Bonjour à toutes et tous, candaulistes depuis peu , nous vous proposons de vous conter notre démarche vers cette forme de sexualité. Nous ne sommes pas écrivains et vous demandons d’être tolérant vis à vis de notre style et de nos fautes de français. (n’est pas Henri Miller ou Anaïs Nin qui veut.)
Tout cela a commençé lors du mariage d’une nièce de mon épouse. A l’époque notre sexualité était quelque peu en berne ( routine, baisse de la libido )Nos relations sexuelles étaient plutôt épisodiques. Nous nous aimions toujours mais cela manquait singulièrement de "peps". Toujours coquette Véro aimait s’habiller avec élégance et un compliment n’était pas pour lui déplaire, mais cela n’allait pas plus loin ;bref une vie de couple ordinaire jusqu’à ce mariage. Véro portait une magnifique robe bleu nuit courte devant (juste au-dessus du genou) et longue derrière avec un léger décolleté dégageant ses épaules ainsi que des escarpins assortis ; elle était divine.
Lors du vin d’honneur nous avons sympathisé avec un monsieur d’un certain age (environ 20 ans de plus que nous) grand, les cheveux gris argentés, la peau mate,très classe et cultivé .Très vite nous nous sommes découverts des intérets communs pour la littérature et la musique.
Puis nous avons été invités à entrer en salle afin de nous restaurer. Des tables rondes de 6 étaient disposées sur le pourtour de la salle et un dj s’occupait de la sono ; le hasard a fait que nous nous somme retrouvés à la même table que Lucien avec qui nous avions fait connaissance.Lucien était d’origine martiniquaise ,il était venu en métropole à l’âge de 3 ans suite à une adoption ; Lucien était un ami d’enfance du père du marié, veuf depuis 2 ans il était venu seul et sa compagnie était des plus agréables. Vint le moment ou les mariés ouvrirent le bal par une valse, tradition oblige.
 Vous ne dansez pas ? demanda Lucien.
 Désolé, je suis pas très doué pour ce genre d’exercice, j’ai comme on dit deux pieds gauches.
 Et toi Véronique tu ne danses pas non plus ?
 Si j’adore .
 Acceptes tu de m accorder cette danse ? Si ton mari est d’ accord naturellement.
 Pas de souci, il aime me voir danser.

Alors Lucien m’ entraina sur la piste où de nombreux couples évoluaient déjà. Mon cavalier me fit valser comme rarement j’en ai eu l’occasion ; dés les premiers pas nous avons fusionné. Il me réserva toutes les danses car il n’avait pas dansé depuis plus de deux ans et cette soirée le ravissait.
De temps en temps nous rejoignions notre table pour boire un peu de champagne et tenir compagnie à Arnaud.
Au fur et à mesure je sentais mon partenaire un peu moins distant, sa main descendait le long de mon dos et je sentais la châleur de son corps à travers ma robe ; d’habitude je repousse légèrement mon partenaire et je lui fait comprendre que le frotti -frotta ne m’intéresse pas, mais là aucune réaction je laissais faire .Lucien m’avoua prendre beaucoup de plaisir à danser avec moi et je rougis quand il me chuchotta :
 Je ne pensais pas passer une soirée en si charmante compagnie
et il ajoutait :
 Véronique tu es très désirable ce soir et je t’avoue que tu me fais beaucoup d’effets.
Et comme je bafouillais il continua :
 Si cela te gène nous pouvons arrèter là ,je comprendrai, mais si tu acceptes de continuer à danser je te promets de ne pas être inconvenant et de ne pas abuser de la sitution.
 Sentir la chaleur de ton corps suffit à mon bonheur.
A mi-voix je lui ai répondu :
 Alors dansons.
Encore aujourd’hui j’ai du mal à comprendre ma réaction Etait- ce l’effet du champagne, la différence d’âge et puis c’était fait avec tant de discrétion et délicatesse que je nai pas osé le décevoir.Je prenais du plaisir à être dans ses bras .Une douce châleur envahissait mon corps, j’avais l’impression que ma poitrine allait exploser, mes tétons devenaient durs,mon sexe était tout humide. j’étais dans les bras d’un homme que je connaissais à peine , il bandait dans mes bras,j’étais excitée au point de mouiller ma culotte et tout cela en public à quelques mêtres de l’homme que j’aime. Ce mélange de sentiments contracdictoires m’échauffait terriblement. De temps en temps je regardais Arnaud qui était en grande discussion avec un couple. Nous retournions à la table nous raffraichir échangions quelques mots avec Arnaud qui semblait ne rien remarquer.
Vers 02h00 Lucien nous salua en souhaitant nous revoir pour le brunch , je restais avec Arnaud, puis comme la soirée s’éternisait je lui proposais de rentrer à l’hôtel à côté.
Arnaud me demanda si j’étais contente ma soirée ; lui avait passé un agréable moment à parler Blues et romans noirs americains. avec le couple voisin.
Dans l’ascenseur, n’y pouvant plus je me collais à Arnaud pour lui dire :
 Je t’aime Chaton et l’embrassais à pleine bouche ; lui un peu surpis un peu surpris :
 Minouche je te sens bien amoureuse.