Une décision que je ne regrette pas……..

Depuis 10 ans, après bien des conversations lors de nos très fréquents rapports, petit à petit j’ai compris que Paul aimerait que j’ai des relations avec un autre homme, en sa présence.

J’avoue que je l’ai assez mal pris, allant même jusqu’à me refuser à lui. Un jour il m’a fait lire des témoignages sur votre site, et pour lui faire plaisir, j’ai accepté de me rendre dans un club libertin, mais sans vouloir rien faire ; ce en quoi je me trompais car après quelques coupes de champagne, j’ai accepté l’invitation d’un beau métis pour finir dans une alcôve, jouissant sous les assauts d’un membre de taille inconnue pour moi.

Paul est moyennement constitué, alors que là, je me suis faite posséder totalement, pleinement, en oubliant même, je le reconnais la présence de mon homme, pourtant dans la pièce.

Le retour fut assez difficile pour moi, honteuse de ma prestation, alors que lui était joyeux, me félicitant et m’encourageant à continuer dans cette voie. Il m’a fallu bien des jours et des conversations avec lui, pour reconnaitre que mon plaisir avait été total, et que finalement pourquoi pas le retrouver dans les bras d’inconnus avec sa bénédiction.

Au fil des années, la situation a évolué ; Paul manifestement était très excité par mes escapades, petit à petit, j’ai commencé à sortir sans lui, toujours avec des inconnus, soit en club, soit après contact sur un site de rencontre, avec en corollaire, lui raconter au retour la rencontre avec force détails ce qui je le reconnais le mettait en pleine forme.

Je me suis cependant rendu compte que mon plaisir était beaucoup plus fort, avec mes amants d’un jour, que lorsque Paul me faisait l’amour. Au fur et à mesure, nos rapports se sont espacés et j’ai commencé à sortir sans le prévenir, par conséquence sans lui raconter bien évidemment, avec une règle cependant : jamais deux fois avec le même homme, car si je suis coquine, il ne m’en reste pas moins que j’aime Paul profondément.

A la suite de sortie en club, j’ai revu plusieurs fois des connaissances, et fidèle à mes principes, je ne me suis pas offerte à eux. Cependant, alors j’étais dans un club, pour une fois avec mon mari, un homme nous a abordé dans le jacuzzi.

Je l’ai immédiatement reconnu. Il m’avait courtisé et il s’en était suivi une très longue après-midi, me faisant jouir plusieurs fois ; fortement membré et très performant, j’en avais un souvenir très agréable.

Fidèle à mon engagement, j’ai voulu refuser tout contact, mais difficile de résister, d’autant plus que Paul semblait d’accord pour que s’en suive une sortie du bain pour une cabinet à l’écart. Et cet après-midi, à nouveau il a su me prendre, me faire jouir plusieurs fois, me faire crier de plaisir, au grand étonnement de Paul qui n’était pas habitué à de telles vocalises.

Ce jour-là j’ai compris qu’il me serait difficile de me refuser à lui si l’occasion se présentait ; non seulement elle s’est présentée, mais il les a provoqué, ayant réussi à avoir mon téléphone. Cela dure depuis 6 mois et je le rencontre parfois plusieurs fois dans la semaine, à l’insu de mon mari, lorsqu’il est disponible.

Alors que nous avions réussi à passer une nuit ensemble ( Paul étant en déplacement) après une nuit de folie où je lui avais offert totalement mon corps, il m’a proposé de devenir sa maitresse ( je crois que je l’étais déjà physiquement), me proposant de partir en vacances, en Week end.

J’avoue que s’il me faisait magnifiquement l’amour, s’il me comblait pleinement, si je ressortais de nos joutes fougueuses, totalement épuisée mais heureuse, je ne me voyais pas vivre avec lui.

J’ai alors révélé la réalité de la situation à mon mari, risquant de le perdre, mais je tenais trop à lui. Dire que mon aveu est bien passé serait un mensonge, car il m’a reproché mon manque d’ d’ honnêteté, considérant que je l’avais vraiment trompé, alors qu’il avait toujours été pour des relations extra conjugales, à la condition que je le tienne au courant. Il est alors parti plusieurs jours, me laissant dans l’expectative et la peur de le perdre, par ma faute.

A son retour, il m’a demandé de prendre rendez-vous avec cet homme, sans lui expliquer le motif, à la maison ; inquiète, mais n’ayant pas le choix, nous avons convenu d’une rencontre le samedi suivant. Sur les désirs de mon mari, je me suis habillée, très sexy, limite pute, à savoir un maquillage très forcé, un déshabillé en dentelle, sans soutien-gorge (ma poitrine le permet) , avec les pointes de seins teintées en rouge vif ; un slip fendu permettant l’accès des deux côtés, complétait le tableau. Et c’est dans cette tenue que j’ai dû aller lui ouvrir la grille, offrant éventuellement la vue de ma tenue à tout le monde ; heureusement, personne à cette heure-là. Au regard étonné et excité de notre invité, j’ai compris que la soirée allait être difficile car j’ignorais ce qu’avait mijoté Paul.

Arrivés dans le salon, nous avons fait face à Paul, hilare, assis confortablement dans un fauteuil ; je n’étais pas la seule à être tendue ; d’autant plus qu’aussitôt , il a ouvert les débats ou plus exactement un monologue en s’adressant à mon amant :
- " je sais que depuis plusieurs mois, tu baises ma femme, et que contrairement à nos conventions, elle ne m’en a pas tenu au courant, ce qui est dommage pour notre couple ; j’ai cru comprendre que tes capacités et tes talents la font jouir, beaucoup plus que moi parait-il, mais cela ne me gène pas, bien au contraire ; j’aime que ma femme prenne du plaisir, qu’elle jouisse, que ses conquêtes la transportent vers des sommets. Mais cette fois , ce que je ne m’aime pas c’est son silence ; donc j’ai envie de la voir jouir sous tes possessions, fougueuses je l’espère ; pour cela tu as carte libre, tout en sachant que c’est la dernière fois. Prends-la, baise-la comme tu sais le faire parait-il, mais ne la déçoit pas ; montre-toi à la hauteur, devant moi, sans intervention de ma part "

Si le discours l’a surpris, pour moi, cela a été le contraire, cela m’a excité au plus haut point et de mon ventre a commencé à s’écouler ma première cyprine. Cette provocation de sa part était la seule chance pour moi, à la fois de retrouver la confiance de Paul, tout en profitant de la situation, pour retrouver le plaisir avec cet homme qui avait su me faire jouir de nombreuses fois.

Par contre, manifestement le discours l’avait un peu perturbé, et il m’a fallu une longue fellation pour lui redonner toute sa vigueur. Alors à commencer une longue très longue soirée, m’offrant ouvertement à son plaisir, écartelant les cuisses outrageusement devant Paul pour accueillir le chibre, tendu au maximum. sans aucun doute, le fait de me prendre devant Paul, le faisant cocu, mais aussi mon encouragement par un vocabulaire des plus crus.

Pas une seconde Paul n’est intervenu, se contentant de nous observer, de se branler, de juter plusieurs fois, très excité par le tableau qu’il avait devant lui ; je dois reconnaitre que je n’ai pas eu à feindre, mon amant se défoulant en moi ; performant, comme à son habitude, il a su me faire jouir plusieurs fois, provoquant Paul du regard, allant même jusqu’à lui dire :
- " Regarde comme je la fais jouir, tu n’as pas l’habitude de l’entendre si fort, et ta queue ne peut pas la combler comme moi "

Avant de reprendre sa possession , déclenchant une nouvelle jouissance. A sa demande nous avons gagné notre chambre, suivi par Paul, ou il voulait me posséder, et où je le reconnais j’ai pris beaucoup de plaisir à m’offrir à lui , dans notre lit. Trois fois il m’a fécondé, se retirant juste après pour faire voir à Paul, le filet de sa jute, encore accroché à ma chatte.

Alors qu’épuisée par cette soirée torride, je pensais que cela suffisait, mais lui en avait décidé autrement ; me mettant à quatre pattes, sur le côté du lit pour que Paul puisse bien nous voir, il a graissé mon petit trou, et malgré mes protestations, son énorme tige a commencé à me perforer ; je ne suis pas fana de la sodomie et jusqu’à là, je ne lui avait jamais offert mon cul.

La douleur a d’abord eu le dessus sur le plaisir, puis peu à peu, je me suis habitué à ce mandrin me possédant, déclenchant ensuite des ondes de plaisir ; dire que ma jouissance a été aussi forte serait mentir, mais quand se retournant vers Paul, il lui a dit :
- " Ce n’est pas ton petit engin qui pourra la sodomiser ainsi ; regarde bien, profite de son plaisir quand je vais juter en elle "

Je n’ai pu retenir un cri, et quand sa jute a rempli mon conduit, pour la première fois en dehors de Paul, je n’ai pu me retenir, et venant du fond de mon corps elle est arrivée, dévastatrice, et m’a fait perdre quelques minutes toute réalité.

Quand j’ai repris conscience, il était parti et malgré ses nombreuses relances, je ne l’ai jamais revu, avec cependant beaucoup de frustration , car aucun homme , depuis ne m’as transporté, comme lui vers le plaisir. si j’ai eu depuis plusieurs amants pour une période plus ou moins longue, Paul a toujours été soit au courant soit présent ; toujours aimant avec moi, me prouvant souvent son amour, je ne regrette pas mon choix.