Parcours d’un couple candauliste
Par
scorpus69
le 25 mai 2016
5
Dans
Expériences de candaulistes
Homme marié, père de deux enfants, cadre dirigeant craint et respecté, je suis une fiotte.
Je suis une fiotte depuis mon adolescence, âge depuis lequel je vis mes penchants homosexuels. J’aime être à genoux devant un mâle en érection, lui pomper la bite, lui bouffer les couilles, passer ma langue entre ses fesses.
J’aime me faire baiser la bouche jusqu’à recevoir ma récompense de foutre. J’aime qu’on me parle crument, obéir aux ordres. J’aime offrir ma croupe à la caresse, à la fessée. J’aime écarter mes fesses docilement, offrir mon orifice qui ne demande qu’à être élargi et rempli. J’aime qu’on jouisse sur moi.
Plus surprenant encore, lorsqu’un de mes amants m’a demandé de porter des sous-vêtements féminins, ce que j’ai fait avec circonspection, j’ai découvert le plaisir d’être pris comme une femelle. Difficile avec tout cela de jouer le mari viril avec son épouse.
Avec les années, j’ai pris du poids, alors que mon épouse fréquentait les clubs de sport, peaufinait son bronzage intégral autour de la piscine, entretenait régulièrement sa toison pubienne. C’est une très belle femme qui attire les regards, aussi ne fus-je point surpris de découvrir qu’elle avait un amant.
Pour vérifier mes soupçons, je me suis levé nuitamment pour vérifier le contenu de son téléphone portable. Ce fut un choc de découvrir qu’à l’occasion de ce diner en amoureux au restaurant, elle en avait profité pour se rendre aux toilettes, pris en photo sa chatte toute lisse, envoyé le cliché à un numéro inconnu avec pour tout commentaire : " comme promis ".
Une réponse suivait : " j’ai trop envie de te prendre là tout de suite ".
Et ma femme de conclure : " ta grosse queue me manque ".
Le coup fur dur, et il me semblait indispensable d’obtenir des explications. Les discussions furent longues et douloureuses. Il en ressort que mon épouse n’était pas satisfaite de notre vie sexuelle qu’elle jugeait " banale ", qu’elle n’avait pas l’intention de trouver un amant malgré de nombreuses sollicitations.
Elle a admis une faiblesse d’un jour qui fut pour elle une révélation. Elle découvre à cette occasion qu’elle peut avoir un plaisir sexuel sans implication affective et qu’elle peut trouver un amant fougueux et endurant ce qui lui manque à la maison.
Nous fîmes le constat que nous avions l’un pour l’autre des sentiments, j’ai dû admettre que je n’avais pas su prendre soin d’elle (et j’étais par ailleurs bien mal placé pour la juger, moi qui allait prendre mon pied dans les sexshops et autres lieux de drague underground). Pour concrétiser notre nouveau " départ ", je lui proposais un contrat : elle pouvait avoir des aventures à condition d’en être informé.
Fort de cette décision, ma femme décida de ne pas attendre les opportunités et ne pas s’inscrire dans des histoires complexes à gérer. Avec mon accord, elle s’inscrivit sur plusieurs sites de rencontres, échangea longuement avec quelques « candidats », en rencontra certains pour faire connaissance et finalement jeta son dévolu sur Olivier.
Olivier avait le mérite d’être légèrement plus jeune, marié, très sportif, hyper bien membré et visiblement expérimenté. Olivier savait que j’étais au courant, cela ne le gênait pas. Si nous avions souhaité que les rencontres ne se passent pas au domicile, l’aspect pratique l’emporta et le lit conjugal fut aussi témoin de leurs ébats. Olivier était une sorte de " queutard ", toujours prêt à servir, dans n’importe quelle circonstance.
Je dois dire que cette situation n’était pas si facile à gérer pour moi mais que malgré la jalousie pointait une forme d’excitation inexplicable. J’aimais surprendre ma femme dans ses préparatifs lorsqu’elle enfilait une tenue plus que suggestive. J’aimais essayer de deviner – sans qu’elle le sache – les marques de son plaisir dans ses vêtements souillés. Pour les enfants, maman s’impliquait dans une association caritative et avait parfois des réunions tardives.
Alors qu’elle rentrait justement de l’un de ses rendez-vous à une heure avancée de la nuit, je ne dormais pas et je bandais d’excitation. Lorsque je lui proposais de lui faire l’amour, elle refusa prétextant sa légitime fatigue mais accepta de me soulager en me branlant.
Je lui demandai alors de me faire le récit de sa soirée. Mais quelques mots et quelques mouvements de sa main sur mon sexe dressé eurent raison de mon excitation et je joui piteusement entre ses doigts. Elle me fit pour seule remarque :
- " Ça te fait l’effet ?! ".
Quelques semaines plus tard, alors que nous étions seuls en voiture, elle me posa brutalement la question :
- " Ça t’excite d’être cocu ? ".
Nous profitâmes alors des vacances suivantes pour échanger longuement sur nos fantasmes. Elle m’avoua aimer être docile avec ses amants et avoir envie d’explorer les joies de l’exhibition. Je lui avouai mon désir de connaitre la bisexualité et de la voir faire l’amour avec un autre homme. Finalement, plutôt que de vivre nos fantasmes chacun de notre côté, d’essayer de les vivre ensemble, complices.
Dès lors les relations avec Olivier changèrent un peu. Je fus parfois invité à les regarder, mais en me caressant dans mon coin. De son côté mon épouse s’enhardit acceptant des relations dans des lieux insolites, dans des tenues de plus en plus sexe, des rapports avec plusieurs hommes, le tout avec mon accord.
J’avais le droit soit au compte-rendu de l’épouse infidèle, soit aux commentaires par mail de l’amant sur les prouesses de " sa salope ". J’avais parfois droit à des photos et à titre tout à fait exceptionnel à des vidéos ou séances par cam interposée. Nous y trouvions un grand plaisir.
Mon épouse ayant sa propre morale refusait de passer toute la nuit avec lui, mais acceptait de l’accompagner dans des clubs échangistes et d’être offerte par lui. Elle lui refusa également malgré de nombreuses insistances de sa part à des rapports non protégés, estimant que le garçon était trop coureur de jupons pour être sans risques.
Par ailleurs, Olivier n’avait pas envie de se prêter à des jeux bi avec moi. C’est ainsi qu’après 4 années de relations régulières, elle décida de donner une nouvelle orientation à nos rapports. Sans m’en parler, elle se mit à la recherche d’un autre profil.
Un soir, alors que les enfants étaient partis en vacances, ma femme m’annonça une soirée « surprise ». Elle s’isola dans la salle de bains et en ressorti avec un harnais de cuir que je ne lui connaissais pas, ses talons les plus hauts et un bijou anal en place.
Quelques minutes plus tard, on sonna à la porte. Mon épouse ouvrit dans cette tenue à un inconnu qu’elle embrassa à pleine bouche pour l’accueillir. L’homme glissa directement sa main sur sa chatte puis vint prendre place dans le canapé.
L’homme s’appelait Gérard, la soixantaine, trapu, mâchoire carrée, grisonnant, un fort charisme. Gérard mit tout de suite les choses au point :
- " Toi le cocu, tu dois savoir que ta femme m’a choisi pour m’occuper de vous deux. Nous nous sommes mis d’accord sur les règles. Je veux que tu saches qu’avant d’accepter, j’ai demandé de tester ses capacités. C’est une bonne salope obéissante. Il t’appartient désormais de choisir : soit la situation te convient et tu acceptes dorénavant tout ce que j’exigerai, soit tu n’es pas d’accord et je m’en vais de suite ".
Pris au dépourvu, je me sentis rougir et m’entendis bredouiller :
- " Je suis d’accord ".
Ma femme, satisfaite de ma réponse, me demanda d’aller chercher une bouteille de champagne pour fêter cela. Lorsque je revins, à peine deux minutes plus tard, elle était déjà à 4 pattes entre les cuisses de notre invité et pompait une belle queue épaisse et noueuse. Elle m’invita à la rejoindre et à gouter à ce pieu délicieux. Si Gérard est plus casanier et moins prêteur qu’Olivier, il est plus directif, pervers et réellement bi. Il marqua son empreinte dès les premières minutes.
Je retiens notamment de cette première rencontre quelques flashs : moi, nu à 4 pattes, servant de " table basse ", ma femme allongée sur mon dos, cuisses écartées pour se faire baiser ; ma femme empalée par le cul, face à moi, m’intimant de lécher la fente et les couilles de notre amant, puis bonheur suprême, Gérard lui demanda de me préparer le cul, de diriger sa bite contre mon trou.
Je sentis alors ma femme complétement excitée par la situation. Tout en se branlant avec force, elle l’encourageait à « défoncer la petite pute ». Bref, un rêve se réalisait.
Nous voyons Gérard depuis deux ans. Très vite, après tests, nous avons décidé d’avoir des rapports non protégés. J’ai pu voir un homme jouir au fond de ma femme, et comble du bonheur venir la nettoyer de ma bouche gourmande. Gérard nous sollicite régulièrement, à tour de rôle ou ensemble.
Il part avec nous en week-end ou en vacances. Il se positionne alors en mari et moi, je dois passer pour l’ami de la famille ou le beau-frère pot de colle. Il la prend par la taille, l’embrasse devant tout le monde, et tiens quand il la baise à ce que je ne sois jamais loin.
Je ressens la gêne et la joie du cocu soumis consentant. Cette relation nous convient parfaitement et ce qui fut au départ l’occasion d’une rupture cruelle se transforma en complicité réelle, sans jugement.
Aujourd’hui, je suis heureux de m’assumer « en fiotte ».
5 commentaires
Parcours d’un couple candauliste
Par Afro_69 le 28 septembre 2021
Bien racontée
Parcours d’un couple candauliste
Par piers39 le 30 mai 2016
le candaulisme permet aussi de souder les couples ! -)
Parcours d’un couple candauliste
Par cpl expat le 26 mai 2016
le beau frere pot de colle, c est excellent... et que dire de ce coming out petite fiotte.
beaucoup d humoir
Parcours d’un couple candauliste
Par kamadeva le 25 mai 2016
Et quel parcours...où deux êtres après s’être quasi déchirés sont plus forts que leurs errances respectives et fondent une vraie liaison de compréhension de respect des attentes (mêmes si elles paraissent inavouables au départ) er finalement d’amour ! Oui, quel parcours et quelle leçon de courage de part et d’autre, de compréhension, de tolérance ....Bravo ! Sincèrement Bravo !
Parcours d’un couple candauliste
Par tomasini le 25 mai 2016
Bravo je suis toujours étonné que l’on puisse accepter tout ça ... le plaisir se cache parfois dans des situations très particulières !!
Faites quand même attention aux rapports sans préservatif même avec un test HIV ... vous n’êtes pas 24/7 avec Gerard pour savoir ce qu’il fait.
Bonne continuation.
Forum sur inscription
Pour participer à ce forum, vous devez vous enregistrer au préalable. Merci d’indiquer ci-dessous l’identifiant personnel qui vous a été fourni. Si vous n’êtes pas enregistré, vous devez vous inscrire.
Connexion / inscription