A l’hésitant, à l’hésitante.......

Par peintre le 29 novembre 2015 4
Dans Expériences de candaulistes

Une nouvelle histoire en perspective avec un homme en couple ; que dis-je marié.
Peut-être s’il ose ……….
Il expose avoir envie de voir sa femme se faire avoir par un autre. Bien qu’initialement il souhaitait savoir si elle se laisserait draguer en étant seule. Sans doute dans l’ambivalence de la découvrir coureuse ou sage. Les deux formes pouvant apporter plaisir, satisfaction. Dès nos premiers échanges j’attirais son attention de la difficultuosité d’une telle approche. Trouver le bon instant de la disponibilité batifoleuse d’une fille relevant d’une loterie. Surtout en ignorant tout de ses sensibilités. Il en convint.

Admettant alors son envie de la voir entreprise. Hésitant, ou plutôt s’interrogeant lui-même sur le fantasme de la contempler et celui de la partager. Quoique de toute façon, le fait même de la contempler serait une forme de partage.

Quant à la partager, cela lui permettrait de contempler son con empli.
Mes messages étaient longs, ses réponses courtes lentes. Je tentais ainsi de le rassurer en répondant promptement à ces questions non posées. Un reste de culpabilité de ce désir de livrer sa femme à un autre l’empêchant, empêtré dans la pudeur, de narrer l’ampleur du fantasme. Envie qui devait être d’autant plus raide qu’elle ne s’exprimait pas fluidement envers moi. Il semblait aussi relativement silencieux envers elle, subodorant qu’elle aussi avait envie qu’un autre s’occupât d’elle. En fait souhaitant que son fantasme la gagne. Elle devait sentir son désir, le ressentir par des allusions , mais elle semblait faire l’ignorante pour ne pas perdre de sa respectabilité ; ne pas passer pour une gourgandine .
Lui pensait, sincèrement, qu’elle lui ferait une grâce en satisfaisant son fantasme.
Il pensait ………..
Ne l’imaginant pas garce …..

En attente de sa réponse, de ces échanges , de l’éventualité d’une concrétisation, j’ai eu envie de généraliser pour rassurer les hommes et inciter les filles.

Alors que tout comme un homme, une femme ne dédaigne pas la nouveauté. Certaines se cachent à elles-mêmes leurs ressentis - sérieuses qu’elles se qualifient…….. Respectables.
Adoptant le comportement correspondant, en apparence. Jusqu’au moment où un mot, un geste, une invite, un physique la rend toute chose. Le pouls accéléré, le tétin durci, le vertical sourire humidifié. Le mâle capable de flairer l’instant, l’état, se doit de satisfaire l’attente, malheureusement trop souvent muette, de l’instinct séductrice. Une érubescence en est un signe incontrôlable plus ou moins facile à détecter en fonction de la carnation.

Je crois que pour son confort moral l’homme, lui, a besoin de se persuader qu’il convainc la fille, alors que la fille lui permet de le lui suggérer. Il devient son alibi pour faire mine de lui faire plaisir en se cédant, se scindant…………
La vertu de la coquine ainsi reste sauve, au regard des tiers. Elle proclame faire plaisir au demandeur.

Ces digressions afin d’éclairer les hommes sur leurs faibles moitiés, aussi souvent moites qu’eux triquent. C’est dire !!!!

Bien sûr il faut quand même exclure et respecter celle dont la chair ne frémit pas, peu. Ne pas la déranger dans la viduité orgasmique. Ne pas la prêcher d’une chaire pour la convertir de pécher. Ce peu important les raisons, chacune étant valable.

Mais les autres, la fidèle, l’amie, la femme, l’amante, celle qui se pare, même simplement, signale ainsi, même inconsciemment, leur besoin intrinsèque de séduction. Bien sûr envers elle-même, mais toujours en la recherche de plaire. Non qu’elle soit immorale, juste pour exister à ses propres yeux par l’approbation perçue.

Lorsque l’homme, d’une compagne, accepte son besoin humain de plaire, de séduire tout autre, en se référant à ses mêmes besoins qu’il ressent lui-même. Voire l’y encourage, la fille s’en montre reconnaissante de cette normalité. Elle reste fille pétillante, prête à jouer. Ce comportement ludique, mutin dans le couple étant une base nécessaire pour que l’association perdure, et envisager sérieusement toute extension libertine au couple.

Une telle fille, il n’est pas malaisé de la faire évoluer. Il faut juste la conforter, qu’elle soit persuadée que la porte de la liberté soit restée ouverte malgré la conjugalité. Ou qu’elle se soit ré entrebâillée, lui rappelant son temps de célibat.
Mais, comme les hommes, certaines ne sont pas partageuses ; essentiellement ………. quand il s’agit d’introduire une autre fille pour s’y introduire …….

Un autre homme est plus facilement accepté, même si , faute de dialogue mutuel profond , le fantasme de son ami bouleverse son éducation. Un laps est souvent nécessaire pour que la petite graine semée la mute en femelle chaude demanderesse.

Toutefois l’homme se doit de lui faire partager son fantasme candaulique afin de ne pas rester un frustré. Réellement, quand une fille n’est pas nonne, les attentions d’un homme étranger l’atteignent toujours.
Bien ou mal ; le trouble est là.
Sa jalousie ne peut l’empoisonner en la combinaison de cette occurrence. Elle se cédera en semblant qu’elle a dû céder …….
Avec d’autant plus d’ardeur qu’elle s’y sentira encouragée par son amoureux. Avec un peu de chance, elle peut même s’en montrer fort perverse. Se lâchant, incitant démonstrativement l’autre à l’outrager. Voulant tester son mâle qui l’a livrée. Ne s’occupant alors que de s’orgasmiser.

Pour l’homme, qui en plus du souhait de la partager avec un autre , de la voir s’in conduire , fantasme aussi sur le fait d’un trio FFH ou d’un couple , le fait qu’elle se soit faite posséder par un autre auparavant la mettra dans l’impossibilité de refuser l’intromission d’une fille . Bien sûr elle peut souhaiter aussi désirer goûter au saphisme. Sur cet acte, bien souvent de sa réticence, de son aversion , elle peut surprenne ment devenir encourageante envers son homme pour qu’il offense la nouvelle . Vengeance par procuration, par incitation à ration de cul.

Donc il faut juste avoir bien conscience :

*que les envies des filles sont assez égales à celles des hommes. Le monde étant bien fait, elles sont mêmes complémentaires. L’homme doit parler pour leur permettre de s’exprimer. La proximité de la conjugalité rendant certains et certaines non communicants. La peur de perdre l’autre, de l’abimer rendant stagnant d’immobilisme dévastateur de désir.

*que ces filles ne sont pas des petits objets fragiles. Peut-être même que du fait d’une plus grande réserve elles fantasment encore plus. Cela devrait permettre aux hésitants , à ceux qui sous prétexte de respect se contentent de fantasmer, d’oser .

Il suffit de lire divers beaux récits de filles reconnaissant au début avoir été contre, réticentes, contrariées, pour ensuite être ravies, reconnaissantes, libérées, incitantes .
Juste coincées par l’éduction et la société.

A l’hésitant, à l’hésitante…….. Va, tente !!!!!!

4 commentaires

A l’hésitant, à l’hésitante.......

Par vic83210 le 20 août 2016

bonjour ,
j’adore votre histoire ,d’autant plus que je suis candauliste que mon est joueuse mais tres selective et trés cyclique
la chose qui m éxiterais le plus est que ma femme ce fasse draguer par un mec quel ne connait pas ,comme dans votre histoire

A l’hésitant, à l’hésitante.......

Par Oliver le 20 juin 2016

Moi je n’aimerais lire que des textes comme ceux de Sylvain.
Belle réponse à Tom.

A l’hésitant, à l’hésitante.......

Par peintre le 30 novembre 2015

Tom
La vraie vie ………….
La différence entre l’écrit et l’oral étant que l’écrit je l’oralise au geuloir , rectifiant quelques dissonances avant que de le publier ou d’envoyer un mail , pour moi-même en ressentir une émotion .
Quant à l’oral , bien sûr, il est moins achevé , mais le faire d’écrire , de lire , au fil du temps vous mène à user oralement des termes et manières contenus dans l’écrit . Je trouve que le mot , la parole dans les moments les plus intimes ont un pouvoir exacerbeur de sens sans pareil .
En résumé, j’use de termes choisis, allusifs, imagés, légers, crus et ces oppositions je les trouve plaisantes. Des hommes, mais aussi des filles peuvent y être sensibles. Parfois même des gens que l’on peut qualifier à vocabulaire restreint disent apprécier. C’est sans doute le suprême compliment. Mais s’ils avaient l’idée de les ouvrir, des tas de livres les fascineraient encore plus.
Quant au caché, cela est vrai, voulu. Celle ou celui qui en ressent un frisson m’écrit , après être peut être passé et repassé sur un texte en toile d’araignée …….qui l’aura captivé.
Donner à l’homme l’envie de partager, d’offrir sa compagne. De la lui montrer ainsi entre prise. Surtout si elle se prétendait sage…… Prétendait !!
Donner à une fille seule l’envie de se trouver un mec qui lui permettra d’être libre. L’y incitera. Relation forte dans la légèreté.
’’ légère question ’’ la curiosité peut mener fort loin.

Je vous ai lu ,
elle parait déjà curieuse, joueuse , godeuse.....vous devriez cessez la procrastination . Le facteur passe tous les jours .........

sylvain

A l’hésitant, à l’hésitante.......

Par Tom 78 le 30 novembre 2015

Bonjour Peintre,

Je me demandais d’un coup en vous lisant lentement pour comprendre si vous parlez ainsi dans la vrai vie. Peut-être que le Marquis de Sade ou encore Appolinaire vous inspirent... à moins que ce soit vous même. Vous semblez avoir de l’idée et de l’esprit. Mais c’est un peu caché derrière une écriture qui ne s’adresse pas à tout le monde.
N’y voyez qu’une faible critique mais aussi et surtout une légère question.