Première fois - suite

Par paul le 19 avril 2017 3
Dans Expériences de candaulistes

- Vous êtes magnifique Madame
- Vous n’êtes pas mal non plus
- Vous êtes libre ou vous êtes mariée ?
- Les deux.
- Mais là, votre mari, il n’est pas là ?
- Non, il ne rentre que ce soir.
- Et quand il n’est pas là, vous vous ennuyez ?
- Oui, vous avez une idée pour combler cet ennui jusqu’à ce soir ?
- Euh… oui… ça vous dit de voir mes collections dans la camionnette derrière ?
- Allons-y.

Le gars avertit son frère :
- Occupe-toi du stand !
- Pas de problème fréro, lui répondit-il avec un clin d’oeil complice.

Et voilà ma femme qui se retrouve dans l’espace exigüe d’un fourgon où s’entassaient des cartons remplis de vêtements. C’était au milieu du marché, au coeur de la ville !
Le gars s’approcha vite de ma femme et l’embrassa avec fougue, il déboutonna la chemise de la belle, elle dézippa la braguette du jeune homme, il libéra les seins lourds de leur prison de satin, elle fit de même avec le pénis qui se dressa aussitôt fièrement. L’homme goûta à ses seins, tandis que ses mains passèrent sous la jupe, caressant les fesses et fit tomber le string sur le sol. Ma femme masturbait la bite pendant que le chanceux essayait de lui donner du plaisir avec un doigt dans sa fente humide. Hélas il manquait d’expérience et avait du mal à le faire, alors il essayait d’écarter les cuisses de ma femme, mais cela lui faisait perdre l’équilibre, alors il n’arrivait pas à beaucoup de résultats. Et puis ce qui devait arriver arriva : il ne put retenir son éjaculation et son sperme jaillit sur sa collection de jeans de marque. Il s’écria :
- Oh non ! Pas ça !
Ma femme était très déçue, car son excitation était grande et le pauvre garçon n’avait rien fait. C’est arrivé souvent à ma femme, on lui dit “pardon t’es trop belle” ou d’autres choses du même genre. Frustrée, ma femme glissa à l’oreille du jeune homme :
- Appelle ton frère.
Il sortit de la camionnette et le frère ne mit pas plus d’une minute à rappliquer. Il n’était pas aussi beau que le premier, souffrait de calvitie, mais il avait un beau sourire de charmeur. Il monta, vit le string par terre, la chemise ouverte et la poitrine dénudée de ma femme, et s’écria :
- Ouahh vous êtes chaude comme la braise.
Puis il s’avança vers elle, la prit par les hanches et la serra contre lui, une décharge électrique lui parcourut le corps. Ma femme adore les mains fermes d’hommes virils, elle a comme une sorte de “bouton” situé au creux de ses reins qui actionne en elle tout un tas d’envies libidineuses. Et ce jour là, c’était le cas avec cet homme.
Il prit un sein dans sa main et le téton dans sa bouche, commença à la téter doucement, puis mordilla le téton, ma femme adore ça, alors elle commença à gémir de plaisir, et en bas l’homme put constater qu’elle dégoulinait de désir.
Comme il manquait d’espace pour s’occuper d’elle dignement, il la retourna et la pencha sur des cartons. D’instinct ma femme creusa ses reins et présenta un cul parfaitement rond, l’homme le découvrit complètement en relevant la jupe, puis il pénétra son sexe ouvert avec les doigts. Il entra dedans, joua à l’intérieur en faisant onduler ses phalanges, de façon à provoquer un effet “pamplemousse”, c’est ce qui arrive lorsque ma femme est très excitée, les parois de son vagin ressemblent au toucher à des quartiers de pamplemousse qui produisent du jus lorsqu’on les presse. Satisfait, l’homme sortit un préservatif de la poche de sa veste, l’enfila, puis se présenta à l’entrée du sexe de ma femme. Heureusement pour elle, il était suffisamment large pour ne pas se noyer dans son orifice grand ouvert, et elle ressentit bien quand il la pénétra d’un coup puissant. Il la prit ainsi dans cette position, allant et venant en elle, son ventre claquant contre ses fesses rebondies, faisant trembler la camionnette. Il faut vous dire que pénétrer ma femme de cette façon est la chose la plus excitante que je connaisse, son cul est alors magnifique, ses reins creusés ajoutent à l’effet, sa longue chevelure brune dans son dos, et ses hanches larges, tout cela est magique. L’homme n’a pas résisté à faire ce que ma femme adore : la tirer par les cheveux et les utiliser comme des rênes, claquer ses fesses en lui disant des mots crus. Du moins, elle déduisait qu’ils étaient crus, car c’étaient des mots en italien, et le ton y était. Le plaisir de ma femme monta, monta et puis ce fut l’explosion : elle fut prise de convulsions et poussa un cri qui dut s’entendre dans tout le marché. Le gars ne tarda pas à éjaculer lui aussi.
Quelques instants plus tard, ma femme, un peu décoiffée et titubant quelque peu, était néanmoins sur un petit nuage. L’homme voulut lui offrir un jeans, mais ma femme refusa, car quand elle fait l’amour, c’est pour le plaisir, pas pour un bénéfice. Ma femme est très susceptible à ce sujet, elle m’a raconté qu’une fois, suçant un type dans sa voiture sur le parking d’une boite de nuit, celui-ci lui a dit juste après “mais t’es une pute en fait !”, ma femme l’a alors regardé avec dégoût “si je suis une pute, alors tu dois me payer”, “quoi ?” “oui tu veux que j’appelle mon mac pour te casser la gueule ?” Alors le gars lui a donné 100 euros, bien sûr c’était faux, ma femme est retournée dans la boite et a dépensé l’argent avec ses copines en rigolant bien de ce mec.
Avec les Italiens, elle refusa poliment de donner son téléphone et s’éclipsa, laissant son string comme souvenir.
Quand je suis rentré le soir, ma femme au moment du repas me demanda :
- Tu te souviens que tu m’avais donné ma liberté sexuelle ?
- Oui bien sûr.
- J’espère que tu ne vas pas te fâcher…
Je compris aussitôt qu’il s’était passé quelque chose. La sensation que je ressentis à cet instant était unique, une excitation intense, mille scénarios se bousculaient dans ma tête, je la rassurai et elle me raconta tout dans les moindres détails. Je bandai tant et si bien que je lui ai fait l’amour ce soir-là avec passion et encore plus de plaisir. Je découvrais mon potentiel candauliste, même si je ne savais même pas que le mot existait.
Du côté de ma femme, vis à vis de moi, c’est assez différent, elle est beaucoup plus jalouse et montre facilement les dents quand une femme me drague ; en outre elle n’aime pas trop que je fasse jouir une autre femme si elle n’est pas là. Alors je préfère le faire en sa compagnie.

Les mois et les années suivants, ma femme a eu quelques aventures sexuelles, et j’aime ces jeux, j’aime beaucoup voir, mais j’aime aussi qu’elle me raconte, d’autant plus que c’est quelqu’un de très franc.

Curieusement je ne me suis jamais senti “cocu”, c’est un terme incompatible avec la liberté sexuelle et je n’ai jamais douté de l’amour de ma femme, et elle jamais non plus du mien. Le problème est qu’avec le temps, ma femme m’a dit qu’elle préférait faire l’amour avec moi, que la plupart des hommes n’étaient pas à la hauteur de ses attentes. Les seules choses qu’elle aimerait trouver sexuellement chez les autres c’est justement ce en quoi je suis le moins doué. Quoi qu’il en soit, je vous raconterai quelques unes de nos histoires.

3 commentaires

Première fois - suite

Par Paul1705 le 20 avril 2017

Bonjour les coquins ,
Très très belle histoire . Nous avons hâte de lire la suite .
C,est dans ces moments totalement imprévus que le plaisir est le plus intense
Au plaisir de vous lire
Claudine Et paul

Première fois - suite

Par ELLEetmoi59 le 19 avril 2017

joli moment ...nous avons hâte de lire la suite de vos aventures.

Première fois - suite

Par paul le 19 avril 2017

- Vous êtes magnifique Madame
- Vous n’êtes pas mal non plus
- Vous êtes libre ou vous êtes mariée ?
- Les deux.
- Mais là, votre mari, il n’est pas là ?
- Non, il ne rentre que ce soir.
- Et quand il n’est pas là, vous vous ennuyez ?
- Oui, vous avez une idée pour combler cet ennui jusqu’à ce soir ?
- Euh… oui… ça vous dit de voir mes collections dans la camionnette derrière ?
- Allons-y.
Le gars avertit son frère :
- Occupe-toi du stand !
- Pas de problème fréro, lui répondit-il avec un clin d’oeil complice.
Et voilà ma femme qui se retrouve dans l’espace exigüe d’un fourgon où s’entassaient des cartons remplis de vêtements. C’était au milieu du marché, au coeur de la ville !
Le gars s’approcha vite de ma femme et l’embrassa avec fougue, il déboutonna la chemise de la belle, elle dézippa la braguette du jeune homme, il libéra les seins lourds de leur prison de satin, elle fit de même avec le pénis qui se dressa aussitôt fièrement. L’homme goûta à ses seins, tandis que ses mains passèrent sous la jupe, caressant les fesses et fit tomber le string sur le sol. Ma femme masturbait la bite pendant que le chanceux essayait de lui donner du plaisir avec un doigt dans sa fente humide. Hélas il manquait d’expérience et avait du mal à le faire, alors il essayait d’écarter les cuisses de ma femme, mais cela lui faisait perdre l’équilibre, alors il n’arrivait pas à beaucoup de résultats. Et puis ce qui devait arriver arriva : il ne put retenir son éjaculation et son sperme jaillit sur sa collection de jeans de marque. Il s’écria :
- Oh non ! Pas ça !
Ma femme était très déçue, car son excitation était grande et le pauvre garçon n’avait rien fait. C’est arrivé souvent à ma femme, on lui dit “pardon t’es trop belle” ou d’autres choses du même genre. Frustrée, ma femme glissa à l’oreille du jeune homme :
- Appelle ton frère.
Il sortit de la camionnette et le frère ne mit pas plus d’une minute à rappliquer. Il n’était pas aussi beau que le premier, souffrait de calvitie, mais il avait un beau sourire de charmeur. Il monta, vit le string par terre, la chemise ouverte et la poitrine dénudée de ma femme, et s’écria :
- Ouahh vous êtes chaude comme la braise.
Puis il s’avança vers elle, la prit par les hanches et la serra contre lui, une décharge électrique lui parcourut le corps. Ma femme adore les mains fermes d’hommes virils, elle a comme une sorte de “bouton” situé au creux de ses reins qui actionne en elle tout un tas d’envies libidineuses. Et ce jour là, c’était le cas avec cet homme.
Il prit un sein dans sa main et le téton dans sa bouche, commença à la téter doucement, puis mordilla le téton, ma femme adore ça, alors elle commença à gémir de plaisir, et en bas l’homme put constater qu’elle dégoulinait de désir.
Comme il manquait d’espace pour s’occuper d’elle dignement, il la retourna et la pencha sur des cartons. D’instinct ma femme creusa ses reins et présenta un cul parfaitement rond, l’homme le découvrit complètement en relevant la jupe, puis il pénétra son sexe ouvert avec les doigts. Il entra dedans, joua à l’intérieur en faisant onduler ses phalanges, de façon à provoquer un effet “pamplemousse”, c’est ce qui arrive lorsque ma femme est très excitée, les parois de son vagin ressemblent au toucher à des quartiers de pamplemousse qui produisent du jus lorsqu’on les presse. Satisfait, l’homme sortit un préservatif de la poche de sa veste, l’enfila, puis se présenta à l’entrée du sexe de ma femme. Heureusement pour elle, il était suffisamment large pour ne pas se noyer dans son orifice grand ouvert, et elle ressentit bien quand il la pénétra d’un coup puissant. Il la prit ainsi dans cette position, allant et venant en elle, son ventre claquant contre ses fesses rebondies, faisant trembler la camionnette. Il faut vous dire que pénétrer ma femme de cette façon est la chose la plus excitante que je connaisse, son cul est alors magnifique, ses reins creusés ajoutent à l’effet, sa longue chevelure brune dans son dos, et ses hanches larges, tout cela est magique. L’homme n’a pas résisté à faire ce que ma femme adore : la tirer par les cheveux et les utiliser comme des rênes, claquer ses fesses en lui disant des mots crus. Du moins, elle déduisait qu’ils étaient crus, car c’étaient des mots en italien, et le ton y était. Le plaisir de ma femme monta, monta et puis ce fut l’explosion : elle fut prise de convulsions et poussa un cri qui dut s’entendre dans tout le marché. Le gars ne tarda pas à éjaculer lui aussi.
Quelques instants plus tard, ma femme, un peu décoiffée et titubant quelque peu, était néanmoins sur un petit nuage. L’homme voulut lui offrir un jeans, mais ma femme refusa, car quand elle fait l’amour, c’est pour le plaisir, pas pour un bénéfice. Ma femme est très susceptible à ce sujet, elle m’a raconté qu’une fois, suçant un type dans sa voiture sur le parking d’une boite de nuit, celui-ci lui a dit juste après “mais t’es une pute en fait !”, ma femme l’a alors regardé avec dégoût “si je suis une pute, alors tu dois me payer”, “quoi ?” “oui tu veux que j’appelle mon mac pour te casser la gueule ?” Alors le gars lui a donné 100 euros, bien sûr c’était faux, ma femme est retournée dans la boite et a dépensé l’argent avec ses copines en rigolant bien de ce mec.
Avec les Italiens, elle refusa poliment de donner son téléphone et s’éclipsa, laissant son string comme souvenir.
Quand je suis rentré le soir, ma femme au moment du repas me demanda :
- Tu te souviens que tu m’avais donné ma liberté sexuelle ?
- Oui bien sûr.
- J’espère que tu ne vas pas te fâcher…
Je compris aussitôt qu’il s’était passé quelque chose. La sensation que je ressentis à cet instant était unique, une excitation intense, mille scénarios se bousculaient dans ma tête, je la rassurai et elle me raconta tout dans les moindres détails. Je bandai tant et si bien que je lui ai fait l’amour ce soir-là avec passion et encore plus de plaisir. Je découvrais mon potentiel candauliste, même si je ne savais même pas que le mot existait.
Du côté de ma femme, vis à vis de moi, c’est assez différent, elle est beaucoup plus jalouse et montre facilement les dents quand une femme me drague ; en outre elle n’aime pas trop que je fasse jouir une autre femme si elle n’est pas là. Alors je préfère le faire en sa compagnie.
Les mois et les années suivants, ma femme a eu quelques aventures sexuelles, et j’aime ces jeux, j’aime beaucoup voir, mais j’aime aussi qu’elle me raconte, d’autant plus que c’est quelqu’un de très franc.
Curieusement je ne me suis jamais senti “cocu”, c’est un terme incompatible avec la liberté sexuelle et je n’ai jamais douté de l’amour de ma femme, et elle jamais non plus du mien. Le problème est qu’avec le temps, ma femme m’a dit qu’elle préférait faire l’amour avec moi, que la plupart des hommes n’étaient pas à la hauteur de ses attentes. Les seules choses qu’elle aimerait trouver sexuellement chez les autres c’est justement ce en quoi je suis le moins doué. Quoi qu’il en soit, je vous raconterai quelques unes de nos histoires.