Le Bonheur Absolu
Par
daren
le 7 mars 2023
Dans
Expériences de candaulistes
Bonsoir à Toutes et à Tous,
Je relis mes contributions, vous comprendrez pourquoi un peu plus tard, et je mesure le chemin parcouru depuis nos débuts. Que d’évolutions et d’échanges avec ma chérie et notamment lors de cette année 2022 qui nous a tous les deux complètement transformés.
Tout d’abord, pour le 1er juin, où j’avais ici posté un appel en vue de trouver deux complices en prévision de cette soirée qu’on projetait en club.
Le premier qui s’est présenté nous a paru un peu trop exigeant pour ce qu’on voulait être une première soirée de prise de contact. Le deuxième a répondu à notre annonce la veille, de sorte que je n’ai vu sa « candidature » que trop tard. Je m’en excuse auprès d’eux s’ils me lisent.
Après une journée bien remplie dans Paris : magasins pour ma chérie, visites, promenades, nous nous reposons à notre hôtel avant la soirée.
L’heure venue, nous commençons à nous préparer. Je passe le premier à la salle de bains et m’habille : costume bleu marine, chemise blanche, sans porter de slip pour n’être pas gêné, et pour que ma chérie puisse disposer facilement de ma queue suivant son envie.
Elle prend ma suite et ressort un peu plus tard entièrement nue pour s’habiller. Je connais déjà sa tenue puisque maintenant nous avons mis en place ce rituel : quelques jours avant nos sorties, elle me propose des essayages pour que je puisse faire mon choix. Cette fois-ci, j’ai opté pour des bas noirs avec le haut en dentelles, ses cuissardes noires à talons hauts, une petite jupe noire moulante, extensible, très courte, type « wet look », un bustier à fines bretelles que j’ai pris la précaution d’allonger au maximum pour arriver juste au-dessus des tétons. Bien sûr, elle ne porte ni string ni soutien-gorge comme d’habitude et de plus en plus souvent maintenant, quand nous sortons au cinéma ou au restaurant.
Une fois habillée, elle retourne se coiffer et se maquiller et lorsqu’elle ressort, elle est magnifique, elle me sourit et m’annonce pour la première depuis que nous sortons en club : « je suis prête ! ».
Je suis ravi mais surpris de cet enthousiasme, elle d’habitude plutôt très réservée et même un peu stressée au moment de sortir, se remémorant des soirées parfois pas très réussies (voir mes précédentes contributions). Je me dis que ce soir, tout commence bien.
Elle complète sa tenue d’un blouson perfecto en cuir noir et pour finir d’un imperméable par-dessus, pour la discrétion.
Nous sortons de notre hôtel. Sur l’avenue, en ce début de soirée à la douce température, le jour décline, mais il y a encore pas mal de passants. Personne ne peut toutefois soupçonner sa tenue sous son imperméable.
Lorsque nous tournons à droite dans la rue, celle-ci est bien moins fréquentée. Ses talons résonnent sur le trottoir, je la tiens par la taille à ma droite, et il me vient alors une idée.
Il nous reste deux cents mètres environ à parcourir lorsque je l’arrête pour lui dire d’ouvrir son imper et de mettre sa main droite dans la poche de son perfecto.
Elle : « tu crois ? »
Elle hésite, regarde le trottoir devant nous, désert, puis devant mon regard, se décide. Elle ouvre son imper et rabaisse sa jupe qui était déjà un peu remontée. Je passe à mon tour mon bras droit sous l’imper également et nous poursuivons notre progression, elle est maintenant à la vue de n’importe qui. Finie la discrétion !!
Comme un fait exprès, nous avions à peine fait vingt mètres que deux couples sortent d’un immeuble. Ils nous dévisagent et je vois bien le regard des hommes sur ma chérie. Nous les croisons et poursuivons.
Un peu plus loin, nous croisons aussi un homme seul qui a également le même regard à la fois étonné et amusé et qui achève clairement de la déshabiller des yeux mais heureusement s’abstient de toute remarque.
Quelques pas plus loin, elle m’interroge : « tu les as vu, j’ai l’impression d’être une pute ! »
Dans les moments propices, je sais qu’employer des mots crus l’excite énormément.
Moi : « absolument ma chérie, ce soir tu es ma petite putain adorée, …tu le sais ? »
Elle, après quelques secondes : « oui ! »
Moi : « dis-moi ! »…
Elle hésite, puis… : « ce soir je sais que je dois faire la putain pour ton plaisir »
Moi : « et pour ton plaisir à toi aussi, non ? »
Elle : « oui, bien sûr, évidemment, j’espère juste que la soirée va bien se passer. Mais je te rappelle que si je trouve quelqu’un de bien, à mon goût, je peux partir avec lui et te laisser en plan… »
Moi : « comme tu veux si tu en as envie ».
Nous arrivons finalement au club, on s’installe au bord de la piste de danse, on profite du buffet, on discute on échange sur les couples présents, elle admire la robe de celle-ci, les chaussures de celle-là. Caresses et baisers contribuent à faire monter la température. Lorsque finalement je lui demande d’aller chercher les desserts, je lui rappelle de bien se baisser en avant au retour pour poser les assiettes. Elle part avec un sourire entendu et s’exécute au retour.
Je sais que dans cette position, on peut apercevoir sa fente et constater qu’elle ne porte rien dessous. Les deux couples en face de nous nous adressent un sourire entendu montrant qu’ils n’ont rien manqué du spectacle.
Elle : « c’était comme tu veux ? »
Moi : « tu es parfaite »
Nous continuons à échanger sur nos prochains projets de voyage lorsque le son de la musique s’élève d’un coup, annonçant le début de la soirée. Quelques hommes seuls arrivent déjà et parcourent le club en regardant ouvertement les couples présents, à l’affût. D’autres restent au bar. Il y a quand même une bonne affluence.
A fur et à mesure, la piste de danse se remplit et après une dizaine de minutes, il y a beaucoup de monde à danser et l’ambiance est chaude.
Elle : « tu viens danser ? »
Je ne suis pas un grand danseur mais elle adore çà et ce soir, au vu du début de soirée, je ne peux rien lui refuser. Je me lève en même temps qu’elle et nous fendons le groupe des danseurs pour nous retrouver face au grand miroir mural.
Nous dansons quelques instants l’un en face de l’autre, regardant aussi les autres danseurs autour de nous. Certains sont déjà très entreprenants et sans équivoque.
Lorsqu’à un moment ma chérie me tourne le dos et fait face au miroir, je m’approche d’elle et me colle dans son dos, les mains en haut de ses hanches. Nous ondulons ensemble, elle regarde son reflet, satisfaite, et me dit, sentant mon érection au travers de mon pantalon : « eh ben… ça te fait de l’effet ! ».
Moi, prenant ses mains et les posant le long des jambes en haut de ses cuisses, je lui dis à l’oreille : « relève ta jupe ! ».
Elle ne dit rien mais après quelques secondes, toujours face au miroir, toujours en dansant, les mains sur les côtés, elle commence imperceptiblement à la remonter. La dentelle de ses bas était déjà visible et on aperçoit maintenant la peau blanche du haut de ses cuisses.
Elle a un temps d’arrêt mais je lui dis de continuer. Malgré tous les danseurs autour, nous sommes seuls au monde. Elle reprend et poursuit son mouvement très lentement et ce n’est que lorsque tout son sexe, entièrement épilé, est dégagé et bien en vue, qu’elle s’arrête et redescend sa jupe. Elle se retourne vers moi, m’adresse un sourire à tomber et me dit : « ça t’a plu ? ».
moi : « tu es superbe ! ».
Après un long baiser fougueux, nous continuons à onduler, collés, dans les bras l’un contre l’autre, dans une danse plus que suggestive.
A mon tour je mets mes mains sur ses fesses. Elle est toujours dos au miroir, alors je commence à remonter sa jupe. Elle s’en rend compte et tourne la tête pour voir son reflet. On voit le haut des bas et la naissance de ses fesses. Elle ne proteste pas et je poursuis, moi aussi, le plus lentement possible. Ce n’est que lorsque j’arrive en haut des fesses qu’elle se retourne une nouvelle fois pour se regarder puis, me faisant face, rabaisse sa jupe avec un sourire en me disant : « tu exagères ! ».
Je n’en reviens pas. Il n’y a encore pas si longtemps, elle m’aurait jeté un regard furieux à cette tentative et serait immédiatement retournée s’asseoir.
Là, elle est toute sourire, câline, et se serre contre moi indiquant son envie. Je la serre fort contre moi.
C’est à ce moment que je remarque un homme à côté de nous. Il danse en nous regardant et n’a rien dû manquer de cette exhibition. Ma chérie ne l’a surement pas remarqué dans son dos. La petite cinquantaine environ, il présente bien. Il me regarde avec insistance, m’interrogeant du regard et je crois comprendre qu’il attend un signe avant d’entreprendre quelque chose.
Je lui fais un léger signe de tête approbateur, imperceptible pour ma chérie, en même temps qu’un regard et un clignement des yeux qui approuvent.
Il s’approche doucement derrière elle et, tout en continuant à danser, il est clair maintenant qu’il effleure les fesses de ma chérie avec ses mains.
Elle, elle ne montre rien et ne réagit pas.
Lorsqu’il pose ses mains sur ses hanches, elle m’attire vers elle en me disant : « ça y est !! ».
Elle est maintenant serrée en sandwich entre nous deux et celui que nous appellerons Jean ne tarde pas à avoir les mains très baladeuses tout d’abord vers ses seins, puis ses fesses, ses épaules et ses hanches. Elle se laisse faire les yeux à demi clos.
Il s’hasarde même à un petit baiser dans le cou en la complimentant sur sa tenue et lui disant qu’elle est ravissante. Ma chérie le remercie et lui adresse un sourire. Manifestement, elle semble le trouver à son goût.
Nous bougons à peine, toujours plus serrés, et je sens, plus que je ne la vois, la main droite de Jean qui s’abaisse et passe derrière elle. Inquiet d’un précédent épisode malheureux et d’un mouvement trop brusque ou trop insistant pour forcer le passage, je m’incline vers elle pour lui dire ; « écarte bien tes jambes ».
Elle me réponds aussitôt : « c’est déjà fait depuis un moment ».
Effectivement, glissant à mon tour ma main entre ses cuisses, elle les avait bien écartées et je touche alors les doigts de Jean qui m’avait devancé et qui la caressait déjà. Je retire ma main.
Elle lève les yeux vers moi et m’adresse un sourire. Je n’ai pas d’autres choix que de me reporter alors sur ses seins pour lui titiller les tétons. Les yeux fermés, elle se laisse faire toute abandonnée à ces quatre mains qui la caressent partout.
Elle a maintenant la jupe relevée, les fesses plus qu’à moitié découvertes, le bustier baissé et un sein entièrement découvert.
Après plusieurs minutes de ce manège, je vois Jean qui porte ses doigts à sa bouche puis sa main disparait à nouveau. Il se passe quelques secondes et je sens ma chérie légèrement tressauter. Toujours inquiet, je lui demande : « il t’a fait mal ? ».
Elle : « non non, pas du tout, ça va….. il va doucement ».
Puis, m’attirant à nouveau….. « il m’a mis un doigt dans le cul ».
Je n’en reviens pas de son attitude, elle, d’habitude si réservée, très BCBG, s’abandonne complètement aux mains de cet homme. Je ne peux résister à glisser ma main à nouveau entre ses jambes qu’elle écarte encore pour sentir la main de Jean avec manifestement son majeur absent au milieu. Je retire ma main pour la reposer sur sa hanche.
Après une ou deux minutes, elle me repousse un petit peu, fait un mouvement pour se dégager, me fait un sourire et se retourne d’un coup, me tournant le dos pour se mettre dans les bras de Jean et reprendre une danse très lente. Entretemps, la piste de danse s’est vidée. Il n’y a plus qu’un ou deux couples et deux hommes.
Je m’approche pour la serrer à mon tour par derrière et lui mets une main aux fesses ce qu’elle adore, puis la prend par les hanches pour onduler avec eux. De son coté, Jean profite maintenant de ses petits seins qu’il excite sans ménagement et dont les pointes durcies et dressées témoignent de l’état de ma chérie.
C’est elle même qui, à ce moment, enlève alors mes mains de ses hanches et en m’adressant un regard me repousse clairement au point que je dois faire un pas en arrière.
Elle m’a détaché d’eux. Je fais quelques pas en arrière pour les regarder quelques instants puis m’appuie contre un mur pendant qu’ils continuent à onduler sans aucune équivoque, les mains de Jean parcourant tous les endroits possibles. Ce manège dure deux ou trois minutes, ma chérie m’ignore complètement et laisse faire. Puis je vois Jean s’arrêter et glisser quelques mots à ma chérie.
Elle me cherche du regard, me trouve, me sourit mais je ne vois pas sa réponse et ils partent vers le fond du club.
Je les suis à quelques mètres en même temps que deux autres hommes et un couple.
Ils s’arrêtent devant la chambre qui permet de s’isoler tranquille.
Je n’entends pas mais je vois bien qu’une discussion s’engage avec les deux autres hommes. Jean s’incline vers ma chérie puis fait un signe négatif aux deux hommes et ils entrent tous les deux dans la chambre en refermant la porte. Je m’assois sur une banquette à proximité.
Il se passe bien plus d’une dizaine de minutes quand, n’en pouvant plus, je me décide à bouger. Je tente d’entrer dans la chambre mais la porte est fermée à clefs. Je passe alors un regard par la vitre teintée qui, en s’approchant tout près, permet de voir à l’intérieur.
Le spectacle me provoque aussitôt une poussée d’adrénaline et l’érection qui va avec.
Dos à la vitre, couchée sur lui, je découvre ma chérie en train de chevaucher Jean dont le membre de belle taille va et vient en elle. Sa jupe relevée sur ses hanches, elle s’empale à bon train et sans retenue montrant à qui voudrait la voir comment elle en profite. Elle a gardé ses bas et ses cuissardes et la blancheur de ses fesses ressort encore mieux dans cette pénombre. Un couple qui approche et regarde en même temps que moi me demande : « vous la connaissez ? ».
Moi : « oui, c’est ma femme ».
Lui : « félicitations, elle a l’air de bien en profiter et elle a un cul splendide ». J’apprécie le compliment. Je suis en admiration.
Je ne reste pas plus longtemps et retourne m’asseoir, puis finalement je décide de faire un tour des coins câlins ou beaucoup s’affairent sans retenue également dans tous les scénarii possibles.
Mon esprit ne fait que penser à ma chérie avec la dernière vision que j’ai eue.
Il doit s’écouler ainsi une dizaine de minutes avant que je ne revienne devant cette fenêtre. Cette fois, je trouve ma chérie à quatre pattes, toujours dos à la fenêtre, en train d’être prise en levrette. Jean s’active franchement et on voit qu’il la pilonne sans ménagement. Puis le rythme ralentit. Il s’arrête et je vois ma chérie qui s’alonge sur le ventre.
Jean reste quelques instants sur les genoux, manifestement pour reprendre son souffle, peut-être elle aussi. Elle se tortille pour tenter de se dégager. Mais Jean la reprends par les hanches et la fait se redresser dans la même position.
Je devine qu’il porte la main à sa queue et manifestement il l’enfile à nouveau. Je la vois passer ses pieds, toujours avec ses cuissardes, derrière les genoux de Jean pour mieux s’accrocher et le pilonnage reprends de plus belle.
Malgré la musique je crois entendre ses cris et ses gémissements.
Une nouvelle fois, je retourne m’asseoir sur la banquette proche. Je ne tiens plus en place.
Il se passe encore entre cinq et dix minutes avant que la porte ne s’ouvre. C’est elle qui sort en premier, elle se retourne et je la vois l’embrasser sur la bouche. Quand elle s’écarte, elle me voit, me fais un signe et radieuse avec un grand sourire, viens vers moi.
Moi : « alors ? »
Elle : « ouf, c’était chaud. Je ne tiens plus debout, j’ai les jambes qui flageolent, il faut que je m’assoie, allons prendre un verre ». Dès que nous nous asseyons, je ne peux m’empêcher de lui redemander : « alors ? »
Elle : « quand nous dansions tous les deux, à un moment, il m’a dit qu’il bandait, ce que je sentais parfaitement bien, et qu’il avait envie de me baiser… J’ai répondu quand tu veux et il m’a emmené. Deux hommes ont voulu venir mais j’ai refusé. J’ai bien senti que quelqu’un essayait de rentrer dans la pièce et je me suis douté que c’était toi mais j’étais trop occupée pour ouvrir. Il m’a mis à genoux pour que je le suce puis il m’a allongé pour me rendre la pareille et ensuite il n’a pas arrêté ».
Après qu’elle ait retrouvé un peu de lucidité, on finit nos verres et je lui dis « on refait un tour ? ». Elle me répond : « si tu veux mais je ne prends personne d’autre, je suis sûr que demain j’aurais du mal à m’asseoir ».
Elle me sourit, puis … « il m’a défoncé ».
Dans un salon, nous retrouvons finalement par hasard Jean en train de caresser une femme, les jambes grandes ouvertes dans les bras de son mari.
Je m’assois sur la banquette à proximité. Ma chérie, au vu de mon état, sort ma queue. Il nous reconnait. Elle lui sourit avant de commencer à me sucer. Je vois bien qu’il lui rend son sourire. Il ne faut vraiment pas longtemps pour que j’explose à grosses doses sur le bas de son visage et ses seins.
Je tends un mouchoir à ma chérie, elle se relève et je fais de même. Elle veut rentrer maintenant, épuisée.
Je manque l’occasion de demander les coordonnées de Jean. S’il se reconnait dans ce récit, j’aimerai beaucoup qu’il n’hésite pas à me contacter.
Nous rentrons à notre hôtel dans la douceur de la nuit et cette fois l’imper directement sous mon bras. Le veilleur de nuit nous adresse un regard plein de sous-entendus et je ne manque pas de glisser la main sous la jupe en attendant l’ascenseur. Ma chérie ne dit rien, se laisse faire, et nous montons nous coucher.
Cette soirée restera à jamais dans nos esprits comme LA soirée de l’éveil et du lâcher prise et l’été qui suivra verra bien d’autres aventures toutes plus aussi chaudes les unes que les autres, à la plage, dans les dunes, en voiture, en vélo…
Ma chérie est libérée, épanouie, sereine, radieuse.
Depuis, finies les discussions houleuses et parfois violentes des débuts, finis les débats interminables sur ce qui est normal et ce qui ne l’est pas, sur ce qu’on peut s’autoriser ou pas. Nous avons une complicité de tous les instants, pleine de sourires et de regards entendus suivant les situations, une relation fusionnelle ou chacun anticipe largement les désirs de l’autre dans un respect et une compréhension mutuelle.
En cet automne 2022, malgré le temps maussade, la vie est belle, douce, agréable, pleine de projets, pleine de promesses pour les prochaines sorties et l’été prochain.
Depuis cette fameuse soirée, c’est Le BONHEUR ABSOLU …… !!!!!
Mais le destin nous guette à chaque instant.
Il nous frappe et en quelques secondes nous dévaste et nous anéantit.
La vie devient dure, cruelle, impitoyable. Elle nous laisse sans forces et sans défenses, tout seul, désemparé et désorienté.
Sans aucun signe avant-coureur et malgré une hygiène de vie irréprochable, Ma chérie a été victime d’un accident cardiaque qui lui a été fatal.
Celle pour qui j’aurais déplacé les montagnes, pour qui sans hésitations j’aurais risqué ma vie, pour qui mon seul objectif était de la combler et de lui donner tout le bonheur et les plaisirs possibles, Mon unique amour depuis près de 45ans, La femme de ma vie pour toujours, s’en est allée…
Ecrire ces quelques lignes me permet de la faire revivre un peu, bien qu’elle soit constamment présente dans mon esprit.
Alors vous tous, ne remettez pas à plus tard les signes d’amour que vous pouvez donner à votre chéri(e). Ne laissez à personne vous dire ce que vous pouvez faire ou ne pas faire. Profitez à fond de chaque instant de la vie car elle peut malheureusement parfois être trop courte.
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