Pour ceux et celles qui connaissent, l’aire de Slins (en direction de Hasselt) est propice aux rencontres nocturnes.
En général nous ne "pratiquons" pas de cette manière ni dans ce genre d’endroit, mais faute de grives...

C’était en automne, en octobre 201., cela faisait presque deux mois que ma petite chérie n’avait plus eu d’amant et, pour elle comme pour moi, ça faisait long. Mais nous avions été fort accaparés les semaines précédentes, travail et famille nous avaient pris tout notre temps.
Bref, il nous fallait de la baise ! Et vu notre état de manque, surtout celui de Valentine, cela devenait une urgence. Durant quelques jours nous avons tenté la séduction avec des hommes au parc et dans des galeries commerciales mais, malgré ses efforts vestimentaires et ses regards appuyés, Val ne récolta que des regards appuyés.
Alors je lui ai proposé une virée nocturne sur le parking de l’aire de Slins. Elle me répondit qu’elle était ouverte à n’importe quel endroit et/ou situation du moment qu’elle se ferait baiser le cul.
Juste il y avait un problème, aucune garantie qu’un homme dans ses goûts soit présent. Elle accepta donc de descendre ses critères à 50 ans si il le fallait, mais pas moins.
Le jeudi soir nous nous mîmes en route et arrivèrent sur l’aire vers les 22h30.
L’endroit est assez calme, un petit bois, des fourrés et quelques tables-bancs garnissent ce lieu. Sous son manteau, Val ne portait que sa nuisette transparente lui arrivant ras les fesses. Des hauts talons finissaient sa tenue qui ne comprenait ni SG ni petite culotte ou autre string.
3 camions et une tapissière étaient stationnés, 2 hommes, assis, mangeaient de bon appétit tout en riant assez bruyamment.
Nous étions stationnés à +_ 15 m d’eux et, de là, avons jugé qu’ils devaient avoir plus des 50 ans requis par Val. Nous avons patienté quelques minutes pour nous assurer de la tranquillité du lieu puis sommes sortis de notre voiture pour aller nous asseoir à une table-banc (je ne sais comment on dit) assez proche d’eux.
Il ne faisait ni chaud ni froid, une température acceptable pour que Val puisse les provoquer, alors, comme si de rien n’était, elle ôta son manteau en ayant l’air de ne pas se soucier de la présence des 2 lascars.
J’étais assis face à elle et je tournais le dos à ses hommes, à mi-voix Val me disait leurs réactions, tandis que je lui caressais les seins.
Val : - Ils me regardent. Ils parlent entre eux sans me quitter des yeux.
Elle aussi les regardait et je la vis leur sourire.
Le spectacle leur plaisait, la suite allait les ravir !
Délicatement j’ai fait tomber une bride de sa nuisette, puis l’autre. Sa jolie poitrine maintenant nue ne pouvait que les satisfaire, mais ils restaient à leur place.
Allaient-ils comprendre nos messages subliminaux et nous rejoindre ? Peut-être en fallait-il plus ? Il nous fallait donc être plus précis, ce que nous avons fait.
J’ai dit à Val de se lever, d’enlever entièrement sa nuisette puis de se coucher sur la table tout en laissant prendre ses jambes bien écartées.
Une fois qu’elle fut dans cette position j’ai regardé les deux gars et, d’un mouvement de tête, les ai enjoint à venir près de nous. Ils ne se sont pas fait prier, ni pour venir ni, une fois là, pour commencer à caresser ma petite femme.
Tout se passait dans le silence le plus complet, ils lui suçaient les tétons et la branlaient sensuellement.
Lorsque, tout à coup, les phares de la tapissière s’allumèrent !
Une petite panique s’empara d’eux, mais de nous également.
La tapissière démarra aussitôt, mais arrivée à notre hauteur elle s’arrêta. Un homme en descendit, il était assez vieux (je dirais facilement plus de 70 ans, très gros et vraiment moche). Nous avons appris à la fin que les meubles qu’il transportait appartenaient à sa fille et qu’il les conduisait à son nouvel appartement.
Valentine s’était redressée et était assise sur la table-banc, les deux gars s’étaient légèrement reculé, nous étions tous les quatre craintif de ce qui allait se passer. Mais l’homme, sûr de lui, s’est approché de nous et, en me regardant, m’a demandé si lui aussi pouvait "toucher madame".
Un grand soulagement nous a tous envahi, je lui ai répondu qu’il pouvait se joindre à nous et que ça n’en serait que mieux encore.
A suivre,
Yanis