Les différents types de séductrice
Par
Candaule
le 5 août 2012
Dans
Séduire un(e) complice
1. Les romanesques
Les personnes romantiques ne sont pas à confondre avec les romanesques. Ces dernières baignent dans l’irréel. Elles ont les clichés de l’amour mélodramatique (c’est-à-dire un amour pur et prude), un aspect très cérébral de la relation ce qui ne correspond pas vraiment à notre pratique.
Elles rêvent de reproduire, dans leur vie, les aventures sentimentales des héroïnes de leurs lectures. Leur drame, c’est que nos codes amoureux n’ont rien à voir avec les contes de fée !!!
Ces femmes rêveuses mettent longtemps à passer à l’acte, en attente d’un amant prince charmant. Elles ont des attentes et un scénario tellement précis concernant leurs hypothétiques rencontres que l’aventure bien souvent n’arrive jamais, ou bien elle est bien souvent décevante.
Les romanesques sont bien plus sensibles aux actes, au cadre et à la prestation de bienséance de l’amant qu’à leur propre ressenti, ce qui à terme peut même les frustrer parce qu’elles attendent tout de l’autre ; l’amant, dans ce cas devient même responsable de leurs propres ressentis.
Or, ce processus d’espérance est extrêmement risqué. Bien sûr, la chance existe mais il faut savoir la forcer un peu.
Les grandes romanesques rétorqueront que c’est tellement plus beau, quand les choses se font « naturellement », sous-entendu, quand l’amant vient vers elles et qu’elles n’ont plus qu’à se laisser séduire.
Leurs arguments pour ne pas aller au devant des amants potentiels qui leur plaisent ne sont que des alibis. Au fond, elles ont peur.
Mais ce type d’attitude, n’est bien souvent présent qu’au début de leurs apprentissages. En effet, pour de nombreux couples candaulistes, la pratique qui consiste à trouver un amant, à prendre du plaisir avec lui et se sentir désirable conduit très souvent la femme vers un épanouissement certain.
En effet, cette pratique lui permet d’éprouver sa capacité de séduction, et ainsi au fil des expériences, acquérir une confiance inébranlable en son potentiel de féminité.
2. Les affranchies
Contrairement aux romanesques qui en sont au début de leurs tentatives, anesthésiées par leur rêve d’amant idéaux, celle-ci sont déterminées.
Une détermination qu’elles ont acquise grâces à leurs expériences antérieures qui leur aura procuré une grande confiance en elle. Par ailleurs, elles assument très bien le fantasme qui conduit leur couple et n’appréhendent pas du tout les qu’en-dira-t-on.
Elles finissent donc rarement leurs démarches seules, même si pour cela l’amant d’un soir ne leur laisse pas un souvenir impérissable.
Le problème, c’est qu’aujourd’hui plus encore qu’hier, les hommes ne sont plus près à faire tous les efforts.
Cette typologie n’est bien entendue pas exhaustive et nécessite bien là l’apport de votre contribution.
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