Ma vie de candauliste (2)

Par dimitrileloup le 24 février 2015
Dans Expériences de candaulistes

Il est vrai que je n’ai pas eu de mal à rencontrer Sophie. Elle vivait, plus ou moins, en couple avec un collègue. A 30 ans, elle menait la vie d’une femme de 60 balais. Son mec étant un gros lourdaud, très catholique pratiquant, leur vie était d’une sagesse édifiante. J’ai vite sympathisé avec elle, car nous avions des passions communes. Particulièrement la course à pieds. C’est pour cela que nous nous retrouvions tous les dimanches matins sur le même parcours. Je l’emmenais et son mari trouvait ça bien ! Au bout d’un mois, elle me suçait (pas trop mal) dans la voiture, après notre course. Il me fallut encore trois semaines pour pouvoir découvrir sa chatte et son cul (très beaux d’ailleurs) et une semaine de plus pour la baiser. Rien que du classique, mais elle demanda le divorce et l’arracha au bout de plus d’une année de lutte ! Nous avions décidé de ne pas nous mariez.

Il ne fut pas simple de l’amener à m’offrir son cul, mais elle était terriblement accro à moi et elle accepta, avant d’avouer que c’était super bon ! Deux ans en couple et j’avais une grosse envie de la faire baiser par d’autres bites. Avec Sophie, les choses ne se présentaient pas bien du tout. Pas le genre à se faire un mec devant son copain ! Cependant, je savais qu’elle trouvait beaucoup de charme à notre voisin de pallier. Un mec de près de 50 ans, divorcé et qui semblait avoir pas mal de « conquêtes »… Jules ne fut pas difficile à approcher. Il m’avoua qu’il trouvait que Sophie était bandante. Je lui proposais de la sauter, mais il fallait trouver une combine pour y parvenir. Il proposa un repas très arrosé. Bof… On pouvait essayer mais j’avais une idée complémentaire et je la lui exposais. Ça lui plaisait et il était convaincu qu’elle se laisserait prendre…

Depuis que nous vivions ensemble, j’avais constaté que l’alcool agissait, clairement, comme un aphrodisiaque sur Sophie. De plus, elle me vouait une totale admiration pour mes qualités de joueur d’échecs. Je trouvais, là, une idée plaisante. Le samedi suivant, nous fumes conviés à un apéro chez lui. En ce mois de Juin, il faisait beau et assez chaud. Sur ma demande, Sophie portait une petite robe moulante et assez courte, jaune, un string et un soutien gorge bleus, en dentelle très ajourée. La veille, elle était allée chez son esthéticienne, pour une épilation maillot très minimaliste. Jules nous proposa de s’installer sur le canapé et il prit place sur le fauteuil faisant face. Trois verres de Porto, bien tassés, plus tard, Sophie devenait très remuante. La robe avait remonté et, de sa place, Jules devait voir le string. C’est à ce moment là que nous en vînmes à parler du jeu d’échecs. Il prétendit être une « pointure » dans cet art (en fait, un bon joueur, tout au plus, mais cela n’avait pas d’importance…). Jouant le cador outragé, je lui proposais une partie pour le « plumer ». Il contre proposa un « tournois » au meilleur de trois parties. De plus, il voulu intéresser le challenge. Dans mon rôle de vantard, je lui déclarais que s’il me battait, je demanderais à Sophie de se mettre nue et de faire ce qu’il voudrait. Elle sursauta, mais ne dit rien. Elle n’imaginait pas que je puisse perdre. Jules déclara qu’au cas, fort peu probable où je gagnerais, il me sucerait. Plus tard, Sophie m’avoua que cette idée la fit mouiller et qu’elle se convainquit qu’elle allait voir ça !

Le jeu débuta et je me fis un plaisir de gagner la première manche, assez facilement. Pour fêter cela, nous prîmes deux verres de plus. Cette fois, Sophie était très « avancée ». la deuxième manche fut assez longue et il gagna. Sophie ne s’inquiéta pas trop, mais elle prit un verre pour se donner du courage, dit-elle. La troisième manche fut une vraie bérézina pour moi. Je me fis battre sans combattre et avec perversité. Sophie eut du mal à réaliser. Quand je lui annonçais ;

- " Chérie, je crois que j’ai merdé ! Il faut que tu de mettes à poil et que tu fasses ce que Jules te demanderas… "

Elle blêmit, mais trop ivre pour bien mesurer ce qui se jouait, elle se leva et ôta ses fringues. Nue, elle exhibait son corps avec défi. Beaux seins fermes et de bonne taille. Une chatte châtain clair, à la toison courte taillée, en une fine bande. Un cul magnifique, musclé, tout comme ses jambes, et bien placé. Jules sourit.
- " Tu es très belle. Je veux que tu commence par me sucer. "

Rapidement, il de mit nu et il lui présenta une bite assez exceptionnelle. Plus de 20cm de long et un diamètre impressionnant. Il bandait comme un bouc. Sophie se dit qu’elle allait le vider en quelques coups de langue. Grosse erreur de sa part ! Il la baisa en levrette, la faisant hurler de plaisir et jouir à deux reprises. Puis, il l’encula, lui éclatant le cul et lui procurant un nouvel orgasme avant de se vider les couilles dans son cul. Sophie était une sorte de pantin dans ses mains. Il me demanda si j’acceptais de la lui laisser pour la nuit. Ravi, je donnais mon accord et je pris congés, la laissant sans qu’elle ne proteste. Elle passa une nuit torride et ne rentra que vers 13h le dimanche, totalement épuisée et heureuse d’avoir été défoncée par Jules. Je lui dis qu’elle pourrait se faire sauter par lui chaque fois qu’elle le souhaiterait et elle m’en remercia.

Hélas, la vie est bien cruelle. A la fin du mois d’Août de cette année là, rentrant seule de week-end chez ses parents, Sophie eut un terrible accident de la route et ne survécu pas. Elle laissait deux hommes bien malheureux…

Je peux comprendre que ma vie puisse sembler incroyable. Mais je n’y peux rien, c’est ma vie et je ne l’ai pas choisie… La disparition de Sophie entraîna deux importantes évolutions. D’abord, je n’ai plus jamais vécu, réellement, en couple. Mes compagnes et moi avons gardé une grande indépendance dans notre relation. D’autre part, j’ai pris conscience que j’aimais être dominant avec les femmes. Partageur, je suis et je m’en fais un point d’honneur. Mais, plus que tout, j’aime baiser (maintenant, les choses me sont devenues moins faciles !) et j’ai décidé de devenir le cocufieur, aussi souvent que possible. Mais, cela est une autre histoire !!!

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