sa chatte, et il commença à la promener sur son intimité.

C’était tellement fort… Tellement puissant…

Il goûtait au moindre recoin de sa petite chatte, se régalant de son pubis, de ses petites lèvres, de son clitoris comme d’un dessert délicieux. Cette fois, Madame ne put s’empêcher de gémir… Elle n’avait jamais ressenti une sensation aussi agréable de toute sa vie.

- Je crois qu’elle aime ce que tu fais, dit le plus jeune qui ne manquait pas une miette du spectacle.

- Elle est délicieuse, dit l’autre en cessant un instant de lécher Madame. Il faut vraiment que tu la goûtes, toi aussi.

- J’y compte bien.

Le grand homme saisit les cuisses de Madame de ses mains puissantes afin de les écarter encore plus, puis il plongea à nouveau son visage dans l’intimité de La dame et lécha sa chatte avec voracité. Sa langue glissa d’abord de bas en haut sur toute la surface de sa vulve, puis elle se posa soudain sur son clitoris. Il titilla alors son tendre bourgeon, et les gémissements de Madame s’intensifièrent.

- Je… Je… bégaya-t-elle.

A sa grande surprise, Madame sentit qu’elle était au bord de l’orgasme. Mais la langue de cet homme sur sa chatte était absolument merveilleuse…

Il enfonça son index dans le vagin de Madame, et il commença à la doigter tout en continuant à lécher sa chatte recouverte de Nutella.

La vulve de Madame fut secouée par des spasmes de plaisir torrides, et elle tira sur ses menottes tandis qu’un orgasme phénoménal secouait tout son corps. Elle ne s’était jamais sentie aussi vulnérable qu’à cette seconde-là ; elle n’avait jamais laissé un homme profiter de son corps à ce point ; et c’était justement cela qui démultipliait la puissance de son orgasme.

Une fois qu’elle eut fini de jouir, l’homme se redressa en se léchant les lèvres.

- J’ai adoré ta chatte. Merci de m’avoir permis de la lécher.

Il saisit alors un mouchoir dans la poche de sa veste de costume, puis il essuya délicatement les quelques traces de Nutella qui restaient sur son sexe.

Madame tressaillit et ferma les yeux. Lorsqu’elle les ouvrit, elle vit que le plus jeune des deux hommes s’était approché d’elle.

- Maintenant, c’est à moi de te goûter.

Il s’assit lentement à côté d’elle, sur le lit, puis il promena son regard sur les formes généreuses de La dame tout en lui souriant. Elle avait l’impression qu’il la dévorait du regard…

Il posa alors sa main chaude sur la joue de Madame, et il la caressa. Puis sa main descendit, massant son cou… le haut de sa poitrine… ses seins… ses tétons durcis par le désir… son ventre… sa chatte… En sentant sa main sur son sexe, Madame redressa instinctivement son bassin vers lui, comme pour lui demander d’enfoncer un doigt dans son vagin.

- Qu’est-ce qu’il y a, Madame ?

- Je… J’aime ce que vous faites… Continuez, s’il vous plaît…

Il continua à caresser sa vulve, massant doucement ses lèvres de ses doigts habiles, puis son clitoris.

Madame gémit encore et encore… Il lui était impossible de s’en empêcher…

- Oh… Mettez un doigt dans ma chatte, s’il vous plaît…

Il lui sourit, puis il enfonça lentement son index dans son vagin trempé de désir.

- Oui… murmura-t-elle. Encore…

Tandis qu’il faisait aller et venir son doigt dans la chatte de Madame, des vagues de plaisir intenses parcouraient le corps magnifique de la dame. Elle sentait que s’il continuait ainsi, elle allait jouir une nouvelle fois…

- Je vais cesser de te masturber Madame, car je ne veux pas que tu jouisses tout de suite, dit-il comme s’il avait deviné qu’elle était au bord de l’orgasme. Je veux prendre mon temps avec toi.

Son collègue se dirigea soudain vers la serviette en cuir, et il en sortit une bouteille de Champagne. Il fit sauter le bouton, et Madame sursauta en entendant la détonation.

- Ne crains rien, dit le plus jeune en prenant la bouteille. Je veux seulement boire ce champagne sur ton sexe.

Il fit couler le précieux nectar sur sa chatte. Elle sentit les bulles pétiller sur sa chair nubile, et l’alcool encore frais lui donna la chair de poule et la fit frissonner de plaisir.

- Tu aimes ça, Madame ?

- J’adore le Champagne…

- Tu veux le goûter ?

- Oui…

L’homme écarta soudain les cuisses de Madame, puis il lécha sa chatte recouverte de Champagne.

- Owwwww, fit-elle en sentant sa langue torride sur son intimité.

Il se redressa alors, et il l’embrassa passionnément tout en laissant couler le Champagne qu’il venait de recueillir sur son sexe dans la bouche de la jeune femme. Elle sentit le goût citronné du précieux nectar, mais aussi son propre jus sexuel…

- Comment trouves-tu ce cocktail, Madame ?

- J’aime beaucoup, fit-elle en se léchant les lèvres d’un air coquin. Est-ce que je peux encore le goûter ?

Il versa une nouvelle fois du Champagne sur son sexe, et le corps de Madame se raidit en sentant le liquide froid sur sa chair. Il la lécha encore, goûtant à son intimité avec une gourmandise infinie, puis il l’embrassa pour laisser le liquide couler dans sa bouche. Les lèvres du jeune homme étaient si douces et sensuelles…

Lorsque ses lèvres quittèrent les siennes, Madame eut l’impression qu’elle allait s’évanouir. Il était en train de l’amener au summum de l’excitation.

- J’ai un peu faim, dit-il soudain.

Cette fois, au lieu de demander à son collègue de lui apporter quelque chose, il se pencha vers la gauche et saisit une petite boîte en plastique qui était dissimulée dans l’obscurité. Elle contenait des fraises. Il en sortit une, puis il la montra à Madame.

- Cette fraise est appétissante Madame, n’est-ce pas ?

- Oui…

- Mais je crois qu’elle serait encore meilleure avec ta saveur féminine.

Soudain, il posa la fraise sur la chatte de La dame, puis il la frotta doucement sur sa chair frémissante afin de la recouvrir de son jus sexuel. Et pour être sûr de bien la parfumer, il l’enfonça légèrement dans son petit trou… Madame mordit à nouveau sa lèvre inférieure pour ne pas crier son plaisir…

L’homme porta la fraise à sa bouche, et il la croqua. Madame vit le jus rouge du fruit couler le long de la lèvre de l’inconnu. Il le lécha alors sensuellement.

- C’est le meilleur des desserts, dit-il en massant à nouveau la fraise sur la vulve de Madame.

Il mangea le reste du fruit, puis il saisit une nouvelle fraise.

- Tu veux la goûter, Madame ?

- Oui, monsieur.

Il massa la fraise sur sa chatte, lentement, sensuellement, puis il la porta nonchalamment à la bouche de La dame. Elle la croqua en fixant l’inconnu droit dans les yeux, et elle se régala du fruit juteux parfumé de sa propre odeur féminine.

L’homme massa le reste de la fraise sur les seins de Madame, sur son ventre, sur son cou, sur ses lèvres, recouvrant ainsi sa peau du jus rouge du fruit délicieux. Puis il se pencha et lécha le jus sur tout son corps. Il s’attarda particulièrement sur ses tétons, qu’il suça comme des bonbons acidulés, et Madame miaula de plaisir…

Finalement, il mit la fraise dans sa bouche et la croqua. Ensuite, il embrassa Madame, enroulant sa langue autour de la sienne tout en laissant couler le jus de la fraise entre ses lèvres. Elle se régala de la langue de l’inconnu et du fruit écrasé dans sa bouche…

Il se retourna enfin vers l’homme plus âgé. Elle vit qu’il tremblait en lui parlant.

- J’ai un problème, dit-il à son collègue.

- Quoi donc ?

- Madame est tellement excitante… J’ai très envie de lui faire l’amour.

Madame observa l’inconnu d’un air songeur. Elle aimait beaucoup ses traits à la fois fins et virils. Il devait avoir des origines italiennes, ou espagnoles peut-être. Il y avait quelque chose de brûlant en lui, un feu intérieur qui excitait terriblement Madame.

Il retira sa veste, sa cravate, puis sa chemise blanche. La dame frémit lorsqu’il retira son pantalon et ses sous-vêtements. Ses menottes commençaient à lui faire mal aux poignets, mais elle n’en avait que faire. Elle aperçu sa virilité dans l’obscurité. Il bandait comme un fou pour elle, et son sexe semblait particulièrement gros et épais.

Madame aimait sentir le corps chaud et puissant de l’inconnu sur le sien. C’était tellement agréable, et tellement interdit… Pendant un instant, elle se demanda ce que son mari et ses amis penseraient s’ils la voyaient offrir son corps à un inconnu, et cette pensée l’excita encore plus…

Elle écarta les cuisses afin de lui offrir sa chatte… Elle sentit alors son gros sexe puissant se frotter contre sa fente humide. Puis il s’enfonça doucement en elle, sa queue en érection écartant les parois humides de son doux fourreau…

- Ohhh, c’est si bon, monsieur… gémit-elle dans son oreille.

- Tu aimes, ma salope ? dit-il en embrassant les lèvres tremblantes de la dame.

- Non… murmura-t-elle. J’adore…

Il commença à aller et venir en elle, embrassant ses lèvres, son cou, ses seins… Elle aimait sa façon de lui faire l’amour, si virile et sensuelle… Et elle adorait le fait d’être attachée, et de ne pas pouvoir se défendre… Elle était en train de vivre une sensation intense d’abandon, et elle ne s’était jamais sentie aussi femme de toute sa vie.

- Tu es tellement sexy, Madame… répéta-t-il tout en embrassant sa bouche.

Les paroles de l’inconnu émoustillaient tellement Madame... Elle sentait qu’elle était déjà au bord de l’orgasme.

- Je crois que je vais jouir, dit-elle dans son oreille.

- Laisse-toi aller, Madame. Je veux admirer ton orgasme.

Soudain, La dame commença à faire monter et descendre son bassin vers l’inconnu tandis qu’il lui faisait l’amour. Elle avait soif de sexe… Elle se montrait très gourmande.

- J’aime ce que tu fais, Madame. J’aime ta petite danse.

- Est-ce que les autres femme font l’amour aussi bien que moi ?

- Non. Tu es bien meilleure qu’elles.

La réponse de l’homme précipita l’orgasme de Madame. Elle jouit soudain sur sa queue, criant son plaisir pendant qu’il lui mordait doucement le cou. Alors qu’elle était secouée par des spasmes de plaisir intenses, elle entendit l’inconnu gémir lui aussi, et elle sentit son sperme chaud se déverser dans le préservatif. La sensation de sa sève brûlante remplissant son intimité était incroyable…

- Oui, fit-elle en le regardant droit dans les yeux. Jouissez en moi…

Ils jouirent encore et encore, lui allant et venant encore plus vite en elle, tandis qu’elle continuait à faire monter et descendre son bassin vers lui. Ils se baisaient mutuellement, jouissant de leurs corps respectifs comme s’il n’y avait plus de lendemain.

Pendant un instant, Madame crût que le monde avait disparu autour d’elle. Plus rien n’avait d’importance, mis à part ce bel inconnu et son corps qui lui donnait tant de plaisir.

Au bout de quelques minutes d’extase indescriptible, l’homme se laissa doucement retomber sur elle. Il la serra dans ses bras, et leurs corps en sueur ne semblèrent plus faire qu’un.

Envoyez moi un message sur [email protected] pour connaitre la suite...

4 commentaires

Deux hommes dans sa chambre d’hôtel

Par didLib le 27 janvier 2023

Bonjour
Contrairement aux autres coms !
Je trouve ce récit " peut être vrai ou fantasmé ? Mais poétique "
Et que surment beaucoup de femmes vont aimer se rêver être a la place de cette prisonnière...

L’auteur est célibataire donc un beau fantasme... De vrai plaisir pour la Dame ! Ou peut-être du vécu ? Avec son ex ?

Je suis Candauliste, Cuckold et j’aprecirai plus souvant voir des hommes se comporter ainsi avec la femme que je leur prêt sous mes yeux ... Plutôt que les morts de faim qui déshonore la gente Masculin...

Continue je t’enverrai pas de mail mais attend la suite...

Deux hommes dans sa chambre d’hôtel

Par cando16 le 26 janvier 2023

C’est vrai qu’il fallait oser ! En lisant la dernière phrase je me suis dit : "Tu peux toujours courir !..." :-D

Deux hommes dans sa chambre d’hôtel

Par Assas le 25 janvier 2023

Effectivement, très bizarre comme processus.
Cela ressemble à de la retape commerciale...
ou alors c’est un stratagème pour draguer une femme qui serait de les rencontrer contre rétribution
Un peu glauque, quelque soit le but

Deux hommes dans sa chambre d’hôtel

Par candopaq le 25 janvier 2023

Bizarre cette façon de faire…
Vous postez le 1er épisode, certes, très alléchant. Pour lire de 2ème, il faut vous envoyer un mail.
Et pour le 3ème, il faudra le commander sur Amazon ?
Je me pose la question…