Mes débuts

Par FDorenavanteskai le 18 février 2022 1
Dans Expériences de candaulistes

Je ne m’étais jamais senti aussi fort et enjoué, nous venions de faire notre premier trio et c’était jouissif, sexy et amusant. Sandrine était aux anges. Rien d’exceptionnel à priori mais à la trentaine encore un peu immature, nous avions la sensation de faire quelque chose de spécial.

Elle me trompait avec lui depuis six mois et je l’avais voulu, en fait j’avais bien mériter d’être cocu ainsi. Une si jolie femme ne pouvait se contenter d’un seul homme et une fois avoir goûter à un autre, après avoir expérimenter plus en avant ce que pouvait et avait à lui offrir l’interdît, impossible de faire marche arrière.
Pourtant correctement doté par la nature et énergique, je ne pouvais que constaté que je n’étais pas à la hauteur sexuellement par rapport aux attributs et surtout à l’expérience des femmes de Philippe.
Il a progressivement pris en mains les choses, passant de mon meilleur ami à notre maître dans le domaine érotique, nous apprenant la vie.

Elle était sous le charme et l’excitation de ses demandes franches et directes et lors de notre premier trio, il avait proposé de lui faire connaître la double pénétration d’emblée.

Sexuellement, elle était aussi devenu plus demandeuse et plutôt qu’à la prendre, j’étais invité à la lécher plus régulièrement.

Lorsque quelques semaines plus tard, il m’a demandé de la recevoir seul chez lui pour une petite surprise, elle est tombé encore un peu plus sur le charme de son charisme comme amoureuse de son mari préteur, se sentant fondre de désir d’être offerte de la sorte et l’attraction. Elle devenait soumise et objet mais le reine et cela lui plaisait beaucoup.
- " Tu veux que je m’habille comment pour cette soirée ? "
- " … je ne sais pas … demande à Philippe " ai-Je répondu.
Savait-elle qu’il ne serait pas seul ?

J’ai fantasmé de voir cette double, en voyeur, la queue à la main et je leur en ai parlé avec une double réaction. Sandrine me traitant de gros pervers me croyant à demi mot et Philippe prenant la balle au bond pour convier son collègue Tony à de petites sauteries.

C’est finalement arrivé sans moi, peu importe. Dorénavant, je subissais et lâchait prise totalement fou de l’érotisme qui se dégageait de ma jolie femme épanouie. J’ai su qu’elle a déguster, crier et joui comme une folle ne pouvant se libérer facilement de la double entre ses deux puissants et endurants amants.

Connaissant le physique de Philippe, je ne pouvais qu’imaginer cette double avec le gabarit du portugais lui aussi très bien monté. Bien que n’appréciant pas Tony ce qui me rendait encore plus frustrer et cocu, j’aurais aimer les recevoir dignement à la maison, j’aurais aimé être à leur service.

L’auraient-ils doubler devant moi pour m’humilier ou m’aurait-il fallu m’absenter pour qu’ils s’enhardissent. Pour le plaisir de Sandrine j’aurais probablement choisi la deuxième solution bien que, se laisser faire devant moi, cela aurait pu lui plaire sur l’instant, de me toiser de la sorte, et de me rabaisser à mon rôle.

1 commentaire

Mes débuts

Par Patrick L le 24 février 2022

Excellent récit.. qui semble bien sincère quand à la réaction par rapport à une double pénétration.
C’est en effet un moment difficile pour le... cocu !
Ayant vécu ce moment il y a peu de temps je peux en témoigner.
En effet si mon épouse a particulièrement apprécié ce moment il n’en est pas de même pour moi confronté à deux sentiments contradictoires d’une part la savoir heureuse de découvrir ce plaisir mais aussi pour moi une grande gène car je trouve un peu dégradant pour la femme de subir deux queues... même si elle l’a accepté.. et qu’elle en a jouit fortement.
C’est cette dualité qui m’a beaucoup perturbé... et de me sentir le cocu d’une belle salope
Voilà il fallait que je le dise... ça fait du bien
Certains me trouveront ridicule... mais je suis sincère !!