nouveau départ
Par
candauliber
le 1er octobre 2022
2
Dans
Expériences de candaulistes
Nous rentrons, je confie à Véro que j’ai moyennement apprécié les moments que nous venons de passer, je ne me retrouve pas dans ce que nous avions défini au début de notre démarche, séduction, exhibition, voyeurisme. Là nous avons eu humiliation et domination cela ne nous ressemble pas. Il y avait juste la baise et je n’ai pas aimé te voir ainsi manipulée, je préfère quand c’est toi qui dirige tes partenaires et puis si j’accepte d’être ton cocu, je pense que toi seule peux me traiter ainsi.
Tu as raison mon chéri, nous nous sommes laissés entraîner vers des pratiques qui ne nous correspondent pas tout à fait ; comme tu le dis je préfère nettement diriger mes partenaires mais sans domination, je vais prévenir Sophie que nous cessons nos relations, désormais tu ne porteras plus ta cage, je te fais confiance ; tu sauras garder toute ta semence.
Tu es merveilleuse ma chérie. Véro qui conduit oblique dans un chemin forestier, nous faisons l’amour dans la voiture comme au temps de notre jeunesse. Je suis tellement excité que Minouche me fait jouir deux fois.
Je me souviens toujours de ce moment avec émotion.
Un samedi de février, nous cherchons un endroit pour nous restaurer, les quelques restaurants que nous apprécions son complets, dans l’un d’eux il reste une table déjà occupée par une personne avec son plus charmant sourire Minouche demande si monsieur accepte notre compagnie. Nous nous installons. Monsieur entame la conversation c’est un bavard. Plus âgé que nous, c’est un ancien libraire qui se prénomme Charles, un fils ingénieur à Aix et une fille informaticienne, son épouse est décédée d’un cancer il y a 5 ans. C’est à ce moment là qu’il a vendu la librairie. Ensuite sans transition il nous conseille le veau marengo.
Vous verrez, il est extra.
Alors ce sera deux veaux marengo.
Le repas se déroule agréablement Charles est de bonne compagnie, je fais un appel du pied à Arnaud qui soudainement se souvient qu’il a un rendez-vous. Il s’excuse de devoir nous quitter.
- Vous prendrez le dessert et le café sans moi.
Nous terminons notre repas, et je cherche le moyen de séduire Charles le plus naturellement possible. Au moment de se quitter il m’avoue être souvent seul et que ce moment passé avec nous lui a fait le plus grand bien. Je saisis l’occasion.
Vous avez quelque chose de prévu cet après-midi ?
Rien de spécial, pourquoi ?
J’irai bien au ciné, mais seule ça ne me tente pas, vous pourriez m’accompagner. Je vous laisse le choix du film. Ensuite vous mangez à la maison, vous verrez Arnaud se débrouille très bien.
Après une brève hésitation.
Après tout pourquoi pas, mais je ne voudrai pas abuser.
Vous nous ferez plaisir. Je préviens mon mari que nous serons trois ce soir.
Charles m’ouvre la porte et me laisse passer devant lui. Ce monsieur connait les usages.
La rue piétonne est recouverte d’une fine couche de neige, je prétexte des chaussures glissantes pour demander à Charles de me donner le bras que je serre contre ma poitrine. Il ne réagit pas ; il est impossible qu’il ne sente mon sein peut être n’y voit-il aucune intention autre que de me protéger du froid. Je choisis une place isolée, cette séance d’après-midi est rarement chargée ; mon genou effleure le sien, mais il se recule, ce n’est pas le genre à profiter de certaines situations, mais cela devient compliqué, je ne veux pas le brusquer, tout en douceur, après 1/2 heure sans incident je saisis sa main sur l’accoudoir, il me regarde étonné, je me penche et pose ma tête sur sa poitrine et lui murmure ne dites rien, restons ainsi.
Au sortir de la salle Charles me fait part de sa confusion.
Je ne comprends pas bien, nous nous connaissons à peine, vous avez un gentil mari et vous me draguez outrageusement, que recherchez vous ?
Charles je vous dois une explication, aussi bizarre que cela puisse paraître Arnaud est au courant et il est heureux de me savoir en votre compagnie.
Vous voulez dire qu’il cautionne vos aventures extra conjugales ?
- En quelque sorte ; rien ne le satisfait plus que de me voir heureuse dans les bras d’une autre personne.
Vous pratiquez le candaulisme ?
Oui, je peux choisir ou il choisit mes amants, il suffit que je l’avertisse ainsi il n’y a pas tromperie. Il est spectateur ou pas cela dépend. Par contre il ne s’autorise aucun écart de conduite, je suis sa seule partenaire.
Et vous pensez que je peux accepter ?
Comme vous voulez, je ne voudrai pas vous forcer mais cela nous ferait plaisir. De toute façon vous mangez à la maison.
Nous arrivons à la voiture de Charles qui m’ouvre la portière passager, en m’asseyant je prends soin de remonter légèrement ma robe. Petit sourire.
A table, Arnaud se met face à notre ami et moi à sa droite. De temps en temps je prends sa main et la caresse, d’abord gêné, petit à petit il se décontracte. Arnaud semble ravi de la situation et il y prend plaisir.
A présent l’ambiance est détendue, je me penche vers mon voisin qui ne recule plus, ma main sur sa cuisse ne le dérange pas. Après le dessert nous passons au salon. Arnaud nous désigne le canapé, alors qu’il s’installe dans le fauteuil. Telle une chatte je me frotte à Charles en ronronnant de plaisir, j’introduis une main sous la chemise, sa peau est chaude recouverte d’un fin duvet . Je demande à Arnaud de m’aider à me déshabiller. Ses mains fébriles s’activent dans mon dos, Charles en profitent pour se dévêtir également ; et arbore un sexe de taille honorable ce qui prouve que je ne lui suis pas indifférente. Minou est reparti à son fauteuil en spectateur privilégié.
A présent j’entreprend des massages sur tout le corps, pas une partie n’est oubliée, je me sers de mes mains, de mes seins, de mes fesses et même de mes pieds ; Charles est au 7° ciel, il se lâche enfin. Je prend son membre en bouche, commence par le lécher doucement puis l’avale goulument, il disparait au fond de ma bouche. , je ne veux pas le faire jouir tout de suite. Tout en regardant Arnaud j’approche ma chatte de son visage, un signe de tête de mon chéri me signifie qu’ il apprécie. Ma vulve effleure la bouche de Charles qui a ainsi une vue rapprochée de ma chatte, Je ne quitte pas Arnaud du regard, je lui demande un préservatif que je pose sur la queue turgescente je m’introduis le membre bien dur, me penche en avant, ma poitrine frôle le duvet de Charles ce qui me procure un chatouillis bien agréable. Dans un murmure je demande s’il veut jouir dans ma chatte ou dans ma bouche. Le visage de Charles s’illumine.
Dans la bouche, ça me fera tellement plaisir.
Lentement je me retire et reviens me positionner en 69 en faisant en sorte que mon époux chéri ne perde rien du spectacle. Mes lèvres entament une succion de l’extrémité du gland, puis ma bouche s’ouvre entièrement pour avaler cette queue, le foutre épais et chaud envahit ma bouche, tête relevée je regarde mon mari d’un oeil interrogateur ; nous nous sommes compris, il fait un signe d’acquiescement. Je m’approche et l’embrasse à pleine bouche, nos langues se mêlent, il reçoit le sperme encore tiède de mon amant.
Merci de m’avoir fait partager ce moment. Charles a été parfait.
Véro et Charles se rhabillent. Je propose un digestif .
Tout en servant les cognac et jet 27, je réalise qu’à aucun moment je n’ai ressenti de jalousie. Le bonheur de Véro suffit à ma satisfaction.
Je fais remarquer à notre ami qu’il s’est comporté en gentleman.
Vous savez les amis ce n’est pas parce qu’une femme offre son corps qu’elle doit être déconsidérée, bien au contraire. On doit avoir la plus haute considération pour les couples qui vous offrent ce qu’ils ont de meilleur. Au début j’étais mal à l’aise, c’est normal, puis doucement Véro vous avez su me détendre. Véronique et Arnaud je vous remercie pour cette soirée.
Oui, et je dois avouer qu’à aucun moment je n’ai été jaloux. Quelle satisfaction de vous voir prendre tout ce plaisir. Ma chérie ta joie suffit à mon bonheur. Charles vous avez partagé notre repas, vous avez partagé mon épouse ; si Véro est d’accord vous pouvez partager notre lit, j’irai dans la chambre d’ami.
Minouche me saute au coup.
Tu es adorable, bien sur Charles vous passez la nuit ici, on laissera la porte ouverte, car j’espère encore quelques câlins, et même un peu plus.
Véro et Charles se dirige vers la chambre, des soupirs et des gémissements ne tardent pas à se faire entendre, la porte est restée grande ouverte, Minouche me fait signe d’entrer, je m’assieds dans le Voltaire. Charles est beaucoup plus à l’aise pour prendre des initiatives, toujours avec tendresse, le vouvoiement ajoute une note désuète à la situation. De les voir ainsi mon sexe se gonfle, je résiste à l’envie de me masturber, je garde ma semence pour ma chérie. Après moults caresses, Véro enfile un préservatif sur la queue de Charles puis s’empale, quelques va et vient puis elle s’immobilise, je devine son intention ; contractant sa chatte elle masse le membre épais. A force d’exercice elle est devenue experte. J’imagine son vagin enserrant la queue de Charles, elle me sourit heureuse, moi aussi je lui montre ma satisfaction en lui rendant son sourire. le souffle de Charles s’accélère, la jouissance devient imminente. Véro s’allonge sur son partenaire puis doucement se retire. Elle débarrasse le phallus du préservatif et triomphante me montre le sperme à l’intérieur.
Content mon chéri.
Heureux et toi ?
Que du bonheur, tu ne t’es pas masturbé, tu progresses. Pour te remercier je te promets un festival rien que nous deux ; Cela te convient ?
Impossible de refuser.
2 commentaires
nouveau départ
Par thierry91121 le 3 octobre 2022
Très jolie reçit
Comme quoi le dialogue est toujours important
nouveau départ
Par Obiwan79 le 3 octobre 2022
Très beau récit et une discussion entre couple qui favorise bien la complicité ! Bravo ! Et je suis tout à fait d’accord que les femmes ne doivent pas être inconsidérées bien au contraire !!
Biz libertine des deux Sèvres
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