Nous l’avons rencontré au cinéma
Par
tyroler
le 1er août 2013
2
Dans
Expériences de candaulistes
Cette expérience c’est passée en septembre. Pour Caro, cette expérience a été spécialement bien réussie car elle est tombée sur ‟un très bon coup”. Caro, à l’époque, avait 35 ans et rayonnait de beauté.
Ce bon coup, Paul, en avait 22 et il débordait de phéromones. Il existait encore des cinémas qui passaient des films pornos. Nous y étions allés à la deuxième séance de 22 h. Caro portait sa ‟raz la touffe”, ce qui, à cette époque était exceptionnellement courte.
En plus, une femme même accompagnée d’un cavalier, était repérée, zieutée et surveillée car ces cinémas étaient plutôt fréquentés par des hommes. A notre demande, l’ouvreuse nous a placés au dernier rang. Caro a choisie la place à l’avant dernier fauteuil de la rangée, laissant la possibilité à un ‟culotté” de venir s’assoir à sa gauche pour tenter sa chance.
En arrivant au fauteuil choisi, avec de grands gestes, elle s’est sortie le blouson, ce qui a eu pour effet de laisser remonter sa jupe juste assez haute pour prouver qu’elle ne portait pas de culotte et qu’elle n’était pas un travesti. Mais lorsqu’elle a eu sorti son blouson tout le monde a bien vue que ses deux gros biberons n’étaient pas soutenus et qu’ils n’en avaient pas besoin.
Par fausse pudeur elle fit mine d’être gênée d’avoir laissé un sein montrer son téton.
En s’asseyant, Caro s’est penchée de façon de laisser largement bailler son décolleté et montrer ainsi ses deux gros seins, avec tout le temps nécessaire pour bien regarder.
Et là, j’étais sûr que tous ceux qui, aux aguets, regardaient dans sa direction, les avaient bien vus. J’avais pris Caro pas les épaules et nous avons flirtés. C’est à ce moment ou Paul, ‟le culotté en question” est arrivé pour s’assoir à la place libre à sa gauche.
Caro a fait un effort pour lui laisser le passage en se reculant sur son siège, et se penchant en avant. Ce qui a eu pour effet de laisser sa jupe remonter, découvrant une fois de plus sa foufoune, et de faire bailler son décolleté une fois de plus.
Paul, bien sûr a prit tout son temps pour passer mais surtout de ne rien louper du spectacle. Caro le regardait zieuter sous sa jupette et dans son décolleté et souriait de voir l’effet que cela produisait. Il s’est assis, tout en remettant ‟quelque chose” en place dans son slip.
La première partie de la séance à commencé, Caro et moi avons flirtés sagement, et il ne s’est rien passé. A l’entracte, Paul est repassé pour aller aux toilettes et acheter une friandise. A chaque passage, il a eu droit au même tableau d’exhibition de la part de Caro. Puis le film a commencé.
Caro et moi avons commencé notre propre film assurés que Paul tomberait dans le panneau. Nous avons flirtés ‟assidument”, et cela n’a pas loupé. 5 minutes plus tard, Caro a posé une main sur ma cuisse. Message : Ca y est, il a commencé. Il me caresse la cuisse.
Jetant un coup d’œil, je pouvais effectivement voir qu’une main était en train de remonter la cuisse de mon épouse. Puis mon épouse légèrement écarter les cuisses. Message on ne peut plus explicite : Vas-y, tu peux aller au bout. Et il a comprit exactement le message. Il a remonté la cuisse et est passé sous la jupette. Caro a tourné la tête vers moi : Embrasse moi, ça y est il est dans la culotte.
Alors je l’ai embrassée pour laisser à Paul le temps de ‟visiter”. Lorsque j’ai senti la langue de Caro tenter d’atteindre ma glotte, j’ai compris que Paul était non seulement dans sa culotte mais qu’un ou plusieurs doigts étaient en train de la branler. J’ai senti au bout de quelques secondes que Caro, très excitée, commençait à remuer des fesses.
C’est un principe une preuve du plaisir qu’elle prend aux caresses. Caro a arrêté notre flirt et tournant la tête vers Paul, elle a accepté son baiser, lui confirmant par la même occasion une docilité à ses caresses.
Le baiser terminé, elle se retourna à nouveau vers moi et pendant que nous flirtions, je pouvais voir la main de ma femme caresser d’abord la braguette du pantalon de son voisin, mais celui-ci ouvrir la braguette, sortir un sexe d’une grosseur beaucoup plus qu’honorable, prendre le poigné de Caro et poser la main sur sa bitte en érection.
Ses doigts ont entourés cette grosse bitte et l’a caressée. Les caresses se sont transformées en branlette. Elle masturbait son voisin en même temps qu’elle flirtait avec moi C’était terriblement excitant et je bandais comme un âne.
Sérieusement à l’étroit dans mon slip, ma queue me faisait mal et criait l’urgence. A mon tour je prenais son poignet et posais sa main sur ma queue que je venais de délivrer de son calvaire.
Elle a entouré les doigts autours d’elle et m’a caressé. Maintenant, elle avait une queue dans chaque main et passant d’une bouche à l’autre, elle flirtait amoureusement avec deux gars très excités.
Paul, entre deux baisers, lui a parlé à l’oreille et il y a eu une discussion entre Caro et Paul. Puis elle s’est tournée vers moi et m’a dit :
- " Il m’a demandé si on serait d’accord pour sortir et aller flirter dans un coin tranquille. Que dois-je lui répondre ? "
- " C’est toi qui vois, tu as envie de quoi ? Tu sais très bien comment ça va finir, alors assumes, si tu as envie dis oui, sinon tu réponds non. Pour ma part, tu sais très bien que je suis d’accord. "
Elle s’est retournée vers Paul et lui a dit que nous étions d’accord mais qu’il devait nous suivre, que c’est nous qui menions la barque. Il était d’accord. ½ h plus tard, nous sommes arrivés sur un parking que nous connaissions au bord de la Garonne sous un pont d’autoroute.
C’était un coin pique nique sur les berges de l’eau éclairé naturellement par une pleine lune complice. Paul a garé sa voiture à côté de la notre. Nous sommes allés nous assoir sur un banc.
Caro, entourée de ses deux prétendants a posé une main sur nos braguettes. Nous avons sorti nos queues déjà bandantes et bien raides.
- "Bon sang, ça va être chaud ce soir. 2 grosses bittes qui bandent comme celles d’un âne, je vais avoir du travail. Alors je commence de suite."
A peine la phrase terminée que Caro s’est mise à genoux devant Paul et sans préalables elle a embouché cette grosse queue jusqu’au fond de sa gorge. Elle lui a fait une bonne pipe comme elle si bien les faire.
Elle a laissé entrer sa bitte jusqu’au fond de sa gorge la tenant fermement dans sa main pour éviter l’étouffement. Puis, après un instant d’arrêt, elle a reculé la tête et bloquant le gland avant qu’il ne sorte, et a commencé par le malaxer entre sa langue et son palais.
Elle lui faisait sa meilleure prestation. Elle voulait lui démontrer son professionnalisme en bonne suceuse. Paul m’a regardé et m’a fait signe le doigt en l’air qu’il aimait ça et appréciait la prestation.
Caro, ayant jeté un coup d’œil a appréciée le compliment et elle a commencé à le pomper et à donner un rythme aux va et vient de plus en plus rapide. J’ai glissé à l’oreille de Paul qu’il devrait préserver ses forces car la soirée, avec Caro, pouvait se prolonger.
Paul l’a laissée continuer un moment puis l’a faite arrêter. Caro a changé de queue et prenant la mienne elle m’a prodigué la jumelle de celle qu’elle venait de faire à Paul.
Pendant qu’elle me suçait, Paul l’a déshabillée.
Puis il est revenu aux voitures, a prit un tapis matelas de plage et l’a déroulé à même le sol. Il était équipé le bougre. De mon côté, pensant avoir déjà assez bandé, je préférai arrêter la pipe que me faisait ma femme. Elle s’est relevé et m’a glissé à l’oreille :
- " Ce soir, pas de sodomie, je ne sais si tu as vu mais on pourrait le comparer à un black. Il en a une énorme. C’est d’ailleurs pour ça que j’ai dit oui ".
- " Mais moi, je peux tout de même, non ? "
- " Je ne voudrai pas que ça lui donne des idées. Et de toute façon si j’avais dis oui pour l’avoir dans le ventre pas entre les fesses. Je te promets qu’à la maison tu pourras, mais pas maintenant, pas devant lui. "
Elle s’est allongée sur le matelas et en levant les bras vers Paul, elle l’a invité à venir ‟l’honorer”. Il ne s’est pas fait prier. Il s’est agenouillé entre ses cuisses, et après quelques caresses sur la chatte avec le gland, il s’est positionné et d’un coup de rein l’a pénétrée.
Cette pénétration brutale a surprit ma femme qui a poussé un cri détonement, Paul s’est alors arrêté. Elle a levé la tête pour lui sourire et lui faire comprendre que tout était OK. Il a commencé les va et vient, lentement au début puis il a accéléré.
Encouragé par les gémissements rythmés par sa cadence, il la pilonnée de plus en plus fort. Caro s’est accrochée aux hanches de son amant. Ils se regardaient les yeux dans les yeux. Les gémissements de Caro étaient de moins en moins discrets.
Elle gardait la bouche ouverte. Puis les gémissements sont devenus de plus en plus aigus pour devenir de petits cris de plaisir. Paul s’est penché et ils se sont embrassés très amoureusement. Je m’étais rapproché pour caresser les seins gonflés par l’excitation et titiller les tétons qui pointaient d’au moins deux bons cms.
Le baiser terminé, il a continué consciencieusement de la baiser. De temps en temps en cadence rapide et de temps en temps plus lentement. Caro m’a fait signe de m’approcher pour qu’elle puisse me sucer. J’ai mis ma bitte au chaud quelques instant mais me suis préserver pour garder des forces.
Tout à coup, Paul s’est bloqué, s’est allongé sur Caro et a jouit accompagné par un grognement sourd. Caro l’a prit dans ses bras et l’a fortement serré. Elle m’a jeté le regard vaseux de la femme qui prend son pied. Elle a glissé son visage dans le creux de l’épaule de Paul.
Ils sont resté ainsi quelque minutes pour laisser leur jouissance s’atténuer. Paul s’est ensuite retiré du ventre de mon épouse et s’est allongé à ses côtés. La main de Caro a accompagné la bitte encore raide de son amant. En me regardant elle m’a invité à mon tour de venir la prendre, avec un :
- " Viens, achève-moi "
Alors, sachant que je préfère la levrette, elle s’est mise à genoux et elle a écarté les cuisses. Je me suis derrière elle et je l’ai pénétrée en levrette. Pendant ce temps, Paul s’est approché d’elle et s’est fait faire une bonne dernière pipe.
Trop excité, je n’ai pas pu résister très longtemps. J’ai éjaculé comme à l’accoutumé dans sa bouche et elle a tout avalé sous l’œil envieux de Paul. Nous nous sommes rhabillés et nous sommes rentrés chacun chez soi.
Paul nous a donné des coordonnées. Nous l’avons revu 3 fois, jusqu’au jour ou il a proposé à Caro de me quitter pour lui. Caro a refusé tout net et nous ne l’avons plus jamais revu.
[email protected]
2 commentaires
Nous l’avons rencontré au cinéma
Par lilo le 4 août 2013
Une histoire plaisante à lire.
Une soirée sans "programme pré-définit" de l’exhibitionnisme "léger" en cinéma pour aguicher ces hommes dans un cadre prédestiné qui débouche pour le plaisir de chacun sur du candaulisme.....
Je pense que le candaulisme peut tellement être fait de manière différente qu’il est difficile de pouvoir définir jusqu’où nous sommes prêt à aller et cela dépend aussi du partenaire rencontré.
Pour répondre à JACHERINO sur la forme du candaulisme, à savoir libéralisme ou fonction primaire.... Je ferai en premier lieu une réponse pas très constructive en répondant "les deux" mais pour mon cas, je pense à une forme certaine de libéralisme ou il ne s’agit que d’un jeu entre un coup et une tierce personne. Dans ce jeu, on dicte les règles et on s’y tient. Après elles évolues avec le temps et surtout selon le complice du moment.
Après c’est une sorte de libéralisme à mes yeux car si on veut aller dans cette direction, je pense que le libéralisme "total" est le libertinage ou le couple profite aussi bien pour Mr que pour Mme d’autres complices.....
Nous l’avons rencontré au cinéma
Par jacherino le 4 août 2013
Excepté que le texte soit très bon, bien exprimé et dépasse la description de ce que nous connaissons-tous, pour exprimer la sensation de ce qui est vécu, je trouve que toute la synthèse se situe dans le dernier paragraphe.
Jusqu’où va le jeu et l’érotisme pour l’autre ?
jusqu’où sommes-nous prêts à aller dans une relation candauliste ?
le candaulisme est-il une forme de libéralisme ou de fonction primaire, destinée à remettre en cause notre position d’amoureux exclusif ou de mâle attritré ? Est-ce laisser libre cours à la concurrence pour mieux exacerber la compétitivité de la domination ou de l’appropriation de la femelle ?
Sexualité etPolitique, j’ai l’impression de revenir à Marx, Georges Bataille et les éros de 68 !
mais ce texte est particulièrement significatif, dommage que vous l’ayez éludé par un paragraphe en 3 lignes. Toute la question est là !
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