Le grand démarrage

Par tyroler le 18 mai 2020
Dans Expériences de candaulistes

Nous en avions discutés et envisagés les différentes possibilités. Et le samedi arrivé, j’ai, à la demande de Karen, téléphoné à Jean ( Paul de la 1ère expérience). Il était d’accord pour nous retrouver sur le parking à 22 heures, de me voir baiser Karen pendant qu’il se ferait sucer, et je rajoutais discrètement que nous pourrions peut être, éventuellement échanger nos places s’il s’avérait que, très excitée, Karen donnerait son accord.

Karen avait prit sa douche, s’était maquillée et s’habillait...Si on pouvait appeler cela s’habiller. Elle n’avait revêtu que l’ensemble de dessous que nous avions acheté pour l’occasion sous un manteau très léger. Visiblement elle voulait plaire. L’heure du rendez-vous approchant elle devenait de plus en plus stressée. Mais était-ce du stresse, à de l’excitation ou était elle amoureuse de Jean.

Une fois dans la voiture, j’ai pu très facilement constater qu’elle était vraiment très excitée. Elle m’a regardé, souriante et d’un ton très coquin :
- "hé oui, comme tu viens de le vérifier, je suis vraiment très excitée, il me tarde. Ce soir je veux être une salope accomplie. Je n’avais jamais osé, mais ce soir je m’y suis résolue. Je veux absolument te surprendre, et te prouver à quel point je t’aime. Tout ce que je ferai, je le ferai surtout par amour même si, je l’avoues, j’en ai très envie. D’autant plus que Jean me plaît bien et je suis heureuse que ce soit lui qui "m’initie". J’en avais très envie. Déjà l’autre soir il m’avait tapé dans l’œil et j’avais apprécié de le sucer. Sa queue est vraiment dans mon calibre. De bonne taille sans trop. Il est doux, sympa, et visiblement de bonne éducation. "

Nous sommes arrivés un peu en avance, mais à peine entrés sur le parking qu’une voiture nous faisait un appel de phare.
- " Là, c’est lui " me dit elle toute "gaiguette".

Alors je me suis arrêté à sa hauteur et lui disait qu’il serait préférable d’aller dans un coin plus intime et que nous préférions ne pas avoir de spectateur, comme la dernière fois. Il en connaissait un, alors nous l’avons suivi. Après deux ou trois kilomètres, nous avons traversé une forêt et nous sommes arrêtés dans une petite clairière avec une table en bois et deux bancs. Une lune très complice éclairait ce petit coin d’une douce lumière. Je descendais de voiture pour ouvrir à ma femme mais c’est Jean, plus rapide, qui lui a ouvert la portière.

J’ai donc pu admirer ma très chère épouse qui s’est alors amusée à montrer toutes les facettes de sa sensualité. Elle s’est tout d’abord penchée en avant pour passer la tête et sortir de la voiture. Ce faisant, son décolleté s’est largement écarté, poussé par des nichons trop peu soutenus par le redresse seins qui laissait éclater ces deux globes sur gonflés par l’excitation. Les tétons dressés et les seins ballottant, elle a prit la main que Jean lui tendait galamment. Elle le regardait en souriant connaissant très bien l’effet qu’elle venait de produire par cette exhibition si bien étudiée.

Mais loin de s’arrêter là, elle sortait une jambe, écartant ses cuisses. La transparence de la culotte laissait apparaître "le ticket de métro" au dessus d’une chatte qui marquait déjà dentelle d’une auréole révélatrice de son excitation très avancée. Se redressant après être sortie, elle s’est collée volontairement contre Jean pour lui donner un baiser appuyé et langue pénétrante.

Ils se sont embrassés un long moment comme deux amoureux trop heureux de leurs retrouvailles. Karen, à commencé d’entrée à me démontrer son côté "salope décomplexée". Sans hésitation, sa main s’est plaquée sur la braguette du pantalon déjà gonflée par une bandaison indiscrète.

Elle a arrêté le baiser et lui a demandé :
- " Déjà ? Qu’est ce que ça va être quand tu auras tout vu."
- " Je suis dans cet état depuis que vous m’avez téléphoné hier soir. Mais je suis, malgré tout, resté sage pour me préserver ".

- " Bonne initiative, hé bien, ça promet ! "
J’arrivais derrière elle et, collé à ses fesses, je l’ai serrée dans les bras, mes mains soupesant ses nichons que je venais de sortir de son décolleté. Je passais les mains sous les seins et les malaxais un petit instant tout en titillant les tétons qui pointaient de deux bons cms.

- " Regardes ces merveilles, je te les ai préparés pendant tout le parcourt et je sais que toi aussi tu les apprécies, et même les téter, surtout que Karen adore ça "

Nous sommes allés nous asseoir sur le banc. Karen entre nous deux, Jean avait prit mon relais sur les nichons, et posait des baisers sur les lèvres, le cou, les seins et revenait aux lèvres et ils ont repris un long baiser amoureux. Pendant ce temps, je sortais le chemisier de Karen, je descendais le zip de sa mini jupe en cuir et tandis qu’elle levait les fesses, je descendais la jupette le long de ses cuisses.

Elle a levé les jambes et j’ai pu sortir la jupe que je posais sur la table. J’aidais Karen à se mettre debout. Elle faisait face à Jean, en bas résilles, string transparent, redresse seins. Éclairée par les veilleuses de nos voitures, Karen était magnifique. Elle a refusé à Jean de lui sortir le redresse seins et le string.

- " Attends, on a tout le temps. Jean s’en chargera, il adore me déshabiller. Il appelle ça, me "strip teaser". Nous avons acheté ces nouveaux dessous "spécialement pour ce soir. Il préfère que tu me laisses ainsi et moi aussi d’ailleurs.
- " C’est vrai qu’il est très rare de pouvoir admirer une telle beauté dans une tenue aussi affriolante. Je t’assure que tu es magnifique. Je suis sûr que tu te sais déjà splendide normalement, alors avec de tels dessous, je t’assures que tu es une pure et rare merveille. "

Je savais que ce genre de compliments faisaient toujours frémir mon épouse, et là elle était visiblement aux anges. Je reprenais à malaxer sa poitrine, titiller les tétons. Je l’embrassais dans le cou. Comprenant mon message (vas-y commences) elle lui a renouvelé les caresses de la braguette et lui a demandé :
« - "Si je te fais tant d’effet que ça, j’aimerai bien m’en rendre compte par moi même. "
Jean n’a pas hésité une seconde. Il a ouvert la braguette et après avoir fouillé, il a sorti une bite de taille très raisonnable et surtout bien bandante ".
- " Là oui, je reconnais la belle queue de la dernière fois, elle m’avais beaucoup plu. Moi aussi j’y ai souvent pensé. Il me tardait de reprendre contact. "

Elle le caressait doucement, prenant soin de ne pas le masturber pour le garder en forme. Elle savait qu’il attendait d’elle, une pipe, alors elle faisait traîner pour "l’ébouillanter". Penchant la tête vers moi, elle m’a demandé de mettre, moi aussi, un préservatif, au cas ou il y aurait un "supplément". C’est là que j’ai compris qu’elle s’attendait à l’échange de partenaire. Et me regardant d’un œil coquin elle m’a confirmé :
- " J’ai compris depuis le départ jusqu’où on irai ce soir et, je suis d’accord ".
- " c’est super, je t’aime, je te remercie. "

Pendant que Karen entamait un flirt très poussé avec Jean, je mettais mon préservatif et comme je voyais Jean qui me regardais tout en l’embrassant, je lui faisait un clin d’œil et lui faisais signe le doigt levé que tout était OK.

Karen a tourné ses fesses vers moi, et à posé elle même le préservatif sur la bite de Jean tout en continuant le flirt. Elle a accéléré les caresses et le masturbait énergiquement maintenant puis tout en posant des baisers sur son buste elle s’est penchée et a laissé entrer le barreau de chaise dans sa bouche.

Elle lui a fait sa fameuse pipe royale comme je l’appelle, lentement profondément, elle le pompait en reculant. On pouvait entendre les bruitages des succions. Je me suis accroché à ses nichons qui se balançaient et je l’ai pénétrée d’un coup brusque et me retrouvais au fond de sa chatte sans problème tellement elle s’était auto-lubrifiée.

Elle a poussé un petit cri étouffé et a reprit sa pipe. C’est au rythme de mes poussées qu’elle a rythmé ses gémissements. Nous avons résisté 10 minutes avant que je fasse signe à Jean que nous pourrions changer. Alors je ressortais de l’antre du plaisir et Jean faisait de même de la bouche. Toute essoufflée, Karen m’a regardé et m’a dit :
- " C’est tellement bon et je suis si excitée qu’il me faudra plusieurs échanges, et vous pouvez même vous tromper . Au point ou j’en suis, je suis prête à tout accepter. Mais, il faudra tout de même y aller doucement. "

Après s’être retournée vers Jean pour refréner ses ardeurs bien compréhensibles, je l’ai regardée tourner son fessier pour le mettre à portée de Jean alors que je sentais en même temps ma queue se réchauffer dans la bouche gourmande de ma femme. Je n’ai même pas eu à forcer l’entrée complète, Karen m’a fait entrer au fond de sa gorge. Au bord de l’étouffement elle a reculé sa tête et a commencé ses succions.

J’ai vaguement vu Jean caresser l’entre cuisse de mon épouse, se mettre en position de la pénétrer et me regarder comme pour me demander l’autorisation. C’est ainsi que je me suis retrouvé au milieu de mon fantasme. Je lui ai fais signe de la prendre. J’ai senti ma queue revenir au fond de sa gorge par la poussée de Jean qui, enfin entrait profondément dans cette chatte que je venais de quitter. Karen a accéléré ses va et vient et je me retrouvais ainsi en train de baiser la bouche de mon épouse.

J’entendais ses gémissements au même rythme que les grognements de Jean qui provoquait le balancement incessant des nichons de Karen. Je les "attrapais au vol" et les bloquais dans mes mains. J’ai commencé à sentir les fourmis dans le bas de mon ventre qui annonçaient ma jouissance. Jean, les yeux grands ouvert, me laissait prévoir la sienne. Nous allions lâcher.

J’entendais les gémissements de Karen qui s’étaient accélérés et augmentaient de sonorité. C’était la jouissance commune qui s’annonçait. Et nous nous sommes libérés. Le grognement sourd de Jean a donné le départ. Le cri de rauque de Karen qui nous insultait a provoqué la mienne et nous avons jouis bruyamment tous les trois en ordre : d’abord Jean suivie de Karen et moi en final.

C’était formidable. Je pouvais enfin ressentir les sensations de plaisir au delà de ceux que je m’imaginais dans mes fantasmes. C’était fabuleux. Karen avait laissé son plaisir s’exprimer pleinement, sans pudeur. Elle se relevait et la bouche encore ouverte, continuant des grognements rauques comme un adolescent en pleine mutation vocale.

Elle avait les yeux exorbités de la femme encore toute surprise d’une telle jouissance, la respiration accélérée au bord de l’essoufflement. Elle a desserré mes mains qui broyait ses nichons et après avoir donné un baiser de remerciement à Jean elle m’a lancé un :
- " Hé ben dis donc, ça je ne connaissais pas. Je n’ai jamais jouis comme ça. Bon sang, c’était fabuleux et super bon. Je ne sais ce que ça va donner en passant par l’autre côté, mais ça promet. "

Nous sommes restés un long moment à redescendre de nos nuages, essoufflés et encore émerveillés par un tel plaisir mais aussi par cette surprenante coordination de nos plaisirs. On avait bien conscience que cette coordination imprévue n’était due qu’au hasard. Mais quel plaisir inoubliable. Karen est venue se blottir dans mes bras et a posé sa tête au creux de mon épaule :
- " On attend un peu et on essai la double avec Jean. Tu préfères quel côté ? "
- " Pour une première je préfère te prendre entre les fesses. De toute façon Jean sera très content de te baiser une seconde fois. "

Après avoir discutés du "mode d’emploi" que nous venions de décider, avec Jean qui était ravi de pouvoir rebaiser Karen, nous avons prit une coupe de champagne et nous nous sommes reposés quelques instants. C’est Jean, qui, en caressant les nichons de Karen avait "redressé sa situation" ce qui nous a redonné du tonus.

Comme nous l’avions prévus, il n’y a pas eu de préliminaires afin d’économiser nos forces. Jean s’est allongé sur le dos le long du banc et Karen l’a enjambé pour s’asseoir lentement sur la queue orgueilleusement dressée en porte drapeau. Après quelques caresses sur ses nichons, Karen s’est allongée sur le torse de son amant, a ramené ses jambes bien en avant exposant ses fesses en bonne position.

Son fessier ainsi présenté il ne me restais plus qu’à prendre ma place en colocataire dans les fondements de ma chère moitié. Je me positionnais face à à l’objectif que je m’étais efforcé à bien lubrifier et j’ai "chatouillé " le petit fripé avec le gland pour le prévenir de ma pénétration. Jean avait stoppé ses coups de butoir et Karen avait arrêté sa respiration. Tout doucement je repartais pour la seconde visite de la soirée.

J’ai pu constater très vite de la différence et de la présence du colocataire et je me glissais lentement le long de sa queue. Karen poussait des gémissements révélant une certaine interrogation. A mesure de ma pénétration, ces gémissements se sont accélérés et devenaient de plus en plus des petits cris de petites douleurs pour finir par un long :
- " vas-y, le plus dur est passé, vas-y complètement, oui vas y ! oh bon sang que c’est bon, allez y mes salops défoncez là votre pute. Montez moi au 7ème ciel ! "

Jean s’efforçait de bouger au mieux, en montant ses cuisses pour la faire monter et se rallongeait pour la faire redescendre. Au bout de quelques va et vient, nous nous sommes coordonnés naturellement. Il reculait alors que je rentrais et inversement. Karen avait réglé ses gémissements, ses cris, ses insultes à notre rythme.

Je ne pourrais dire combien de temps cette magnifique doublette à durer, mais visiblement tout le monde voulait la faire durer. C’est moi, qui ayant enfin réalisé mon plus gros fantasme, donnait le départ pour une jouissance de groupe. Je m’écroulais sur le dos de Karen m’enfonçant brutalement dans ses reins, qui elle même tomba sur le torse de son amant en poussant comme un cri de victoire.

Jean est resté calme, accueillant un téton dressé dans la bouche et marmonnant son plaisir. Nous sommes restés un moment sans bouger, comme pour prendre le temps de bien fixer ce merveilleux moment dans notre mémoire. Mais Jean a demander de le libérer. Un par un, avec regrets, nous nous sommes dégagés.

Sans un mot, Karen s’est essuyé le minou avec une serviette qu’elle a fait passer à Jean qui venait de sortir son préservatif. Je m’essuyais de même dans une autre serviette. Tout restait silencieux jusqu’à ce que je propose de finir le champagne pour fêter cet événement.

Karen c’est mise d’accord avec Jean sur les horaires pour d’éventuels coups de fil et d’éventuels rendez-vous chez nous pour une autre soirée plus confortable. Tout en nous rhabillant et quelques échanges quelques caresses de rigolades, nous sommes redescendus sur terre nous avouant une soirée très réussie et inoubliable.

Il était deux heures du mat lorsque nous nous sommes séparés. Dans la voiture, Karen c’est blottie contre moi et m’a remercié de cette formidable soirée et m’a confirmé qu’elle était dore et déjà d’accord pour une seconde soirée en trio avec Jean qui, ce soir, comme les deux 1ères fois, l’avait comblée. Elle s’étonnait tout de même de la facilité avec laquelle elle en était arrivée à pratiquer une double pénétration avec un "inconnu", en pleine nature.

C’est ce soir là qu’elle a apprit le terme de « candaulisme ». Nous avons revu Jean trois fois, dont une fois chez nous, la dernière jusqu’à ce qu’il lui propose d’aller vivre avec lui car il était très amoureux. C’est avec regrets qu’elle a donc préféré arrêter cette liaison. Nous l’avons revu un fois sur le parking devenu notre parking fétiche, mais il ne s’est rien passé...avec lui.

Mais c’est là que nous avions fait connaissance de Phillipe, un trentenaire, fortement "gâté par la nature" que nous avait présenté un couple candaulistes ami, et qui deviendra un des complices attitré que nous avons réservé pour des soirées spécialement trios. Et ce, pendant plus de six ans.

MAIS ÇA, CE SONT D’AUTRES HISTOIRES.

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