Cela faisait plusieurs semaines que l’on discutait sur un site de rencontres. Et enfin, ils venaient à Paris. J’avais eu l’occasion d’échanger avec lui d’abord et avec elle ensuite. A l’aube de la quarantaine, ils avaient envie de découvrir le candaulisme. On avait longuement parlé de leur démarche, de leurs motivations. Dans leur couple, c’est clairement elle qui menait la danse, et lui qui au fur et à mesure, se soumettait, dans le quotidien, comme au lit. Au point que lui ne ressentait plus l’envie de lui faire l’amour de façon classique et qu’elle n’en avait plus le désir, avec lui du moins.
Le rendez-vous était fixé à leur hôtel. En arrivant, un message : attends-nous au bar, on arrive.
Je m’installe et commande à boire. 10 minutes plus tard, c’est elle qui arrive, seule. Large sourire, jolie robe d’été qui dévoilait ses jolies jambes, escarpins à talons. Je me lève pour l’accueillir. Arrivée à ma hauteur, elle dépose un baiser sur mes lèvres. Directement.
Nous nous asseyons. Et elle m’explique : "M est déjà là haut, il nous attends, mais j’avais envie de te voir un peu avant". Je souris et dis que je comprends. On boit notre café en discutant de tout et de rien. Quand tout à coup elle me dit : "tu sais, je n’ai pas fait l’amour depuis 3 semaines, M n’arrive plus à me satisfaire".
Cet aveu, sans me surprendre, me fait comprendre que je vais devoir être à la hauteur.
Les cafés finis, direction l’ascenseur. Nos bouches se trouvent. Mes mains glissent sous sa robe. Un cul ferme et pas de culotte. Elle caresse la bosse dans mon pantalon. 3 étages, c’est trop court pour aller plus loin.
La porte de la chambre. Elle entre d’abord. M est là, nu, à genoux devant le lit. Elle me fait un signe qui signifie ne fais pas attention à lui.
Nous sommes debout à côté de M et nous nous embrassons. Ma veste et ma chemise tombent au sol. Mes mains découvrent le haut des ses cuisses. Ses fesses fermes, son sexe rasé et déjà trempé.
D’un coup, elle dit : "ma robe". Je place mes mains pour défaire la fermeture, mais elle les prend et les repasse dessous. L’ordre était pour M. Il se lève et défait la robe de sa femme. Une fois le tissu tombé au sol, elle dit "soutien gorge". Qui rejoint la moquette.
Elle est nue, seulement vêtue de ses escarpins. M a retrouvé sa position initiale. Elle défait mon pantalon, me fait assoir sur le lit et me prend sans sa bouche. Doucement, intensément, entièrement.
D’une main, elle fait signe à M. Qui s’approche. "Regarde" lui dit-elle. "Regarde ce que j’aime faire avec une vraie queue". Et elle m’engouait entièrement.
Après quelques minutes ainsi, je stoppe les hostilités. Je suis au bord de l’orgasme. Je l’allonge sur le lit et commence à la lécher. M est à genoux à côté et regarde. A ma grande surprise, elle est très sensible à ce genre de caresses. A bout de quelques minutes, son corps se raidit, elle a un long spasmes et jouit.
Je remonte en embrassant sa peau et l’embrasse. M me tend un préservatif déjà ouvert. Je le positionne et la pénètre, en missionnaire, en l’embrassant.
Et là, nous faisons l’amour lentement, intensément. M regarde le spectacle. J’ai l’impression qu’elle et moi couchons ensemble depuis longtemps, que c’est évident, bon, doux. Les caresses, les baisers, sa façon de caresser mes fesses...
Je passe ses cuisses sur mes épaules et accélère. Elle se caresse en même temps et jouit à nouveau... C’est sonore. Puissant.
Encore quelques va et viens et c’est moi qui vais jouir. Juste le temps de retirer le préservatif et j’arrose son sexe, son ventre et même un peu ses jolis seins.
Je m’allonge à côté d’elle, elle pose sa tête sur mon torse. On s’embrasse. M ? Il la nettoie, consciencieusement.
Ce n’était que la première étreinte. Les autres dans un prochains posts...