Voilà c’est fait nous avons accepté l’invitation de Sophie qui nous a dit qu’elle avait également convié un ami afin que Véro soit pleinement satisfaite.
Pour notre deuxième rencontre Véro opte pour la guépière rouge et noire seins nus et une robe fleurie très sage, elle souhaite surprendre nos hôtes ; Sophie nous accueille simplement vétue d’un kimono noir transparent qui ne cache rien de sa plastique, elle est magnifque. Elle nous propose d’attendre Léo dans le salon avant de commencer nos frivolités ; Sophie s’assoit dans un fauteuil Chesterfied, Véro et moi nous nous installons sur le canapé. Devant nous une table basse de style anglais .Notre hôtesse nous propose des boissons.
Léo et Sophie se sont connus à la fac ( il est laborantin) et sont restés en relation par amitié et de par leur profession.
Nous nous levons à l’arrivée de Léo ; bise,poignée de mains, la trentaine, brun, pas très grand, un léger embonpoint, Léo nous est d’emblée sympathique. Après avoir fait connaissance Sophie propose de passer aux choses sérieuses. Ensuite nous relacherons la pression autour d’un buffet froid ; cela vous convient ?
Sophie et Léo occupent chacun un fauteuil.
 Arnaud tu es toujours ok pour m’offrir ta chérie et être le spectateur privilégié de ses turpitudes.
 Oui, nous en avons déjà parlé, en la voyant ainsi, je me sens quelque peu humilié mais fier d’avoir une épouse qui inspire tant de désir. Je sais que c’est ce qu’elle recherche, que ce genre de situation la comble de bonheur, alors oui je suis content de la savoir heureuse, peu importe la manière. Plus elle est désirable et plus elle m’excite.
 Véro pendant ces séances tu m’appelleras Madame, tu me vouvoieras et tu baisseras le yeux.
 Oui Madame.
 Approche, je vais te mettre un bandeau sur les yeux. Ainsi tu ne verras rien, tes autres sens seront exacerbés, tu interpréteras le moindre bruit, tu frissoneras au moindre attouchement. Arnaud tu la dirigeras, c’est toi qui va me la donner, c’est toi qui va la livrer à Léo, tu seras à l’origine de ce qui lui arrivera.
Je ressens une boule au ventre, que va-t’il advenir, ne sommes nous pas allés trop loin, après tout nous les connaissons à peine. A une pression de la main de Véro, je comprends que Minouche a envie de cette expérience et a confiance.
- Déshabille ta chérie que nous puissions profiter de ce joli corps.
Je retire la robe après l’avoir déboutonnée, Minouche apparait en bas et guepière, les seins nus et sans culotte totalement impudique, elle esquisse un sourire. Une petite pointe de jalousie traverse mon esprit à l’idée qu’ils vont profiter de mon épouse, mais n’est-ce pas ce que nous recherchons.
Sophie la félicite, prend son visage entre les mains et l’embrasse avec passion, passe une main sur son sexe.
 Mais tu es déjà toute mouillée et la soirée vient d’à peine commencer. Arnaud j’espère que tu apprécies la chance d’avoir une si belle garce, en tout cas merci de me l’offrir pour cette soirée.
 Tiens-toi jambes écartées, les bras croisés derrière le dos.
La jeune femme tourne autour de sa conquête, palpe les seins, pince les mamelons qui durcissent, frotte la pointe de ses petits seins contre le corps de Véro la serre contre elle.
 Tu m’excites, viens me lécher, branle moi, fais moi jouir.
Minouche n’attendait que ça, j’entends les bruits de succion.
Les deux femmes sont maintenant couchées en 69 sur l’épaisse moquette, Véro nullement gênée par le bandeau s’active sur le sexe et le cul de la jeune femme.
Epuisées, elles reprennent leur souffle. puis.
 Arnaud prend ta charmante épouse par la main et aide la à monter sur la table basse.
Je guide donc ma chérie jusqu’à la table et elle en profite pour me dire combien elle est heureuse.
 A genoux fesses sur les talons écarte tes cuisses. Tu m’as dit que tu aimais l’exhib, ne te gênes pas, caresse ta jolie chatte.
Arnaud rejoins le canapé et profite du spectacle.
 N’est-elle pas mignonne ?
Sophie se lève et s’approche de Véro, jambes écartées elle plaque son sexe sur sa bouche.
- Tu t’es assez branlée, occupe toi de moi, je veux encore jouir sous ta langue et tes caresses.
Toujours à genoux Minouche serre les cuisses de la jeune femme, lui caresse les fesses, je devine la langue sur la vulve, puis Sophie se retourne, se penche en avant les fesses tendues vers Véro,
 Maintenant tu vas lécher mon petit cul, ton gentil mari va ouvrir mes fesses que mon oeillet sente bien ta langue.
Arnaud écarte bien mes fesses et regarde comme elle joue avec sa langue.
Vu la manière dont elle frétille, ma chérie lui donne toute satisfaction, entre deux halètements elle demande d’introduire un doigt dan son joli trou.
 Vas-y fais moi le sentir, remue le, oui comme ça, continue, tu sens comme mon cul serre ton doigt. Garce tu me fais jouir.
Sophie s’éloigne vers son fauteuil tandis que Minouche suce son majeur.
 Tu aimes l’odeur de mon cul ?
 J’aime tout chez vous Madame.
 Tu es une adorable chienne, remets tes mains derrière le dos maintenant à Léo.
Ce dernier se présente devant Véro qui ne voit toujours rien.
 Arnaud présente la verge de notre ami à ta charmante femme je crois qu’elle apprécie les sucres d’orge.
Un peu fébrile, je décalotte le gland et le présente aux lèvres de ma bien-aimée qui s’empresse d’ouvrir bouche pour l’engloutir puis le laisse ressortir, le lèche descend vers les bourses, tout cela mains dans le dos.
 ça suffit, reste à genoux prosterne toi, tête en bas et fesses en l’air, ton cocu va t’ouvrir le cul .
Je rejoins Véro en position , lui saisit les deux lobes que j’écarte fermement ; ce qui me permet de voir à quel point elle est excitée ; Léo vient doigter avec vigueur la chatte toute humide, puis titille son anus. je vois un doigt s’enfoncer dans son sexe et le pouce élargir doucement son oeillet ; Véro se cambre un peu plus, le pouce pénètre dans l’anus, elle commence un mouvement de va et vient, je l’entends gémir.
Jouis ma belle, laisse toi aller, montre à ton cher cocu comme tu t’envoies en l’air.
Il retire ses doigts, me les temps.
Lèche le jus de ta chérie, elle pensait à toi quand elle a joui.
La main est trempée de cyprine.
 Prends le sexe de Léo et présente le pour une bonne sodomie. Je sais que Véro en meurt d’envie, dis le que tu en as envie.
 Oui j’en ai envie.
Oui qui ?
Oui madame.
J’hésite un bref instant et je positionne la verge devant l’oeillet légèrement entrouvert ; Léo saisit les hanches de Minouche, le membre raidi au maximum par l’excitation force doucement mais fermement l’étroit passage. A ce rythme il ne tarde pas à jouir ; après s’être retiré il passe devant Minouche et lui fait sucer son membre encore luisant de foutre et de cyprine. Sophie me demande de bien nettoyer la raie et l’anus de ma chérie.
 Garde tout en bouche, quand tu auras terminé tu feras goûter ce mélange à ta femme. C’est une gourmande.
Ceci réalisé Véro me confie, je t’aime mon chéri pour tout ce que tu fais et acceptes pour moi. Merci.
Pendant tout ce temps, j’ai été surpris par l’autorité naturelle de cette jeune femme blonde aux cheveux courts et au corps androgyne de vingt ans la cadette de Véro et j’ ai l’impression que mon épouse aurait accepté tout ce que Sophie aurait pu lui demander.
Cette dernière déclare la séance terminée, nous nous rhabillons, notre hôtesse revient simplement vêtue d’un pantalon et d’une chemise. A sa demande nous nous dirigeons vers le buffet qui est délicieux. Naturellement la conversation s’oriente sur ce qui vient de se passer. Pour la première fois j’accepte le titre de cocu en expliquant que si je suis cocu comme on dit c’est parce que j’ai la chance d’avoir une femme très jolie qui inspire le désir.
 Tout le monde n’est pas dans ce cas ; certains ne seront jamais cocus et pour cause. Bien des couples pensent à d’autres partenaires quand ils baisent et là il y a tromperie. En ce sens mon épouse ne m’a jamais trompé.
Véro explique qu’elle veut bien être traitée de salope , de chienne mais pas par n’importe qui.
 Oui, lorsque c’est par des libertins je considère cela comme une flatterie, une reconnaissance ; mais non, quand ce sont des pisse-froid moralisateurs et hypocrites. et surtout jaloux des plaisirs que nous nous procurons.
Il se fait tard Léo prend congé ; Sophie nous invite à rester.
 J’ai une chambre d’ami si vous voulez.
 Sophie, je te remercie mais j’aimerai passer la nuit avec toi.
 Et ton mari ?
 Il dormira près du lit comme un bon toutou, n’est-ce pas mon chéri ?
Je ne peux qu’accepter.
Merci mon amour, tu te rattraperas à la maison.
je n’ai pas beaucoup dormi. Sophie et Véro contrairement au début de soirée ont fait l’amour très tendrement et j’ai senti qu’elles avaient de l’affection l’une pour l’autre. C’était plus qu’une partie de jambes en l’air.