Aventure en pleine nature - Partie III (Partie finale -18)
Par
Peach&Pico
le 27 mai 2022
1
Dans
Expériences de candaulistes
Mesdames et Messieurs bonjour/bonsoir,
Je m’apprête à vous raconter le dernier épisode de cette aventure, afin de tout comprendre je vous invite si cela n’a pas déjà été fait à consulter les 2 premières parties.
Il est vrai que cette histoire a commencé le 18 Mai, mais sachez que cette histoire a duré quelques jours et ce n’est qu’aujourd’hui que je me remets de mes émotions.
Nous partions rejoindre V (l’amant de ma femme) chez lui afin de garer notre voiture. Il était prévu que V nous amène à cette plage privé dont seul lui avait le secret mais tout ne se passe pas toujours comme prévu.
Sur la route qui nous sépare de chez son homme, Peach était survolté, elle parlait peu pensant beaucoup, il me semble à ce qui allait suivre. Sa main sur le volant concentré sur la route et dans ses pensées, je caressa son entrejambe, il était trempé, son pantalon de plage ne suffisait pas à retenir un si grand flux qui s’accumulait sur le siège conducteur.
- « Tu as vu comme je suis trempée ? » me dit elle.
Je le voyais oui, et je n’avais aucun souvenir de l’avoir un jour fait autant d’effet. Arrivé chez notre hôte, nous l’appelons, celui-ci nous explique qu’il était fatigué et ayant peur de s’endormir à son domicile il était parti et nous attendait sur un parking non loin de la plage.
Les coordonnées gps reçu nous le rejoignons sur le parking où nous le retrouvons allongé sur le siège incliné passager.
Notre présence suffit à le revigorer et c’est le sourire au lèvre, accueillant comme à son habitude que celui ci nous salue. On se fait la bise, et on échange sur nos vies communes parlons de la journée et du beau temps. Ne tenons plus, son excitation surpassant sa patience, Peach lui proposa de continuer à parler à la plage.
Au moment de partir je me rends compte que nous avons oublié d’apporter un ouvre bouteille, V nous propose de faire un aller retour chez lui pour récupérer un ouvre-bouteille. Nous l’attendons sur le parking en fumant une cigarette, Peach me dit :
- « Alors mon amour tu es content d’être là ? Tu sais ce qui va se passer tu vas tenir la chandelle pendant que V va s’occuper de moi avec sa grosse bite »
Je lui réponds que oui je suis prêt et le temps de finir ma phrase voilà V qui revient. Nous montons dans sa voiture, Peach s’asseoit devant et moi derrière. Le trajet dure à peu près une quinzaines de minutes, la main de V caresse délicatement la jambe de ma femme qui prend plaisir à se laisser faire pendant que je fais la conversation.
Nous arrivons sur un bord de route, sur lequel les lampadaires n’existe plus, tout en suivant V, nous nous rendons compte qu’un bateau se trouve sur la baie comme pour nous attendre.
Dans ma tête 10000 fantasmes me traversent l’esprit, louons le bateau pour sortir le grand jeu, j’imaginais déjà V chevauchant ma femme sur ce bateau.
Après un parcours de type randonnée, sur le sol rocailleux et glissant de cette plage en contrebas, je me rendis compte que le bateau n’était pas au programme mais que cela se passerait sur plage paradisiaque sur laquelle nous étions seul.
Assis tous les 3, sur une planche de paddle, V sortit une bouteille de Champagne et des bières il y en avait pour tous les goûts. Nous continuons de parler de nos vies en trinquant à notre mariage et à cette belle soirée.
Petit à petit, Peach me tourna le dos se rapprochant de V. Il faisait noir mais je les entendais s’embrasser et/ou se caresser, sur un morceau de zouk qui provenait de l’enceinte portable de V.
Il lui dit quelquechose à voix basse, quelquechose d’inaudible dont elle répondis d’un oui hilare, maintenant en dehors de leurs conversations je leur demanda poliment de quoi il s’agissait. V me repondit :
- « Je disais à ta femme que j’avais envie de lui bouffer la chatte »
Une montée d’adrénaline me traversa comme cet afflux sanguin qui contractait ma bite.
Peach descendit son pantalon, me le tendis et me demanda d’éclairer avec le flash de mon portable. Je lui répondis :
- « Oui », me pincant les tétons pendant que son amant lui bouffait la chatte elle me dit
- « Comment ? Je crois que t’as oublié quelque chose »
Honteux et attentif à leur réaction, d’une petite voix, je me rectifia :
- « Oui ma Reine »
Tous 2 s’esclaffèrent, des rires qui furent très vite remplacés par des gémissements. V lui manga le minou pendant un bon moment, mais ma femme désirait plus ;
- « je veux que tu me prennes ».
Se relevant V lui dit :
- « allonge toi sur le dos je sais que tu aimes ça »
Allongée sur le dos les jambes écartées, la tête posée sur mes genoux, ses à genoux sur la planche que V la prend mon amoureuse. Les coups se font doux et augmentent en crescendo. Les gémissements se remplace par des cris étouffés et des râles.
Assis sur cette même planche ma main gauche filme éclairant de mon flash ça bulbe qui déborde et nous fait entendre des bruits humides. Je caressais ma femme de mon autre main qui devint aussi mouillée que son entrejambe.
Les minutes sur cette vidéo filent 5 puis 10 puis 15 minutes et peu à peu V à mal au genoux, il demande donc à Peach de se mettre à 4 pattes. Peach s’exécute et me demande de sortir de sur la planche en me faisant comprendre que je gênais.
C’est là que V accroupi dernière elle frappa de ses hanches avec forces, mon amie criait et moi je filmais une bière à la main. Ce fut à Peach d’avoir mal aux genoux elle prit alors la position de la petite cuillère et V continuais à la faire gicler sur la planche. La serviette qui était sous elle était inondée. Ma femme lui chuchota quelquechose à l’oreille et V alla de plus en plus fort et sans rien comprendre je l’entendît gémir avec force. Lui donnant des coups de butoirs de plus en plus délicat, il se retira.
À peine était il sortit de l’antre de ma femme, que Celle-ci toujours en cuillère me dit :
- « C’est à toi de me nettoyer maintenant »
Je repeta bêtement sa phrase, cela m’avait surpris qu’elle le dise haut et fort. Je lui tendis mon portable et me mis à la tâche, une fois bien propre nous partîmes en n’oubliant pas de tout ramasser, laissant la plage sans trace de notre venu.
Arrivé chez lui nous parlâmes un peu autour d’un verre de rhum mais Peach n’ayant pas jouit, nous allâmes peut de temps après dans sa chambre. Tous se passa sous la couette, Peach chevauchait longuement son amant qui ne faiblissait pas. La chambre était remplie de bruit de mouille, de baiser et de gémissements partager. Dans un mouvement de force, ma femme repris la position de la petite cuillère, elle me pinçait les tétons en me rappelant que j’étais un bon cocu. Elle tremblait et lui demanda une pause poppers, puis elle écarta ses jambes et c’était reparti. Prenant son pied elle caressait mes tétons et ma bite elle aussi toute mouillée et dans de grandes rales, explosa de plaisir serrant de toutes ses forces mes tétons je ne tarda à jouir. Il profita de sa jouissance pour frapper de sa verge le mont de son plaisir.
Épuisé et allongé sur le lit je dû insister pour que le courage lui permette de rentrer à la maison. Un dernier baiser langoureux à son amant et nous voilà reparti direction maison.
Dans la voiture malgré son bonheur, ma femme me fit constater que j’avais jouis et que cela ne devait pas se passer ainsi.
Ayant oublié ses lunettes chez V, nous étions déjà sur la route en direction de chez son amant, 2 jours après.
Je n’avais pas de cage de chasteté mais je lui avait promis de ne pas jouir cette fois ci. J’avais envie d’elle mais elle non mais cela qui me paraissait une punition n’en était pas une. Elle me fit comprendre sur la route, me posant des pinces à linges sur les tétons et en m’ordonnant de me branler dans un préservatif que la punition aurait lieu aujourd’hui.
Arrivé à destination nous prîmes l’apéro en parlant de tout et de rien comme d’habitude. Très vites comme d’habitude également V pris ma femme dans tous les sens jusqu’à épuisement sauf que cette fois ci, Peach me dit :
- « Je suis épuisée et depuis le début je ne compte pas rentrer à la maison mais toi si »
Elle me fit un dernier baiser pendant que je me rhabillait et c’est V qui me raccompagna en m’indiquant de faire attention sur la route sans oublier qu’il allait bien s’occuper de ma femme en mon absence.
Le lendemain, je me réveilla seul dans mon lit, ma femme n’était pas là mais cette punition m’excitait pleinement. Je dû d’urgence me rendre à Aix en Provence à midi pour aller chercher une amie. Sur tous le chemin, mon sexe était en alerte je les imaginais entrain de fricoter, baiser, jouir… S’embrasser en public comme un vrai couple, aller à la plage.
Cette mission avec mon amie me pris toutes l’après-midi et une belle partie de la soirée. Je déposa ma pote chez elle et parti pour aller chercher mon amoureuse chez son amant.
Sur tout le chemin, mon cœur battait vite, et ce fut à mon tour de mouiller de mon liquide pré ejaculatoire le fauteuil.
J’avais mis au courant V et ma femme de mon arrivée, mais malgré cela je retrouva chez lui ma femme en petite culotte et en corset blanc. Elle avait fait exprès, elle se pavanait même avec cette tenue, qui était la tenue qu’elle m’avait réservé pour notre lune de miel.
Nous mangeâmes ensemble et nous partîmes directement après cette fois-ci. Ma femme me dit qu’elle avait tellement baisé aujourd’hui qu’elle était fatiguée et voulait rentrer chez elle. V me confirma et me remercia de lui avoir laisser ma femme.
Sur la route vers la maison, Peach me raconta :
- « Je me suis endormi sur le canapé peut après ton départ. Je me suis réveillée au petit matin et l’ai rejoins dans son lit. Ma présence l’a réveillé et chaud comme la braise, il ne m’a fait l’amour cette fois ci mais il m’a baisé. Quand je te dis baisé c’est vraiment baisé si tu vois ce que je veux dire. J’ai jouis puis il est parti à Vélo m’a ramené plein de viennoiseries toutes chaudes de la boulangerie. Il a fait des œufs et du bacon et on a mangé, puis on c’est couchés comme pour faire une sieste et il m’a rebaisé a 4 pattes. Mes jambes ne tenais plu et je me suis retrouvé sur le ventre et c’est qu’à ce moment qu’il a joui. Vu qu’il faisait moche nous ne sommes pas sortis. Le soir on a reçu la visite d’un de ses amis qui travaille dans l’immobilier ne t’inquiète pas je n’étais pas en petite culotte. Quand il est parti j’ai reçu ton message me disant que tu venais me chercher, et nous avons redémarré nos hostilités. J’espère que ça te servira de leçon et que tu ne jouiras plus sans ma permission. »
Une fois de retour à la maison nous remerciant la baby-sitter qui est une amie, ma femme enfile un pyjama avec un pantalon et je comprends que je n’aurais droit à rien ce soir.
Je tente quand même de démarrer quelquechose en lui demandant si son amant avait jouis en elle avant mon arrivée.
- « Il a jouit oui, je me suis lavé mais je sens encore pleins de sperme s’écouler dans ma culotte. Mais non tu ne nettoieras pas je suis très sensible après cette journée et ta langue me seras désagréable »
Depuis ce jour, nous continuons notre vie sans en parler comme si rien ne c’était passé, je respecte son désir de ne pas avoir de jouissance et nous n’avons pas remis le couvert sur la table. J’ai compris aussi quelquechose la personne dont elle a envie c’est lui et la prochaine fois que je jouirais sera sans doute la prochaine fois qu’il amènera son plaisir à l’épuisement, bien sûr avec sa permission.
1 commentaire
Aventure en pleine nature - Partie III (Partie finale -18)
Par karelimo le 7 juin 2022
Excellent ce récit en trois parties, merci pour le partage !!!!
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