"C’est fait" voici l’avis de Madame

Par belize le 13 juin 2014 3
Dans Expériences de candaulistes

J’ai lu le récit de Jean sur votre site ( C’est fait… du 27 mai) si je le trouve très réaliste et sincère, je viens à mon tour vous donner mon ressentit. Nicole

Lorsque mon jean m’a informé de son désir que je me fasse prendre par un homme, mais cette fois sans lui, en gros de le faire « cocu « , j’avoue au début que cette situation ne m’a pas ravie ; je l’aime et si nous faisons des trios, pour moi le faire sans lui était une façon de le tromper et je l’aime trop pour cela. En gros le plaisir sexuel, sans tabou, mais toujours avec lui. Peu à peu, à force d’écouter ses arguments, mais aussi grâce à la lecture de votre site, j’ai enfin consenti d’essayer, sans promesse de résultat probant.

J’ai recherché un homme sur internet, et après plusieurs contacts, un rendez-vous fut pris dans un bar avec mon futur amant ; tenue sage, mais sous-vêtements sexy, pleine d’appréhension et de doute, je me rends à ce rdv, excitée certes, mais la boule au ventre. Finalement le contact est plutôt sympa et je décide d’aller plus loin. Même si l’homme est un peu surpris de ce désir de Jean.

Comme convenu, de la chambre, je l’appelle :
- " il me déshabille, tu vas bientôt être cocu "
et je raccroche. C’est moi qui mené les ébats, et cela m’excite beaucoup. Après une première jouissance, je décroche à nouveau le téléphone.
- " c’est fait mon amour, tu es cocu ; je vais rester un peu avec lui et je laisse mon téléphone ouvert comme cela tu pourras m’entendre jouir. "
Le plaisir est amplifié par le fait que je sais qu’il va tout entendre, et sans doute se branler. Un peu plus tard je reprends le téléphone :
- " tu l’as entendu, il vient de me faire jouir, tu es vraiment mon amour de cocu, je t’aime et j’arrive "

A mon retour, mon homme est en tenue coquine, (comme j’aime le voir, c’est un de mes fantasmes,) bande et sans attendre, il m’a pris, fougueusement en me disant merci !

Que retenir de cette soirée ?

J’ai pris beaucoup de plaisir et ce pour plusieurs raisons

La première est évidement la jouissance avec mon amant d’une soirée, puis le fait de mener les ébats pour arriver au résultat que souhaitait mon jean : le faire cocu ; plaisir décuplé car je savais qu’il m’entendait jouir au téléphone et pour finir la soirée qui a suivi, rien que nous deux.

Malgré tout, il m’a manqué sa présence auprès de moi ; j’aime m’offrir à un autre homme devant lui ; voir ses yeux briller, quand je jouis ; il m’a manqué pour que je puisse avoir une jouissance complète, et si j’ai décidé d’avoir une autre expérience, avec cette fois un amant expérimenté qui mènera la soirée, cela restera une expérience épisodique, pour l’amour de mon homme candauliste.

3 commentaires

"C’est fait" voici l’avis de Madame

Par clean86 le 5 août 2014

Un très joli témoignage et, de surcroit, un avis féminin sur le candaulisme, largement plébiscité par la gente masculine...
Le côté cérébral ne peut nous échapper lorsqu’on lit ces quelques lignes, et l’imaginaire prend là tout son sens. Malgré tout, il est indéniable que rien ne remplace la présence du partenaire présent, même pour l’invité (qui apprécie aussi le contexte).
Bien libertinement

c’est fait avis de Mme

Par belize le 13 juin 2014

merci pour ta réponse ; en effet, le télephone est pour moi une forme de présence ; et c’est vrai que le plus important est de savoir que jean prend du plaisir en m’imaginant ou en entendant ma jouissance .
cependant j’avoue que j’aimerais trouver un homme de notre région, qui pourrait devenir un ami intime, tout en sachant que c’est mon jean que j’aime et qui reste et restera mon amour nicole

c’est fait avis de Mme

Par kamadeva le 13 juin 2014

très beau et je crois sincère témoignage.Merci

deux idées me viennent en vous lisant... :
il existe maintenant des moyens "modernes" (ex SKYPE) qui pourraient où auraient pu "compenser" son absence...
et
ne pas être là est peut-être aussi très important pour lui...compte tenu de la force et de la puissance de l’imaginaire...!
En tout cas, merci encore !