Vacances dans le Jura,

C’était au court d’un été chaud. Nous étions allés camper au bord d’un lac dans le Jura. Le lendemain de notre arrivée, une autre famille est venue s’installer à côté de notre emplacement. C’était un couple de notre âge, deux cinquantenaires, avec leur fils de 17 ans, Alain, obligé d’accompagner papa et maman en punition de mauvaises notes à son lycée. Visiblement, ils n’étaient pas très habitués à monter l’auvent de leur caravane et nous nous sommes proposés de les aider. Alain, a tout de suite flashé sur la poitrine de Karen qui comme à son habitude ne portait pas de soutien gorge sous son chemisier trop ample pour cacher son 105 C dont elle était assez fière. Karen avait rapidement réalisé l’attrait qu’elle suscitait auprès d’Alain, certes, mais aussi de son paternel. Mais j’ai tout de suite compris que c’était Alain qui l’intéressait. De toute façon, la maternelle avait très bien compris, elle, que son mari serait à surveiller. Pour nous remercier de notre aide, Robert nous a invités pour un petit apéritif. Après une petite éclipse pour se rafraichir, j’ai vite constaté que si Karen n’avait toujours pas mit de soutif, elle avait toutefois sorti sa culotte de maillot pour la remplacer par un string totalement transparent sous une mini jupette trop courte. Robert, certainement sermonné par Rosalie, sa femme, ne jetait que de rapides coups d’oeil sous cette mini jupette que lorsque Rosalie ne prêtait pas attention. Par contre, Alain, lui, ne sa gênait pas pour évaluer la grosseur, la fermeté, des nichons de l’invitée, avant de s’apercevoir qu’entre les cuisses il y avait une autre source de fantasmes. Bien sûr, Karen se comportait innocemment comme une estivante sans complexe, leur facilitant les oeillades inconvenantes.
Revenus à notre caravane, Karen m’a tout de suite fait part de ses constatations : Alain l’intéressait particulièrement, à 45ans, un petit jeune de 17 ans n’était certainement pas pour lui déplaire, même si elle pensait le faire "poiroter" un peu, tout en chauffant Robert visuellement. Et c’est dès le lendemain que tout à commencé. Alors que vers 9 heures, Karen se dirigeait vers la plage, Alain est arrivé, tout sourire pour l’accompagner. La veille nous avions repéré une toute petite crique accessible en longeant la plage, le long d’une forêt, à 500 mètres du camping. Je savais que Karen avait mit soutif et culotte de maillot au cas ou les paternels surveilleraient. De mon côté, avec Robert nous devions aller au village pour des achats de camping. Revenu à la caravane j’ai attendu le retour des deux "amoureux". Ils sont arrivés vers midi. Karen ne me lançant aucun des messages habituels j’ai du attendre son résumé de la matinée.
Pendant tout le trajet, Alain n’a pas arrêté de nous complimenter pour notre gentillesse mais aussi, discrètement sur ma plastique. Sur la crique nous avons étalé nos serviettes et j’ai ôté le paréo. Alain s’est mis en maillot et s’est allongé. Alors en dégrafant mon soutien gorge, je lui ai dis que je préférais ne pas avoir la trace sur mon bronzage et là déjà, j’ai senti tout l’intérêt de mon strip-tease sur Alain en voyant son slip se déformer. Mais lorsque j’ai ôté la culotte, là, il avait le slip en toile de tente. Tout gêné, il a mit sa chemise sur ses cuisses. Alors en souriant, je lui ai demandé si c’est moi qui lui faisait cet effet. Comme il me bredouillait un :
"oui, j’ai été surpris, excuse moi, il faut reconnaître que tu es très belle et tu as une sacré poitrine, je n’ai pas trop l’habitude."
oh tu sais tu n’as pas à avoir honte de ta réaction. J’ai l’habitude. Tu viens ? je vais me tremper . Tu vas voir ça va calmer tout ça, l’eau est assez fraîche.
Et je suis allée dans l’eau. Alain est arrivé en courant et s’est jeté dans l’eau d’un seul coup. Comme visiblement il hésitait à se relever je lui ai dit que je ne regarderais pas et qu’il pouvait se lever. Ce qu’il a fait. Je n’ais eu que juste le temps de voir un sexe bien raide qui dépassait de son maillot. J’ai fais semblant de ne pas l’avoir vu et j’ai fait quelques brassées puis revenant vers lui j’ai fait mine de m’amuser en l’arrosant. Il s’est non seulement décontracté, mais très vite son érection s’est calmée. Ironiquement je lui glissais un :
« tu vois, je te l’avais dit, l’eau calmera tout ça, mais ce n’était pas honteux, au contraire. C’est plutôt flatteur pour une femme de mon âge de savoir que je peux encore faire réagir un jeune de ton âge.
Oui, Peut être mais c’est tout de même gênant.
Oh, tu sais, c’est aussi tout de même flatteur pour toi. J’ai pu remarquer que tu es sacrément bien monté. Il est vrai qu’à 17 ans tu tiens déjà une très bonne forme.
Nous nous sommes un peu baignés et nous avons un peu chahuté. Je me suis arrangée pour que de temps en temps ma poitrine se colle à lui. L’effet était à chaque fois immédiat. Puis nous sommes allés nous allonger pour bronzer. Je m’étais allongée sur le dos et au bout d’un moment, lorsque j’ai été sèche, je me suis passé de la crème de bronzage. Comme j’insistais (lourdement) sur mes seins, Alain, qui me zieutait discrètement a été obligé de se retourner à plat ventre. Je n’ai pas pu m’empêcher :
-Ah, ça recommence ? Tu veux m’en passer sur le dos cela pourrait peut être te calmer ? ça m’arrangerai. Allez, toi aussi sors donc ton maillot, n’ai pas peur je sais comment c’est et ça ne me gêne pas. Avec Frantz on pratique non seulement le nudisme mais aussi le libertinage. De toute façon, je dois avouer que cela ne me déplait pas. Je suis nue, pourquoi pas toi ! Et c’est aussi bien comme ça.
Il s’est redressé et là, effectivement, ça été à mon tout de m’exciter en voyant ce sexe dépasser largement de son maillot et jaillir comme un diable de sa boite, en érection totale à pouvoir rendre un acteur porno jaloux. Je lui ai passé mon flacon de crème et tournant la tête vers lui, je pouvais regarder ce sexe bien raide se balancer au rythme des caresses sur mon dos. Pendant un bon moment ses caresses me plaisaient de plus en plus. Mais si je sentais qu’il fallait que je me calme, je ne pouvais pas m’empêcher de regarder sur cette magnifique queue qui me faisait fantasmer. Je me suis fermement résolue à refuser de me donner à lui dès ce premier jour. Ainsi, je me réservais pour l’avant dernier jour de notre séjour. Mais j’étais vraiment trop excitée pour ne pas me refuser un petit plaisir. Alors je me suis retournée et lui offrais ma poitrine, mes cuisses, mon ventre, ma foufoune. Mais je gardais toujours la tête tournée vers lui. Mais très vite nos positions respectives m’ont données la possibilité de poser ma main sur cette queue qui ne se balançait même plus tellement l’érection était puissante. Alors en plaisantant je lui ai sorti une tirade ridicule :
« Cachons donc cette queue que je ne saurais continuer à contempler.
J’ai lui ai refusé l’offre de se rhabiller qu’il me proposait sous prétexte que c’était maintenant à moi de me calmer. Mais je laissais tout de même ma main sur sa queue. C’est donc ainsi qu’au bout de 5 minutes je me suis sentie refermer mes doigts et commencer à le masturber lentement. De son côté, Alain était en train de caresser mes seins et de titiller dangereusement mes tétons qui pointaient sans vergogne. Je n’ai pas refusé ses lèvres lorsque il s’est penché sur moi pour m’embrasser. J’ai senti sa langue me forcer a ouvrir mes lèvres et rendre le baiser. Lorsqu’une main d’Alain est venu se poser trop près de foufoune qui pourtant réclamait caresses, je lui ai aboyé un :
« -non pas plus, pas ça !
Heureusement Alain est revenu sur mes seins après s’être excusé de son audace. Je posais toutefois mon autre main sur sa nuque pour garder ses lèvres sur les miennes. Tout à coup il s’est redressé et m’a regardé, l’air surpris, et j’ai senti le résultat de ma masturbation inonder ma poitrine de longs jets de son plaisir. Alors qu’il s’excusait je lui ai tendrement souri et lui ai dit :
« -non, c’est de ma faute, je n’aurais jamais dû laisser faire. Mais il me faut reconnaître que c’était vraiment trop tentant. Excuse moi, il ne faudra en parler à personne. Je préconisais une deuxième baignade apaisante. Un fois dans l’eau, c’est lui qui m’a essuyé la poitrine tachée de son plaisir et en a profité pour caresser encore une fois mes seins dont les tétons ne se calmaient pas. Comme son érection, loin de se calmer, m’offrait une queue trop appétissante, je m’agenouillais devant lui et je l’ai pris en bouche. De là, je lui ai fait une bonne et longue "royale". Alain m’a laissé le sucer à ma guise. Je le faisais s’enfoncer jusqu’au fond de ma gorge. Puis lentement, très lentement, je le faisais reculer en aspirant fortement par saccades. Après avoir mastiqué le gland comme un caramel je replongeais. Je l’ai sucé ainsi jusqu’au moment ou j’ai senti une seconde éjaculation remplis ma bouche au son d’un râle rauque et sa main qui appuyait pour garder ma tête en position gorge profonde. Là, j’ai jouie à mon tour. Alain a entendu le roulement de ma jouissance malgré sa bite bien enfoncée dans ma bouche. J’ai tout avalé, goulument. J’étais folle. Je venais, à 45 ans, de faire une pipe à un gosse de 17 ans que je ne connaissait que depuis la veille, comme une pute, et cela m’avait faite jouir. Je l’avais laissé jouir dans ma bouche et avais tout avalé avec appétit.
Nous sommes revenus à nos serviettes, il était 11 h 30. Heureusement il était l’heure de revenir au camping. Alain m’a donné un dernier baiser avant de rentrer.
A table avec mon mari, je lui racontais joyeusement nos petits jeux et les bons moments. Sans finir nos assiettes, nous sommes rentrés dans la chambre et Frantz a calmé mon excitation et la sienne pendant que je lui donnais tous les détails croustillants, les envies non abouties, et même les idées sur les futures possibilités.