Seminaire a Deauville 1
Par
caufield
le 17 novembre 2013
4
Dans
Expériences de candaulistes
On ne dira jamais assez l’influence des séminaires professionnels sur la vie sexuelle des couples les plus stables.
Je m’appelle Pascal, ai 37 ans, et suis directeur commercial d’une concession automobile d’une grande marque allemande dans la banlieue ouest de Paris. Ma femme Caroline a 32 ans ; biologiste, elle a choisi de ne travailler qu’à mi-temps dans un laboratoire de recherche médicale proche de la maison, pour se consacrer à nos deux enfants. Malgré ses deux grossesses, elle a gardé un corps d’adolescente, grande, mince, avec des attaches très fines, de longues jambes, et des petits seins très fermes.
Nous formions un couple très uni, plutôt classique, sans nuages, jusqu’à ce séminaire organisé à Deauville, en juin dernier, par le constructeur automobile dont notre concession représente la marque.
Après la première journée de travail, nous nous sommes tous retrouvés avec nos conjoints pour dîner dans le grand hôtel qui nous hébergeait. Malheureusement Caroline souffrait terriblement du dos, douleurs qui la prennent de temps en temps lorsqu’elle est fatiguée, résurgence d’une mauvaise chute à ski avant notre mariage.
A notre table, chacun voyait bien qu’elle n’était pas dans son assiette, malgré ses efforts pour ne rien laisser paraître. Je souffrais pour elle. Une de ses voisines ne put s’empêcher de l’interroger et Caroline expliqua ce qu’il lui arrivait :
- " On ne peut rien faire, j’ai tout essayé ; il faut attendre que cela se passe ".
- " Vous devriez demander à Louis Rivage, il est magnétiseur. Lors d’un de nos voyages de concessionnaires, je m’étais foulé la cheville, et je vous jure qu’il m’a immédiatement soulagée. Je sais, cela a l’air absurde, mais c’est la vérité. Mon mari peut en témoigner ".
- " Non, non, je vous assure, cela va aller. Et puis je ne crois pas à ces trucs là ".
- " Pascal, ne laissez pas Caroline souffrir ainsi ; allez demander à Louis, cela ne coûte rien, après tout ".
Louis Rivage est le propriétaire d’une des plus grosses concessions de Paris. Une soixantaine d’année, une crinière blanche un peu hirsute, grand, assez réservé, il est très respecté dans notre réseau. On raconte qu’il a racheté sa concession il n’y a qu’une dizaine d’année, après un parcours très brillant dans l’industrie pétrolière, mais aussi de graves ennuis juridiques. Il aurait fait de la prison. L’idée d’aller le trouver à sa table et de lui demander de faire quelque chose pour Caroline ne m’enchantait qu’à moitié par crainte du ridicule. Mais je compris, aux regards de mes voisins de table, que je n’avais pas vraiment le choix et que je risquais de passer pour un égoïste timide si je ne m’exécutais pas. Et mon patron présidait notre table, fâcheuse situation.
Le dessert arrivant, je me levai et me dirigeai le plus discrètement possible vers Louis. En quelques mots je lui expliquai la situation tout en bredouillant des excuses :
- " Je suis désolé de vous demander cela, Monsieur, mais toute notre table a insisté. Et si cela vous pose le moindre problème, nous le comprendrons très bien ".
- " Pas du tout, vous avez bien fait. Après le dîner, retrouvons-nous dans votre chambre, vous verrez cela ne prend que quelques minutes ".
Dans notre chambre, Louis nous mis tout de suite très à l’aise. Il avait une façon d’être très naturelle, comme si rien n’avait vraiment d’importance sauf le soulagement de Caroline.
- " Voilà, il est vrai que j’ai un don dont je dois la découverte au hasard : je soulage la douleur. Mais attention je ne guéris pas. Vous vous sentirez mieux pendant quelques heures et malheureusement la douleur reviendra, mais c’est toujours cela de pris. Allongez-vous comme vous êtes, sur le ventre, inutile de vous déshabiller ".
Manifestement hésitante, un peu gauche, Caroline s’allongea sur le lit, chercha la position qui la faisait le moins souffrir, et posa sa tête sur ses mains jointes, sur l’oreiller. Dans ce mouvement sa courte robe noire remonta sur ses cuisses, un peu trop haut. J’hésitai à intervenir puis, toujours par crainte du ridicule, renonçai.
Louis s’assit sur le bord du lit, se concentra quelques secondes, puis plaça ses deux mains cote à cote, à plat, à quelques centimètre du dos de Caroline. Il les déplaça lentement par cercle de plus en plus larges.
- " Voilà, je l’ai, c’est ici que vous avez mal. Ne craignez rien, vous allez sentir un picotement, puis une sensation de chaleur. Surtout ne bougez pas jusqu’à ce que je vous y autorise. Vous sentez le picotement ? "
- " Oui, je crois….oui "
- " Bien, maintenant vous allez sentir le chaud, ne bougez pas. Vous devez commencer à ne plus avoir mal. Vous pouvez bouger ".
Caroline resta immobile un moment, puis fit jouer ses épaules et se retourna vers moi avec un grand sourire :
- " C’est vrai je n’ai plus mal. C’est incroyable, comment faites-vous ? "
- " Je ne sais pas, je laisse faire mes mains. Comme je vous l’ai dit, j’ai découvert ce don par hasard. Mais faites attention quand même, ne bougez pas trop. Pour lutter contre la douleur, votre dos a travaillé, si je puis dire, dans une mauvaise position pendant longtemps. Et vos muscles vont en garder le souvenir, surtout là et là, je l’ai très bien senti. Seul un bon massage pourrait les soulager. Si vous voulez, et si vous avez une huile ou un lait, je peux vous le faire ".
- " Non, je vous remercie, je me sens déjà beaucoup mieux, et je ne veux pas vous déranger d’avantage ".
Je ne sais pas ce qui m’a pris, mais c’est moi qui ai insisté. Je voulais vraiment qu’elle ne souffre plus, et puis, sans me l’expliquer, j’avais envie qu’il la masse. Je suis allé chercher dans la salle de bain le flacon d’huile d’amande dont Caroline se sert souvent, et l’ai tendu à Louis :
- " Allez Caroline, laisse toi faire. Tu ne voulais pas que je demande ce service à Monsieur Rivage, et tu avais tort. Et je veux que tu passes un bon week-end. Obéis ".
- " Vous allez voir, cela vous fera du bien. Simplement, je vous demanderai d’enlever votre robe ".
Caroline me regarda d’un air légèrement égaré, et nous demanda de nous retourner et de baisser les lumières.
Quand elle nous autorisa à nous retourner, elle était allongée sur le ventre, avec ses seuls sous-vêtements : sur son bronzage naissant tranchait le blanc de la petite culotte sage qu’elle porte habituellement, et les dentelles blanches de ses bretelles de soutient-gorge.
Louis tomba la veste, enleva sa cravate, remonta les manches de sa chemise, puis commença par dégrafer le soutient gorge, pour en rabattre les bretelles sur les côtés, sans rien dire. Je m’assis dans un des fauteuils, de l’autre coté du lit. Il versa une bonne rasade d’huile sur la colonne vertébrale de Caroline qui frissonna, puis commença à faire pénétrer l’huile sur toute la surface du dos.
Ses gestes étaient fermes, souples, sans hésitations. Je regardais fasciné ses longues mains courir sur le dos de ma femme, lui malaxant doucement la peau, s’arrêtant de temps en temps sur des points précis. De temps en temps il lui donnait de brèves instructions d’une voix grave et chaude, et je sentais que Caroline s’abandonnait, obéissait.
Puis, utilisant alternativement la tranche de ses mains dans une série de légers coups très rapides, il parcourut tout son dos, un peu comme s’il voulait attendrir tous les muscles. Il s’arrêta un instant. Délicatement, sans un mot, il ôta le soutient gorge de Caroline, sans qu’elle n’exprime un mouvement de résistance, au contraire : elle lui facilita la chose, et dévoila un instant ses seins nus. Il s’attaqua ensuite aux bras qu’il massa longuement, sans oublier les mains, et les doigts qu’il étira un à un en les faisant craquer.
Lorsqu’il plaça sa main sous l’aisselle de Caroline, pour effectuer une traction sur le bras, je vis qu’elle se soulevait, et que les pointes de ses seins se dressaient. Je connais bien Caroline, et je sais que ses seins ne réagissent ainsi que lorsqu’elle est excitée. Je ressentis alors une forte érection, qui me troubla beaucoup : ma femme était en train de livrer l’intimité de son corps à un autre homme, devant moi et cela me faisait bander !
Accompagnant ses gestes d’instructions de plus en plus brèves, comme si Caroline ne méritait aucune explication et n’avait qu’à obéir, il commença par masser ses jambes, toujours avec des mouvements amples mais précis, fermes et doux à la fois. Sur son ordre, elle écarta les jambes, cambrant involontairement (ou volontairement, je me posais la question) ses fesses rondes et hautes. Je bandais de plus en plus.
Il s’attarda sur les pieds, étirant chaque orteil, appuyant avec le pouce sur des points manifestement précis, situés à l’intérieur de la plante de chaque pied. Puis il lui plia les jambes jusqu’à ce que ses pieds touchent ses fesses, et dans ce mouvement Caroline se cambra un peu plus.
- "Allez, pour que le massage soit complet, je vais vous faire les fesses, au point ou nous en sommes, pas de pudeur entre nous. Enlevez votre culotte ".
J’avais très envie qu’elle accepte. Sans un mot, Caroline se tourna sur le dos, replia les jambes, et d’un mouvement vif fit glisser sa culotte le long de ses jambes, puis se remis sur le ventre. Un instant, Louis et moi purent apercevoir son sexe à la toison dense, soigneusement taillée très court, comme je l’aime.
A deux mains, Louis commença à lui pétrir fermement les fesses. Je les voyais se soulever, s’écarter, trembler, et je ne pouvais m’empêcher de penser que Louis pouvait voir chaque détail de sa chatte comme de sa petite rondelle dont elle m’avait toujours refusé l’accès. Subitement les mains s’arrêtèrent.
Louis regarda longuement le corps de ma femme, puis il se décida : il fit claquer ses mains bien à plat sur chacune des fesses qui, vite, prirent des couleurs. Caroline cria un peu, Louis lui ordonna de se taire. Après deux bonnes minutes de ce traitement, il se plaça, à genoux, entre les jambes de Caroline, et les bras tendus, de tout son poids, en partant des reins, se mit à peser sur son dos.
La vision de Louis habillé, presque allongé sur ma femme, m’amena presque à l’orgasme. Je décidai de quitter mon fauteuil et leur bredouillais que j’avais besoin d’aller dans la salle de bain. Mon sexe me faisait mal.
Je fis claquer la porte, repris mon souffle et libérait mon sexe. Je rouvris doucement la porte et les observais : Louis était allongé sur le lit, inerte, comme Caroline. Puis il de tourna vers elle, redressé sur un bras, lui prit la main droite qu’il amena vers sa chatte :
- " Caressez-vous ".
Je vis Caroline, la tête toujours enfouie sur l’oreiller, se cambrer, glisser la main sous son ventre. Louis l’observa quelques instant sans un geste. Je n’osais me branler de peur de jouir immédiatement. La main droite de Louis se dirigea alors vers les fesses de Caroline, en une longue caresse très tendre. Arrivée dans le sillon des fesses, elle continua lentement ; je vis soudain son majeur ouvrir le sexe de ma femme et le pénétrer profondément.
Caroline se cambra encore plus, les jambes bien ouvertes, pour faciliter l’exploration dont elle était l’objet. Puis en un lent mouvement de piston je pus contempler le majeur de Louis qui entrait et sortait de cette chatte qui, depuis dix ans, me rendait fou. Je pouvais voir la main de Caroline s’agiter sous son ventre. Louis s’arrêta un instant, le doigt sorti. Il commença à caresser la petite rondelle de Caroline. Je m’attendais à qu’elle l’en empêche, car avec moi elle avait horreur de cette caresse, mais elle n’en fit rien. Au contraire, elle s’ouvrit et se cambra davantage.
Lentement, Louis alors commença à introduire son index dans le cul offert, et son majeur dans sa chatte. Quand il fut allé aussi loin que ses longs doigts le lui permettaient, Caroline cria longuement avec des soubresauts violents que je ne lui avais jamais connus.
Louis resta immobile, la laissant se calmer. Lorsqu’il sortit ses doigts, Caroline eut une contraction, comme si elle souhaitait le retenir. Toujours allongé à ses cotés, il la fit retourner sur le dos, et regarda longuement son visage en lui souriant. Il lui caressa doucement les seins.
Caroline se redressa, approcha son visage du sien, et lui donna un long baiser passionné.
Il se laissa faire, lui rendit son baiser avec beaucoup de tendresse. Après ce qui me sembla une éternité, il se leva sans un mot, remit sa cravate et sa veste et se dirigea vers la porte.
- " Demain soir, une demi-heure après le dîner, je reviendrai. Attendez-moi nue allongée sur le ventre. Je veux aussi que votre sexe soit entièrement épilé. Dormez bien ".
C’est à cet instant que je dus me retourner pour jouir à grands jets dans le lavabo.
4 commentaires
Seminaire a Deauville 1
Par balthazarezine le 26 janvier 2014
Très agréable récit correspondant bien à l’idée de causalisme. Le commentaire concernant le mâle dominant est de l’ordre du pseudo psychologique à deux balles... Bien d’autres interprétations pourraient être données. L’image de sa femme entre les mains de cet inconnu est évidemment excitante. Se mettre à l’écart peut être le signe de la volonté de ne pas s’imposer, d’offrir une plus grande liberté d’action à sa femme et au nouveau partenaire.
Seminaire a Deauville 1
Par nous2 le 20 novembre 2013
Sublime partage ; l’histoire peut s’arrêter là, elle n’en serra pas moins belle.
Seminaire a Deauville 1
Par Libertins49 le 19 novembre 2013
Magnifique recit !!
Qu’il soit fantasme ou realité, ou un mix des deux comme souvent ;) ..... peu importe ! Bravo
Seminaire a Deauville 1
Par jacherino le 17 novembre 2013
Bon vieux fantasme du mal dominant qui obtient de l’épouse ce dont le mari rêve et n’ose lui avouer.
On a beau lire que le mari est fort, qu’il domine sa femme, qu’il a de l’argent, qu’il vit dans la "réussite", qu’il est bien soumis à la "hiérarchie", il n’en reste pas moins un gamin qui a peur de sa femme et qui se cache de ses émotions et de ses plaisirs : il va jouir dans la salle de bain pour ne pas assumer la situation, mais, quand-même, il faut qu’il soit un mâle, alors il fait "des grands jets dans le lavabo" (toujours ce besoin de pisser plus loin que les autres pour être le meilleur et ne pas avouer ses faiblesses).
Bonjour le candaulisme.
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