Karen et Michel avec Frantz
Par
tyroler
le 25 juillet 2023
Dans
Expériences de candaulistes
Caro va suivre avec un gang bang,
Son 1er Trio terminé, et de retour à la maison, je demandais à Caro :
Pour cette première expérience de trio avec Michel, j’aimerai savoir qu’est ce qui t’a faite jouir le plus :
1/quand Michel t’a baisée,
2/quand moi, je t’ai sodomisée,
3/ ou quoi d’autre,
Et Caro m’a répondu après un petit moment de réflexion :
Quand Michel m’a baisée, ça m’a beaucoup plu, mais je n’ai pas jouis pour autant même si ça me plaisait beaucoup. Mais sur le moment j’étais très stressée par le fait qu’en même temps, tu allais me prendre à ton tour entre mes fesses. Tu sais que j’aime aussi la sodomie en DP, mais lorsque tu le fait en trio à la maison, c’est avec le vibromasseur qui est plus fin que ta queue. Toi tu fais pour ainsi dire le double. Alors je m’imaginais, d’après ce que j’avais entendu dire, que c’était TRES douloureux. Mais tu as pris tout ton temps et tu m’as préparée. D’abord avec un doigt, puis deux et tu as mis beaucoup de lubrifiant. Et lorsque je t’ai sentie forcer mon petit fripé, oui j’ai senti une douleur. Et même si elle était forte, elle ne l’était pas aussi forte que prévue. Alors j’ai attendu, pour voir et être sûre. Tu as fais attention, et la douleur ne s’aggravait pas. Surtout que Michel qui respirait très fort à mes oreilles ne bougeait pas du tout, comme si lui même recherchait les sensations de cette sodomie. Alors j’ai préféré en être sûre et j’ai forcé pour que tu rentres d’un coup et le plus profond possible. Et là, la douleur s’est prolongée sans pourtant augmenter. Alors, j’ai demandé à Michel de remuer et j’ai pu enfin sentir ma douleur diminuer au fur et à mesure que mon plaisir augmentait. Je pense surtout qu’à ce moment là, j’ai réalisé que je me faisais prendre par deux mecs et que pour faire ça il fallait vraiment que je sois une sacrée grosse salope. Alors tous les interdis sont remontés dans ma tête. J’avais réussie à passer au dessus de toutes ces interdictions et j’étais effectivement une grosse salope et en plus, C’ETAIT BON, INTERDIT MAIS TROP BON. Et là j’ai senti le plaisir monter et m’envahir. Grâce à qui ? Je ne sais vraiment pas. A Michel qui bougeait dans ma foufoune, a toi qui venait de t’enfoncer tout au fond de mon cul, ou simplement a moi qui venait de braver un interdit et devenait, ainsi, une belle grosse salope. Je ne sais pas, mais là, j’ai jouis et c’était vraiment fabuleux. C’est pour ça que je vous ai demandé de prolonger ce plaisir nouveau et de rester en moi.
Je t’ai déjà raconté que mes parents et grands-parents, très cathos, m’ont élevés dans le pur esprit catho. J’ai même fait 4 ans d’internat dans une école privée tenue par des bonnes sœurs et curés. Ils avaient dans l’idée de me faire nonne. Dans cet internat ou il n’y avait que des filles. On avait toutes en moyenne entre 13 et 17 ans, tu comprends que le soir, dans nos chambres, on se gouinait sans problème. Et lorsque je suis sortie de l’internat, j’ai continué mes études dans un lycée normal. A 17 ans j’avais déjà une forte poitrine. Je faisais du 95/C. Tous les garçons voulaient sortir avec moi pour non seulement me baiser mais aussi me caresser les nichons. Alors, me laisser caresser les nénés, j’en était fière et ça me plaisait. Mais baiser, mon éducation me l’interdisait. Alors pour "compenser", je faisais des pipes. Même que mon surnom était la pompeuse. Mais ça m’était égal, parce que les autres filles étaient jalouses car les garçons s’intéressaient surtout à mes nénés et ils me protégeaient. Jusqu’à ce que je me rende compte que ces petits copains m’exhibaient lorsque je les suçais ou me louaient a un copain pour une pipe à 5 francs. Pour finir, j’ai été dépucelée par Pierre qui avait 28 ans et moi 18 mais dont j’étais vraiment amoureuse. J’étais amoureuse surtout parce que j’étais fière d’avoir été choisie par mon premier adulte. C’était un ami de mes parents et je le provoquai lorsqu’on allait chez lui qui avait une piscine. Je me changeais le maillot devant lui pour le provoquer. Et sa femme ne disait rien vu qu’elle était la maîtresse de mon père et lui l’amant de ma mère. Il m’a invitée chez lui, un soir ou sa femme était allée rendre visite à sa sœur pendant deux jours. J’avais mis une mini jupe très très courte et un chemisier quasi transparent sans soutif. Une petite veste d’été piquée à ma mère pour passer inaperçue. Lorsque Pierre a ouvert la porte, j’avais sorti la petite veste, il m’a vue à moitié à poils, il m’a très vite faite entrer. Il ne pouvait pas quitter mes cuisses des yeux. Ce soir là, il m’a dépucelée. Donc après la mère il baisait maintenant sa fille. Mais ça n’a pas duré. Et voilà qu’à son deuxième rencard, comme par hasard, il y avait aussi son cousin. Et là, c’est moi qui suis tombée amoureuse de ce gars, très beau garçon au corps athlétique mais surtout de mon âge : 20 ans. Je n’ai même pas été gênée lorsque Pierre m’a déshabillée devant son cousin pour pour lui montrer ma "fabuleuse poitrine". Je l’ai laissé l’autoriser à venir en constater la lourdeur et la fermeté ce qui lui a permis de me déshabiller totalement sous prétexte que j’étais trop soumise pour refuser. Pour me "venger" lorsqu’il lui a proposé de me baiser à son tour, j’ai dis à Pierre que si cela se faisait, je resterais avec Jean et que se serait finit avec lui. Et c’est ce qui c’est passé. C’est après que Jean m’ait demandé de "solder" une dette avec des joueurs de poker que j’ai rencontré Frantz à la piscine ou il était surveillant de baignade. Ma liaison avec Frantz a durée 3 ans jusqu’à notre trio avec Michel. J’ai continué avec Michel alors que Frantz tombait amoureux de Karen. Voilà donc mon histoire jusqu’au jour ou j’ai préféré modifier un gang bang pour un quatrio en prétextant que cinq éventuelles sodomies pouvaient être mal acceptées, mais que trois amants me seraient plus agréables autant que plus acceptables. C’est donc ainsi que, baisée par Frantz, sodomisée par Michel je faisais une pipe à Paul. Et après une "tournante", de 2 heures je me suis retrouvée inondée de sperme de la bouche jusqu’aux cuisses et trois amants exténués et mes fesses ravagées. Mariée avec Michel, nous avons continués les trios et même les quatrios de temps en temps ou même Karen participait vaillamment. C’était des sacrées soirées.
Récit de Frantz, Caro et Michel.
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